Bruno Mégret

aux ordres d'un projet d'uniformisation des cultures et des identités à l'échelle mondiale". TEXTE 2 « Alliance européenne des mouvements nationaux » : Les durs de l’extrême droite européenne se connectent lun, 01/03/2010 - 18:47 |  Anonyme Bruno Gollnisch, vice-président du Front national et responsable des relations internationales, a diffusé la nouvelle dans un communiqué de presse daté du 25 février 2010 : «Le mouvement des étudiants nationalistes flamands, le NSV, a organisé hier à Gand

Jean-Marie Le Pen totalise toujours aux inscrits 8,62% des voix, soit 3.835.029 suffrages en 2007, ce qui est certes moins qu’au premier tour de l’élection présidentielle de 2002 (11,66% aux inscrits, soit 4.804.713 voix et sans compter le score de Bruno Mégret) mais qui n’est pas rien. Si 26% des électeurs de Jean-Marie Le Pen en 2002 ont voté pour Nicolas Sarkozy (mais aussi 5% pour Ségolène Royal, 9% pour François Bayrou), 51% sont restés fidèles d’une élection à l’autre à Jean-Marie Le Pen. Autre

droit du sang, le parti lepéniste n'hésite plus aujourd'hui à utiliser des Français d'origine maghrébine pour se dédouaner des accusations de racisme et de xénophobie. Dans le cadre de la nouvelle stratégie de « normalisation » mise en place par Bruno Mégret, le F.N. a soutenu, aux dernières élections régionales en Ile-de-France (mars 1998), l'investiture d'un Français d'origine maghrébine, ancien membre de l'association France-Plus. Cette candidature a constitué un véritable coup médiatique et politique

de progression pour Jean-Marie Le Pen entre la présidentielle de 1995 et la présidentielle de 2002. Le cas de Saint-Amarin semble faire exception. Mais le président du Front national est en fait pénalisé par la candidature de son ex numéro deux Bruno Mégret, qui recueille 3,4 % des inscrits dans ce canton alsacien, plus du double de son score national. Ainsi, le vote en faveur du Front national, bien qu’il soit sensible dans certains milieux ouvriers communistes ou socialistes, est prioritairement

du Conseil d'Etat Prosper Weil, Membre de l'Institut ; Professeur émérite à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) Guy Braibant, Président de section honoraire au Conseil d'État Pierre Delvolvé, Professeur à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) Bruno Genevois, Président de section du Conseil d'État Cons. que pour demander l'annulation de la décision qui a refusé de rétablir son nom sur la liste des généraux de division publiée dans l'Annuaire militaire, le prince Napoléon-Joseph Bonaparte se fonde

comiques voire grotesques, variées comme la vie. Une véritable chanson de geste. Ils n’ont besoin de personne pour en écrire le texte mais quand ils reçoivent la caution d’un intellectuel extérieur à leur monde, ils sont aux anges. Début mars, Bruno Mégret, récemment promu directeur de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen, vient donner une conférence à Marseille. La réunion se tient dans un h6tel cossu. e retrouve sur place tous les militants du 15ème hormis leur chef, Roland. L’un d’eux

étaient les suivants : François Bayrou, Olivier Besancenot, Christine Boutin, Jean-Pierre Chevènement, Jacques Chirac, Daniel Gluckstein, Robert Hue, Lionel Jospin, Arlette Laguiller, Corinne Lepage, Jean-Marie Le Pen, Alain Madelin, Noël Mamère, Bruno Mégret, Jean Saint-Josse et Christiane Taubira. Les 16 candidats présents pour le premier tour des élection 2002. L'affiche des 3 candidats, ayant obtenu les meilleurs résultats. Premier Tour Le premier tour de l'élection de 2002, permet aux

Le Pen totalise toujours aux inscrits 8,6 % des voix, soit 3 835 029 de suffrages en 2007, ce qui est certes moins qu’au premier tour de l’élection présidentielle de 2002 (11,7 % aux inscrits, soit 4 804 713 de voix, et sans compter le score de Bruno Mégret), mais qui n’est pas négligeable. Les données de la première vague du Panel électoral français avaient montré que si 26 % des électeurs de Jean-Marie Le Pen en 2002 avaient l’intention de voter pour Nicolas Sarkozy (mais aussi 5 % pour Ségolène

les actes administratifs dont le mobile est politique, refuse de contrôler les actes dont la nature lui semble essentiellement politique. Dans l’arrêt du 25 Septembre 1998 « Mégret », le CE accepte pour la première fois de contrôler la nomination par le premier ministre d’un parlementaire en mission. En l’espèce, Bruno Mégret contestait la nomination faite par Lionel Jospin car il soupçonnait un détournement de procédure. Le statut de parlementaire en mission a des conséquences particulières puisque

forces françaises au Kosovo. Arrêt Bruno Mégret du CE, 5 juillet 2000. Le CE ne veut pas juger la conduite des relations diplomatiques. Pour autant, il a progressivement limité le champ d’application des actes du gouvernement avec la théorie des actes détachables. la théorie des actes détachables : * Ces actes peuvent être détaché soit des relations des actes des gouvernement soit de la conduite des relations internationales. Exemple : * Arrêt Mégret du CE, 25 septembre 1998, relatif à