Bérénice Confidents

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

L'histoire : Un fils et son père – un médecin de campagne – font un voyage singulier à travers le pays dégradé, une province autrichienne qui collapse dans le chaos. Le médecin visite diverses mansions de souffrance, de désastre. Bien plus que simple confident des maladies, il devient alors le confesseur des désespoirs spirituels, des incompréhensions,et des dislocations de la logique de la vie. Pour le fils – ce voyage se transforme en une expérience apocalyptique. Il se retrouve sur un effrayant chemin

est embarrassé car la lettre lui était destinée et celle-ci circule entre toutes les mains de la Cour. Cette lettre risque de compromettre une femme respectable et de fâcher la reine vis-à-vis du Vidame de Chartres. La reine en a fait son confident et n'accepterait pas de le voir mêlé à une aventure sentimentale. Le Vidame de Chartres souhaite que le duc 6 de Nemours se désigne comme le destinataire de la lettre et la réclame à la reine dauphine qui la garde en sa possession. M.

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

s’empara de la Franche-Comté, jusque-là espagnole. Intérêt de l’action Avec ‘’Iphigénie’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’Andromaque’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’Britannicus’’ et ‘’Bérénice’’) ou orientales (‘’Bajazet’’ et ‘’Mithridate’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père, Agamemnon. Il s’inspira des

Iphigénie ’’, Racine revint aux sujets grecs et mythologiques qu'il avait délaissés depuis ‘’ Andromaque ’’ pour des tragédies historiques romaines (‘’ Britannicus ’’ et ‘’ Bérénice ’’) ou orientales (‘’ Bajazet ’’ et ‘’ Mithridate ’’). Il reprit l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la vie de la famille maudite des Atrides : celui du sacrifice

intrigues misent davantage sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. La comparaison avec Racine tournera au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que Boileau demande pour lui une pension royale qu'il obtient de Louis XIV. L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien » qui

à qui considère les choses de loin, la nouveauté est peu sensible. Tous les chefs-d'oeuvre de Corneille et de Racine sont déjà des affrontements de caractères, particulièrement leurs pièces dites "simples" (Cinna, Suréna pour l'un; Britannicus, Bérénice pour l'autre), où il n'est d'événements que résultant des pensées, sentiments et passions des personnages, et où abondent les monologues par lesquels les protagonistes dévoilent les troubles de leur âme. Cette dimension psychologique, inconnue du

fiancée de Britannicus dont jusque-là Agrippine protégeait les amours par politique. Elle rencontre Burrhus qui s’efforce de la rassurer mais ne parvient qu’à l’inquiéter davantage. Aussi propose-t-elle une alliance à Britannicus ; Narcisse, le confident de Britannicus, le pousse à accepter cette alliance. Néron confie à Narcisse, qui trahit Britannicus, son amour pour Junie. Celui-ci pousse Néron à déclarer sa flamme à la jeune princesse ; devant la froideur de Junie, dépité, Néron lui commande

crédibilité, quelques critiques ont conseillé le dernier. Le critère de la crédibilité a été parfois également employé pour critiquer le soliloquy, et dans les jeux classiques en retard des caractères sont presque invariablement fournis avec des confidents (valets, amis, infirmières) à qui ils indiquent leurs émotions. • En conclusion, la littérature et l'art devraient consciemment suivre le précepte de Horace "à svp et instruisez" (est de prodesse d'aut de delectare d'aut). Ces "règne" ou des