Bulle immobilière

liquidité et parfois par des crise de solvabilité tant au niveau des banques que des Etats, et une raréfaction du crédit au niveau des entreprises. Amorcée en juillet 2007, elle trouve son origine dans le dégonflement de bulles de prix (dont la bulle immobilière américaine des années 2000) et les pertes importantes des établissements financiers provoquées par la crise des subprimes. C'est la crise la plus grave de l'histoire des bourses de valeurs, après celle de 1873, découlant de la crise bancaire

perspectives économiques. La crise des subprimes est caractérisée par des taux d’intérêt variable, des prix qui augmentent. Elle a commencé dans les années 2007, aux Etats Unis tout d’abord. Les causes de cette crise sont liées à l’explosion d’une bulle immobilière aux Etats Unis, qui était alimenté par des pratiques de financement critiquable puisqu’il a été accordé des crédits à des ménages dont les capacités de financement étaient douteuses. C’est aussi en partie à cause de la titrisation, technique

dont 70 dans les entreprises publiques. Elle tournerait autour de 200 à 300% du PIB. A l’époque, la bulle immobilière éclate, le marché financier perd alors 67% de sa valeur en quelques semaines. Des projets d’envergures sont retardés, les chantiers laissés tels quels, les promoteurs et les groupes immobiliers commencent à licencier de 5 à 10% de leur effectif en moyenne. La spéculation immobilière était la principale source de dynamisme économique mais aujourd’hui les investisseurs sont de moins

la crise immobilière qui a frappé les Etats-Unis et la crise des crédits « subprime »* *Le crédit «  subprime » : un crédit hypothécaire risqué accordé aux ménages américains ➢ Diapositive 1 [pic] ➢ Diapositive2 [pic] ➢ Questions : 1- Quelle est la principale conséquence de la titrisation ? 2- Pourquoi peut-on parler de bulle immobilière ?(diapo 1)

question la reprise en main de la zone euro. Toute cette crise tourne autour de l’Espagne et de ses banques. L’Espagne aurait administré 19 milliards dans Bankia ce qui aurait entrainé une incapacité patente de Madrid à gérer les excès de la bulle immobilière et des anciennes caisses régionales. 100 milliards pour recapitaliser ses banques sont offert par l’Europe pour aider l’Espagne mais n’aura pas convaincu les marchés plus de deux jours car plutôt que d’être transféré dans les banques en difficulté

mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle. Les banques ont donné une image trompeuse de la qualité des prêts hypothécaires regroupés et vendus aux investisseurs durant la « bulle immobilière ». En clair, les banques sont accusées par la FHFA d'avoir masqué les risques des produits structurés basés sur des prêts immobiliers qu'elles ont vendus avant la crise financière de 2008. Ces prêts, dits "subprimes", étaient accordés par les

liquidité et parfois par des crises de solvabilité tant au niveau des banques que des États, ainsi qu’une raréfaction du crédit accordé aux entreprises. Amorcée en juillet 2007, elle trouve son origine dans le dégonflement de bulles de prix (dont la bulle immobilière américaine des années 2000) et les pertes importantes des établissements financiers provoquées par la crise des subprimes. Automne 2008, le mouvement s’amplifie et provoque une chute des cours des marchés boursiers et la faillite de plusieurs

pour effet de gonfler la demande pour les propriétés (la proportion de propriétaires a atteint 69% en 2004) en attirant une clientèle à risque. Cette hausse de la demande s'est traduite par une hausse de prix qu'on peut maintenant qualifier de "bulle immobilière". Outre les transgressions des règles prudentielles régissant la distribution du crédit, l'ampleur de cette crise vient du contournement des ratios réglementaires de solvabilité bancaire par la titrisation des créances américaines risquées.

qu'entre1991 et 2007 elle n'était plus que de 1,4% au Japon, on remarque donc une baisse de 3,1%. D'après le document « Japon, ''la décénnie perdue » », ce fort ralentissement serait dut à un éclatement qui aeut lieu au début des années 1990 avec la bulle immobilière et financière. On se rencontre qu'il se passe en faite une régulation de flexibilité des taux d'intérêts avec les prix du foncier de laville de Tokyo qui était au-dessus de toute la Californie. Grâce à cette hausse des investissements, la demande

l’arbitrage du risque que représentait ce coupon élevé n’était pas nécessairement durable, n’étant pas à l’abri d’un basculement éventuel d’une situation avantageuse de surévaluation du risque en une autre de sous-évaluation. Or, l’existence d’une bulle prolongée de l’immobilier résidentiel américain devait précisément déboucher dans les derniers mois de l’année 2006 sur un tel retournement de situation. Supposer, comme le faisait Alan Greenspan, que la capacité de la titrisation à redistribuer le