Cadre Spatio Temporel Le Mendiant

une mendiant estropié qui n’a pas mangé depuis plusieurs jours. Comment l’auteur réaliste à travers un personnage inadapté offre-t’il une nouvelle engagé ? Nous répondrons à cette question en 3 mouvements. Dans un premier temps nous verrons une nouvelle réaliste et sombre, dans un second temps nous verrons un personnage inadapté, pour finir nous verrons comment cette nouvelle est engagée. La nouvelle Le gueux est une nouvelle réaliste et sombre grâce au cadre spatio-temporel. Le

champs sémantiques : le champ sémantique du PAYSAGE INANIMÉ, c'est-à-dire l'espace et le temps regardés ou sentis par la personne, et le champ sémantique du VOYAGE ANIMÉ de la personne du regardant. Le premier champ est celui des «coordonnées spatio-temporelles» (et de l'aube-aurore) et le deuxième champ est celui des «ordonnées intensives» (et de l'aube-vêtement, ainsi que de l'aube- femme). L'aube-instrument circule d'un champ à l'autre et constitue un véritable parcours narratif : à la fois un déroulement

L’INTRIGUE FANTASTIQUE : LES QUATRE SEQUENCES NARRATIVES 1. LA SEQUENCE D’OUVERTURE Cette première séquence évoque un univers où tout semble normal, conforme au monde naturel, celui des « lois humaines » fondamentales. En effet, elle présente un cadre d’action et des personnages tout à fait possibles dans le réel quotidien. En même temps, elle doit déjà poser quelques indices (petits faits isolés) de l’étrangeté et de l’inquiétude qui ne se développeront que plus tard. 2. LA SEQUENCE D’AVERTISSEMENT

la reine elle a donc le pouvoir de créer et de détruire ce qu'il « voit » les créatures rencontrées sont nombreuses : « ombre » « mains pitoyables » « rats, vipères » « loup » « voix » « roue embrasée » « vieille femme avec l'eau » « le mendiant » « camion » « barrière, broussaille » la reine fait disparaître les créatures en énonçant leur inutilité ex : le loup est inoffensif : il a des crocs en carton autre façon de voir les choses : le roi n'a pas besoin de les craindre, de les voir

la mesure , c'est a dire qu'il sait ces limites dans la mesure du possible. Ceci sont des faits corespondant à Zola. Il faut aussi que le roman est un cadre spatio temporel réel. En effet, dans Bel-Ami de Maupassant, on fait mention d'une église moderne qui parle directement a un lecteur du XIXe siecle "portique de la Madelaine". Et surtout on y introduit des

lampe qui la met en valeur et elle « resplendit sur des millions d’aveugle »(l.16) qui la met au centre du monde. Tout le monde est concentrée sur Antigone. Cette description d’un monde paradoxal nous montre l’obscurité et le mystère du cadre spatio-temporel dans lequel Antigone vit qui nous renvoie a un évènement tragique. Ensuite, cette scène est un évènement tragique. Plusieurs registres sont utilises comme le registre tragique, pathétique et lyrique. Nous observons la solitude d’Antigone

- d’un poème à l’autre : « À une passante » est encadré par deux poèmes évoquant des personnages horribles (« Les Aveugles », « Le Squelette laboureur ») - d’une partie à l’autre d’un poème : « le Rêve parisien », « À une mendiante rousse » - d’un segment de vers à un autre : « Brumes et pluies », v.9 (« Rien n’est plus doux au cœur plein de choses funèbres ») ; « Les Petites vieilles », v.2 (« Où tout, même l’horreur tourne aux enchantements »)

l'ironie implicite, pointe à nouveau du doigt l'irrationalité de la peine ( de mort) . On peut remarquer que le nom même du personnage principal, très symbolique, porte à lui tout seul le sens du récit entier. En effet « gueux » est un synonyme de « mendiant » et a donc une connotation péjorative. Ainsi, Claude Gueux et sa tragique histoire représentent la misère et la souffrance du peuple et montrent l'injustice permanente qu'ils subissent. De façon parallèle, le narrateur , qui joue également

événementielle, les personnages, le cadre spatio-temporel, le mouvement narratif et les éléments diégétiques, éléments qui ne changent pas d’une langue à l’autre. Il s’agit d’un pauvre mendiant qui a quitté depuis longtemps sa famille pour la capitale dans le but de chercher du travail. Il passe tout son temps à errer dans les rues de la ville et à mendier. L’auteur présente les événements survenus pendant le temps que dure l’histoire sous forme de tableaux : celui du mendiant discutant avec le serveur du

conserve le souvenir d’une halte dans une auberge. Il évoque un moment de bien-être où quelques plaisirs simples suffisent à donner le sentiment du bonheur. UN POÈME DE ROUTE On remarque d’emblée la prolifération des indices spatio-temporels : Le poème est daté : « octobre 70 ». Le texte précise que l’anecdote s’est déroulée huit jours après le départ du voyageur (v1 : « Depuis huit jours, j’avais déchiré mes bottines / Aux cailloux des chemins »). Et nous savons que cela se situe