Caractéristiques De La Personnalité Des Dirigeants

comme un contrat. Pendant longtemps c’est opposé la théorie contractuelle de la société, l’analyse institutionnelle. Cette analyse était imposé par le fait que le contrat donnait naissance à une nouvelle personne, la personne morale. B) Les caractéristiques de la personne juridique capacité (agir, entreprendre, disposer, exercer,…) qu’elle acquiert dès sa naissance nom Chapitre 1: Le contrat de société c’est le premier élément nécessaire pour constituer une société I- théorie générale du

prise de décisions De multiples décisions sont prises quotidiennement par les différents acteurs de l’organisation (dirigeants, mais aussi cadres, employés, ouvriers...). Les décisions prises par les dirigeants de l’organisation doivent servir les objectifs et les stratégies qu’ils ont eux-mêmes définis. Chaque décision est prise en tenant compte de plusieurs facteurs (caractéristiques de l’organisation, technologie utilisée, évolution du marché, contraintes légales, dynamique des relations sociales…)

Cours complet de Comportements Organisationnels : S5 , L3 Comportements organisationnels Analyse : - les structures organisationnelles : l’organisation du travail - Les caractéristiques individuelles : compétences, motivations - le management : leadership & communication - les collectifs : culture, groupes - le changement et la résistance au changement Analyser une organisation : Définition : le comportement organisationnel (CO) : « domaine d’étude visant à explorer l’impact des individus, des groupes

pas. Il faut absolument capitaliser sur les expériences de soi et sur les expériences des autres pour tirer profit et pouvoir manager sereinement son activité et, dans un sens beaucoup plus large, son organisation. Toutefois, avoir le portrait du dirigeant efficace n’est pas une chose facile, il reste plutôt une attitude à forger avec le temps et à la confrontation d’autrui. Dans ce sens Tiorio a dit « vous ne serez jamais un leader si vous n’avez pas d’abord appris à obéir et être dirigé ». Par

La plupart des experts de la gouvernance d’entreprise concentrent leur attention sur les divergences d’intérêt entre dirigeants et actionnaires des entreprises. Les règles applicables à la divulgation des informations visent à empêcher les dirigeants de gonfler les performances de l’entreprise. Les conseils d’administration ont pour objectif de guider la stratégie des dirigeants, de surveiller leur système de présentation des comptes et de garantir qu’ils ne se surpaient pas, ni ne se surprotègent

pour apporter une réponse satisfaisante à un problème donné. 1. La décision A. La prise de décision Le fonctionnement de l’organisation suppose que soient définies les modalités de la prise de décision, car au-delà d’une certaine taille, le dirigeant ne peut plus tout organiser et tout superviser. Il doit déléguer son pouvoir de décision. Ainsi des milliers de décisions sont prises quotidiennement dans les organisations à différents niveaux hiérarchiques (la secrétaire peut décider de commander

stratégie de l entreprise Chapitre 2 Plan Introduction du chapitre 2 A. Le sommet stratégique B. Les subordonnées C. La culture organisationnelle n Conclusion du chapitre 2 Illustration : le modèle l Oréal n 2 Introduction du chapitre n Le dirigeant est un homme qui gouverne d autres hommes. Quels que soit son génie, quels que soient les progrès rendus possibles par les multiples modèles, la contrainte humaine est là, présente. La stratégie doit être mise en uvre par une collectivité humaine

à un entretien préalable, - s’entretenir avec lui, - lui notifier son licenciement. Les conflits entre un salarié et la direction sont bien plus difficiles à traiter que les conflits entre salariés. Dans un conflit entre salariés, le dirigeant est un tiers qui est présupposé neutre. Il peut donc avertir puis licencier si la situation ne s'arrange pas sans gros risque d'être attaqué aux prud'hommes s'il n'est pas à l'origine du conflit. Dans un conflit entre un salarié et la direction

aux individus afin qu’il puisse fonctionner. Marx a pu comprendre cette réalité grâce à l’analyse idéologique. Celle-ci permet de cerner les intérêts sociologiques, économiques et politiques .Elle a permis de comprendre que ce sont les classes dirigeantes qui contrôlent la superstructure et s’assure qu’elle se maintien. Ces mêmes classes ont des intérêts opposés aux ouvriers puisqu’ils ont des places différentes dans le rapport de production. Étant donné que nous vivons dans une société capitaliste

les années 1980, un nouveau modèle de gestion productif (gestion productive ?) se met en place progressivement afin de surmonter la crise des années 1970 due au taylorisme. Dans ce contexte, la notion de « culture » est mobilisée par de nombreux dirigeants dans les débats sur le changement et la modernisation. L’adaptation des valeurs et des comportements des salariés devient donc, après les organisations et les systèmes de production, « un objet managérial et un enjeu pour la réussite » . Cependant