Caisse d'amortissement de la dette sociale

normative, soit à partir de la méthode des experts comptables soit à partir du ratio BFR/CA observé par le passé. 3° Remboursement des emprunts Pour les emprunts contractés avant le début du plan de financement, il suffit de se référer aux tableaux d'amortissement annexés aux contrats. Dans ce cas, les intérêts n'apparaissent pas en emplois puisqu'ils sont déjà comptés dans le calcul de la CAF. Quant à l'inscription des emprunts nouveaux, elle peut être modifiée en cours d'élaboration du plan en fonction

De plus, on suppose que les stocks sont limités. 2. L’inflation par les coûts La hausse des couts de production seraient une cause l’inflation. Ces couts conserves les éléments suivants : les matières premières, les salaires, les charges sociales, les charges financières (taux d’intérêt), les charges fiscales (tva). Si ces éléments enregistrent une hausse de leur prix supérieur à leur productivité, alors cette hausse est répercutée sur le niveau général des prix. 3. L’inflation de

définitions ». Introduction Chapitre 1 : La définition des termes Section 1 : La définition du terme « Finances »  « Finances » : premier terme qui vient en tête est argent. Pendant de nombreuses années, on s’occupait seulement de l’argent, des caisses de l’Etat. Mais depuis quelques temps on se rend compte qu’il y a des choses, qui sans être de l’argent, ont de la valeur (ex : monuments, espaces publics). De plus en plus, le terme de « finances publiques » englobe le patrimoine public plus que

SUFFRAGANT : M. AHMED BENABDELKHALEK Expert Comptable DPLE : M. ABDELAZIZ EL MECHATT Expert Comptable DPLE SUFFRAGANT Plan Général Introduction Première Partie : Comparaison des Normes US GAAP et CGNC et Principaux retraitements des comptes sociaux : Introduction Chapitre 1 : Etude Comparative Des Normes et Principes Comptables américains et marocains. Chapitre 2 : Principaux retraitements des comptes marocains en US GAAP Conclusion de la partie Deuxième Partie : La Mission Générale d’audit

les processus de décision d’investissement ont eu recours aux principes du calcul économique. De tels principes suggèrent que le décideur, avant toute action économique, doit d’abord chiffrer l’ensemble des conséquences financières et plus largement sociales de son acte pour en démontrer l’efficacité. Il résulte de ce postulat une abondante littérature économique et de nombreux ouvrages que l’on désigne sous le corpus théorique de sciences de la décision ou de l’aide à la décision. En conséquence, élaborer

d’application ƒ Les sociétés en collectif et les sociétés en commandite simple ne comprenant que des associés personnes physiques si elles n’ont pas fait expressément l’option ; ƒ Les sociétés immobilières dont le capital est divisé en parts sociales ou en actions nominatives ; ƒ Les sociétés de fait qui sont constituées par deux ou plusieurs personnes sans pour autant établir un contrat écrit. 1.4. Les exonérations Les exonérations de l’IS est accordée soit définitivement soit

première approche comme l’ensemble des règles relatif à l’impôt. Peut-être définit comme étant la branche du droit permettant la participation des sujets de droit à l’organisation financière de l’Etat et à l’expression de sa politique économique et sociale. 3. Le droit fiscal général : Contient toutes les règles gouvernant l’imposition de l’activité économique des particuliers et des entreprises (activités industrielles, commerciales et non commerciales …). Le droit fiscal général est

soit encore par la structure financière de l'institution. Eu égard à ce qui précède, les questions centrales de cette recherche se résument en ce sens: Quelles sont les différents risques financiers auxquels la Caisse Générale d’Epargne du Congo est–elle confrontée ? Comment la Caisse Générale d’Epargne du Congo parvient-elle à gérer les risques financiers ? Comment alors gérer les différents risques liés à l’activité financière d’une institution financière moderne ? 1.2. HYPOTHESES DE RECHERCHE

L'audit fiscal INTRODUCTION Conscients de l'importance de leur environnement ainsi que ses différentes composantes tels que l'environnement social, technologique, juridique, fiscal, etc. ; les entreprises doivent y tenir comptent. Entre autre, le système fiscal paraît comme la composante la plus difficile à manipuler puisqu'elle est quasi-permanente au point d'être jugée envahissante en toute action opérée par l'entreprise à savoir une nouvelle activité, un programme de recherche, une décision d'investissement

pétrolière, au Moyen-Orient ou en Algérie. Ensuite, au cours des années 80, il était confondu avec le «risque souverain», à savoir la possibilité que des Etats emprunteurs soient incapables d’honorer les échéances dues au titre du remboursement de leur dette externe. C’était le cas à l’époque de pays comme le Brésil ou l'Argentine. Dans les années 90, la « crise des pays émergents » (crise mexicaine de 1994, crise asiatique en 1997, crise russe en 1998) était le symptôme le plus manifeste de ce risque