Capitulaire

écrits s’occupe des écrits du roi. Le chef de ce bureau est le référendaire. A l’époque mérovingienne, les actes adoptés sont des actes individuels. Il faut attendre les carolingiens pour voir apparaitre des actes à portée générale  des capitulaires. Sous les mérovingiens, les membres de ce service des écritures sont des laïques qui composent le service des écritures. On observe un basculement, car à partir des carolingiens, les laïques vont être remplacés par des clercs. Le service des écriture

à la notion d’Etat. Ce serment de fidélité est conçu de la même façon que celui de vassalité, tous les sujets doivent donc aide et conseil à l’empereur. En 810 un capitulaire (acte général) va ordonner à chaque vassal de l’empereur doit contrôler ses propres vassaux afin qu’ils obéissent mieux aux ordres du Roi. En 847, le capitulaire de Mersen, il oblige chaque homme libre à se choisir un seigneur dont il sera le vassal, tous les hommes doivent être des vassaux, la vassalité devient le mode d’organisation

que le christianisme s’impose sur tout le territoire. Corollaire de cette volonté, l’unité ; une unité à la fois religieuse – la même religion pour tous, politique – le même souverain pour tous – et juridique. 1. L’unité politique et les capitulaires carolingiens En 800, Charlemagne se fait sacrer empereur auguste alors qu’il est déjà roi des francs. Les carolingiens sont titulaires d’une triple culture : germanique (droit des francs), romaine (notion d’empereur auguste) et chrétienne

poussés a juré qu’ils serviront le roi militairement. En 802 ; la fidélité jurée évolue encore. Dans un capitulaire, Charlemagne affirme que la foi jurée par els hommes libres lors du leudesamium est une foi équivalente a celle qui est promise par les vassaux lors de leurs serments. Puisque els hommes libres sont considéré comme des vassaux, le système est officialisé en 847. Le capitulaire de Mersen, oblige chaque homme libre a se choisir un seigneur ; aussi se forme une pyramide de vassalité qui

persistance d'un commerce limité Dans ce monde coupé de l'Orient, il existe donc un commerce local et il existe un commerce sur de grandes distances. Mais il n'est plus orienté vers la Méditerannée et il est très réduit. I/Un commerce local Un capitulaires de Soissons daté de 744 prescrit aux evêques d'ouvrir un marché dans chaque cité. Or, cette obligation, cette recommandation est renouvelée au 9 è et 10è siècle, c'est une sorte de législation répétitive sur l'ouverture des marchés. Or, elle exprime

remarquable de la vie religieuse et de l'architecture cistercienne qui subsiste dans la région de Bruxelles. C'est une architecture du XVIIIe siècle. Elle est composée de deux noyaux : - Le cloître avec l'église, le réfectoire et l'aile de la salle capitulaire sont d'une architecture moyenâgeuse et monastique (XIe-XVe siècle) - Le quartier de l'abbesse de caractère plus civil avec sa cour d'honneur, le palais abbatial, le presbytère, les écuries et les autres dépendances sont d’une architecture du XVIIIe

résurrection des morts, réduits en cendres cela ne convenait pas. Mais avec cette idée que plus on est proche de Dieu, plus on est sous sa protection, cela amène à choisir de se faire inhumer dans et autour de l’église. . Pourtant, déjà plusieurs capitulaires de Charlemagne interdisaient les inhumations dans les églises sauf des évêques, des abbés et des prêtres. Les interdits sont réitérés jusqu’à la fin du IXème siècle, Mais sans grand effet. . « A Coulon, paroisse de Montfort-sur-Meu (35)

l’Empire car ses deux frères meurent seul à avoir voulu un Etat -> aristocratie franque se méfie donc de lui meurt en 840. dit que son empire sera indivisible avec « Ordination in Perii », « Ordonnance de l’Empire ». traité de Verdun de 843 un capitulaire rédigé en 827 nommée le recueil d’Anségise Charles Le Chauve. Fils de Judith (seconde femme de LLP) Détient la Francia, grâce au traité de Verdun de 843 S’engage à ne plus révoquer un comte sans motif sérieux -> le comte est viager Charles Le

retirer leur titre qui était alors, par la parole de l’empereur décernée à une autre personne. Dans l’Empire carolingien, une fois que le rituel était accompli, le contrat devenait indissoluble jusqu’à la mort d’un des deux protagonistes. C’est le capitulaire de 801-813 qui dicte les rares occasions où le vassal peut légalement abandonner son seigneur qui sont exactement au nombre de cinq : en attentant à sa liberté « réduire injustement en servitude », en cherchant à tuer ou à blesser son vassal « s’il

propres a chaque juridiction et on voit donc se développer de nouvelle coutume. Les capitulaires Se sont des textes émanant du roi, c'est-à-dire émanent du roi ou de l’empereur qui sont généralement diviser en petit chapitre (capitula) et qui édictent des mesures obligatoires a caractère générales. C’est donc la conséquence de l’autorité du roi. Il en existe déjà a l’époque mérovingienne mais c’est capitulaire existe en nombre infime, pour 3 siècle on en a eu que 3. En revanche, ils sont nombreux