Cancérogenèse

sont parfois appelés des tumeurs secondaires. Les métastases sont responsables de 90% des décès causés par le cancer. La métastase est un processus multi-étapes complexe qui débute par des changements dans le matériel génétique d'une cellule (cancérogenèse ), suivi par une multiplication non contrôlée des cellules modifiées. Il se poursuit avec l'élaboration d'un nouvel approvisionnement de sang pour la tumeur (angiogénèse), l'invasion de l' appareil circulatoire , la dispersion de petits amas de

Cancer du seinMécanismes physiopathologiques· Se développe selon le processus multi-étapes de cancérogénèse comme toutes les tumeurs· Les plus fréquents se développent à partir des cellules des canaux = cancer canalaire / et leq lobules = cancer lobulaire· Lorsque les cellules cancéreuses ont infiltré le tissu qui entoure les canaux et les lobules, on parle de cancer ou carcinome infiltrant.· Lorsque le cancer in situ devient invasif, l’extension locale touche d’abord les organes à proximité (peau

coopération. * Par exemple: La Commission coopère avec le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) de l'OMS, dont la mission consiste à mener des recherches sur les causes du cancer chez l’homme et sur les mécanismes de la cancérogenèse, ainsi qu’à élaborer des stratégies scientifiques de lutte contre le cancer. Le Centre participe à des recherches épidémiologiques et expérimentales, et assure la diffusion de l’information scientifique au moyen de publications, de conférences

TPE 1èreS Thème : Rupture et continuité Sujet : Problématique : Introduction I. Les UV et leur rôle dans la cancérogénèse 1) Les différents ultraviolets et leur valeur énergétique 2) L’action des UV sur la peau a) A court terme b) A long terme II. La protection et la prévention des cancers cutanés 1) Par la couche d’ozone 2) Par la photoprotection interne 3) Par la photoprotection externe III. Les principaux types de cancers cutanés et leurs traitements

hématopoïétiques c'est-à-dire prenant naissance au niveau du lieu de la formation des cellules sanguines. Nous verrons, dans un premier temps, les mécanismes généraux de formation des cellules cancéreuses avant d’aborder les spécificités de la cancérogenèse pour le myélome puis pour le lymphome. Dans un second temps et pour chacun de ces deux cancers, nous apporterons un éclairage épidémiologique et nous énumérerons les facteurs de risques et la prévention qui en découle. Après avoir expliqué la

souvent cumulées, parmi lesquelles certaines expositions environnementales. L’environnement, comme l’entendent en général les anglo-saxons, recouvre l’ensemble des agents physiques, chimiques et biologiques auxquels l’homme est exposé. La cancérogenèse est le procédé par lequel une cellule tout à fait normale devient cancérigène après modifications dues dans 80% des cas à des facteurs non génétiques. La première phase, l’initiation, désigne une altération de l’A.D.N. qui, dans le cadre normal

60 ans ayant une activité modérée, soit 8400 Mj (2000 kcal) auquel on rajoute un facteur de correction de 1,2 en raison du cancer, le BEJ est donc de 10080 Mj (2411 kcal). 2) Le « cancer » en théorie. a) La cancérogénèse Il est important de bien comprendre la cancérogénèse pour pouvoir mieux appréhender l’effet de l’alimentation sur les cancers. Les mécanismes sont présentés en annexes A-22 et A-23. b) Point sur les traitements actuels et le rapport à l’alimentation. ° La chimiothérapie

physiques et chimiques, de leurs actions sur l'organisme, des méthodes pour les rechercher, les identifier et des moyens pour traiter leurs effets nocifs. Parlant d’effet sur l’organisme, plusieurs cas ont été étudié tel que la mutagénèse, la cancérogénèse, et la génotoxicité. L’ambition de notre étude consistera à présenter simplement la génotoxicité suivant le plan sous-dessous. I-DEFINITION La génotoxicité se définit comme la capacité de certains agents dits « génotoxiques » à

dioxines à la suite d'accidents industriels ou d’expositions environnementales, des indications d'effets cancérogènes des dioxines chez l'animal de laboratoire et sur les données disponibles concernant les mécanismes biologiques possibles de la cancérogenèse liée à ces substances, mécanismes qui s'appuient sur l'interaction avec un récepteur cytosolique spécifique (Ahr). En plus de ces données, confirmées par des études ultérieures, des excès de risque ont été observés dans plusieurs études sans

réactives avant qu’elles n’endommagent les constituants de la cellule. Ainsi, les antioxydants présents dans les aliments protègent les molécules organiques, par exemple les graisses ou l’ADN, de l'oxydation et jouent un rôle protecteur contre la cancérogenèse et contre le développement des maladies cardiovasculaires. Il est bon de savoir que le maïs possède plus d'antioxydants que d'autres céréales tels que le blé, l'avoine ou le riz. Le maïs renferme de la lutéine et de la zéaxanthine, deux antioxydants