Capitulaire De Quierzy Sur Oise

écrits les capitulaires. Les capitulaires sont des écrits reprenant les solutions proposées et décidées par le roi aux problèmes de la société énoncés par l’assemblée. Lors de ces plaids, les représentants du peuple se réunissent en compagnie du roi et discutent des problèmes de la société. La plus grande partie de l’assemblée sont des hommes d’Eglises. Ensuite le roi choisit lui-même la solution puis fait part de ses décisions à l’assemblée avant de leur distribuer par écrit. Ces capitulaires traitent

du royaume se recommandent auprès d’un personnage puissant. En 847, Charles le Chauve promulgue une loi, le capitulaire de Mersenne, tous les hommes libres, sans exception, sont invités à se choisir un seigneur, ce n’est pas une obligation qui est faite, mais à cette époque, au milieu du 9ième siècle, tout les hommes libres ce sont recommandé, cela n’a pas d’importance. Avec ce capitulaire de Mersenne, le roi est relié à tous les hommes libres du royaume par la chaine vassalique, directement ou indirectement

locaux qui s’emparent des prérogatives de la puissance publique. Ce mouvement de morcellement territorial apparaît comme la conséquence directe de la montée en puissance des Grands et est parallèle à l’apparition de la féodalité. Avec le capitulaire de Quierzy-sur-Oise de 887, les Grands acquièrent une place prépondérante tandis que la fonction royale redevient élective. Après avoir déposé le roi carolingien, les Grands parviennent à imposer l’un des leurs, Charles le Gros. Ils élisent Eudes, comte de

contrat ouvrant droit à une contrepartie lors de la prestation de serment. C'est le début du système des liens vassaliques. mouvement d'autonomisation des comtés : missi dominici Ce mouvement d'autonomisation se prolonge avec le capitulaire de Quierzy-sur-Oise (877), où le principe d'hérédité des comtés est admis. De fait, les comtés vont tendre à faire partie du patrimoine des comtes qui pourront les transmettre à leurs descendants. C'est au début du Xème siècle que les premiers grands fiefs

Liens externes 11 Notes et références Les sources[modifier | modifier le code] Les principales sources sont9 : Documents officiels[modifier | modifier le code] On dispose de 164 diplômes du règne de Charlemagne, dont 47 originaux ; de 107 capitulaires, souvent connus par plusieurs copies encore existantes ; des comptes rendus de certaines assemblées ecclésiastiques (synodes ou conciles). Correspondances[modifier | modifier le code] On dispose de 270 lettres écrites par Alcuin, dont un bon

vassal. Toutefois, certains vassaux ne sont pas pourvus de fiefs, et sont seulement entretenus et résident au château. Le roi Charles le Chauve garantit aussi à ses seigneurs la faculté de léguer leurs terres à leur héritier (par le capitulaire de Quierzy-sur-Oise le 16 juin 877.)C'est ce qu'on appelle le principe de noblesse héréditaire. Mais la relation de vassalité qui unit le roi au peuple est aussi un moyen de rétribution des fonctionnaires publics, qui reçoivent un fief en échange de services

conduit à revendiquer l’hérédité du droit de percevoir les impôts, d’exercer la justice… Finalement, au cours de la seconde moitié du IX e siècle, les comtes obtiennent du roi Charles le Chauve, l’hérédité de leurs fonctions (capitulaire de Quierzy-sur-Oise - 877). En principe, le roi demeure maître des nominations comtales, mais très rapidement la transmission héréditaire va devenir la règle. Les comtes peuvent désormais transmettre les prérogatives de nature publique à leurs descendants

n'ont pas de lois propres, mais ce sont fait imposer les lois franques : capitulaire saxon (797), loi des Alamans (8èmè), loi des Frisons (802) Personnalité ou territorialité de la loi : système de personnalité s'estompe au 10ème ( fusion progressive des races, ignorance des juges, …) et est remplacé par la loi des majorités (= peuple majoritaire dans le ressort du tribunal). Fusion entre les lois romaines et barbares. Capitulaires des rois francs : = actes variés qui émanent des rois. Ils s'appliquaient

la Saône, et du Rhône. Il dut partager la Provence et la Lotharingie avec Louis le Germanique par le traité de Mersen en 870. En 875, il se fait couronner en Italie par le pape Jean VIII et dut faire des concessions aux grands par le capitulaire de Quierzy-sur-Oise en 877. Lothaire I : (795/855). Empereur d’Occident (840/55). Fils aîné de Louis le Pieux, il fut roi de Bavière en 815 et en 817 par l’ordinatio imperii. Roi d’Italie en 822, il couronné empereur l’année suivante par le pape Pascal Ier

à une époque des lieux de résidence privilégiée de certains ancêtres des Carolingiens, notamment Pépin le Gros, le père de Charles Martel)[20]. D'autres lieux de naissance sont également évoqués : Aix-la-Chapelle[21], à Ingelheim[22],[23], Quierzy-sur-Oise[24] ou encore Prüm.[réf. nécessaire] Début du règne Après la mort de Pépin le Bref, le 24 septembre 768, ses deux fils Charles (futur Charlemagne) et Carloman sont élus rois le 9 octobre 768 par une assemblée populaire. Charles se voit attribuer