Bulle immobilière

la plus grave crise économique du xxe siècle et la panique qu’il suscite plongent l’économie mondiale dans une crise sans précèdent. Causée par une surproduction globale, les pratiques financières imprudentes de certains traders, l’explosion de la bulle spéculative elle entrainera des conséquences diverses et variées durant plusieurs années. La crise financière de 2008 Durant l’automne 2008, la bourse américaine va connaitre sa crise la plus aigüe après celle de 1929. C'est du petit marché des subprimes

2002 pour relancer l'économie américaine, le gouvernement a proposé les crédits hypothécaires dédiés aux ménages les plus pauvres : les subprimes. Durant 4 ans c'est une véritable bulle financière immobilière qui s'est formée : beaucoup de ménages à faibles revenus se sont endettés. Suite à l'éclatement de cette bulle (fin 2006), les ménages endettés se sont retrouvés en possession de biens immobiliers valant moins que la valeur d'achat. Ces biens étant acquis à l'aide de Subprimes, les emprunteurs

Krach boursier : 1. Un krach boursier est un "effondrement des cours de la Bourse" on peut préciser qu’il s’agit d’une baisse soudaine et précipitée de l'indice d'une ou plusieurs places mondiales. Lorsqu’une bulle financière (immobilière, internet, etc.) éclate, elle se traduit souvent par un krach. Un krach boursier s’accompagne aussi d’un effet de "panique générale" qui conduit les investisseurs à tous vendre en même temps, faisant encore plus chuter les cours et créant ainsi une spirale infernale

LA CRISE ET LE FINANCEMENT DE L’ECONOMIE NOTE STRUCTUREE ET ARGUMENTEE Depuis 2007, la crise n’a cessé de se transformer, d’abord immobilière, puis financière et économique, elle est devenue celle de la dette publique. Elle a pour point de départ les crédits "subprimes". En effet, des crédits immobiliers ont été accordés à des ménages Américains qui ne présentaient pas les garanties financières pour accéder aux crédits « normaux ». Nous allons donc voir tout d’abord la présentation

idéologues ou affairistes a entraîné une explosion phénoménale de la production de ce type de « valeurs », les dettes [4], avec la bénédiction très active du président de la Réserve fédérale du moment, Alan Greenspan [5] : dette publique, dettes immobilières, dettes automobiles, dettes de cartes de crédit [6],... partout la dette s’est imposée comme le bien le plus « produit » par l’économie dite dominante. Et le reste du monde a continué de plus belle à acheter ce nouveau produit « made in USA »,

rentable qui suscite une "bulle spéculative" généralement nourrie par le crédit (on va emprunter pour réaliser des placements et on considère qu’on va pouvoir rembourser grâce aux gains permis par la spéculation) : on va avoir des investissements importants qui vont être dirigés vers ce secteur. - Évènement vient rompre la dynamique spéculative et la confiance disparaît - Blocage des prêts accentue les difficultés Historiquement la première vraie bulle spéculative est la bulle des tulipes en Hollande

le monde et a pris de court les décideurs politiques qui ne mesurent que tardivement l’ampleur et la nature de la crise actuelle avec l’effondrement des prix des différents actifs. La crise des « subprimes » s’apparente initialement à une crise immobilière banale comme celles que nous avons connues maintes fois dans le passé. Dorénavant, avec les faillites de plusieurs grandes banques américaines et européennes et les signaux démultipliés de ralentissement brutal de l’économie mondiale, on pourrait

son illiquidité. Ces trois types de crises s’entrelacent souvent et s’entraînent mutuellement dans une situation qui devient alors très critique. La grande crise qui s’est faite jour en 2007 est la combinaison de ces trois formes. Une bulle spéculative immobilière tout d’abord, notamment aux Etats-Unis, au Royaume Uni et en Espagne. Une crise du crédit ensuite, due à une hausse dangereuse du taux d’endettement des ménages dans ces mêmes pays, et à un effet de levier très élevé des banques d’investissement

marché financier, marché immobilier) sans nécessairement exister au même degré sur le marché des biens et des services (ex: concurrence internationale peut modérer la hausse des prix des produits échangeables au moment où se forme une bulle financière ou immobilière). Inversement, une augmentation soudaine de l'IPC peut conduire à surestimer l'inflation si elle n'est pas due qu'à un choc temporaire (intempéries ou sécheresse qui induisent une hausse brutale du prix des fruits, des légumes), à

centralisées dans une seule et même entité communément appelée Banque Universelle ou Global Banking dans le monde Anglo-saxon. Ces banques ont apparemment mieux résisté à la récente crise qui a vu ses débuts en 2007 avec l’explosion de la bulle spéculative immobilière et qui n’est pas encore finie. Elle est pour de nombreux acteurs de la sphère financière et économique la pire crise jamais traversée après celle de 1929. Cest une crise systémique importante. En effet, la capacité des banques à supporter