Caran d'Ache

la droiture des rédacteurs d'article sous peine de ce voir immédiatement sanctionner et donc forcément décrédibiliser. Pour finir et en prenant en compte tout ce qui a été dit précédemment il est facile de comparer l'illustration proposer par Caran d'ache au mode de fonctionnement des blogs en effet, l'affaire Dreyfus a donner lieux a de grand débat autour de sa responsabilité vis a vis des fuites d'informations qu'il y a pu avoir, les uns prétendant qu'il était coupable les autres prétendant l'inverse

l'affaire éclate au grand jour en 1898. Condamné une nouvelle fois, Dreyfus bénéficie de la grâce présidentielle, mais il n’est réhabilité qu'en 1906, définitivement. * une France profondément diviséeDOCUMENT : « un dîner en famille », de Caran d’Ache, paru dans le Figaro du 14 février 1898(https://www.retronews.fr/justice/echo-de-presse/2016/10/18/surtout-ne-parlons-pas-de-laffaire-dreyfus ) Présenter le document  : un dessin humoristique de presse, facilement

Ex : dans l'automobile, on dit « ce modèle est très bon » mais en faite on y connaît rien, c'est parce qu'on l'a lu dans un magasine. Du produit le plus simple au plus compliqué nous n'avons qu'une image de la qualité du produit. Ex : marque CARAN D'ACHE → marque de stylo très prestigieuse nais dont on ne connaît pas ou peu l'image, contrairement à MONT BLANC. On connaît les produits non pas pour la maîtrise de leurs caractères techniques mais par leur image. 1 FACTEURS DE DETERMINATIONS DU

contribue fortement à unifier l'Empire allemand sous la couronne prussienne. D'où l'avènement de l'Allemagne bismarckienne qui domine seule l'Europe continentale pendant près de trente ans. Le Mal nécessaire : satire du bellicisme, par Caran d'Ache (vers 1905) (cliquer pour agrandir) la guerre comme jeu, Harris veut démontrer que les gens, les hommes surtout, sont élevés dans le culte et la croyance de la guerre comme une activité anoblissante, flamboyante et glorieuse,

affaire il y eut une forte mobilisation de la presse par ses « unes », caricatures virulentes, articles se répondant d’un journal à l’autre. Opinion publique mobilisée par cette presse qui s’empare et se nourrit de l’affaire. 2 caricatures : Caran d’ACHE dans Le Figaro (14 fèv.1898) Edouard DRUMONT dans La Libre Parole (10 nov. 1894). Il jette le juif au caniveau en le tenant avec une pince. Drumont est un antisémite ultra catholique. Ces caricatures utilisent tous

opératoire : même si la majorité des catholiques militants et des royalistes sont antidreyfusards, il y a des conservateurs et des catholiques dreyfusards, des radicaux antidreyfusards, des antisémites dreyfusards. Relativiser la caricature de Caran d’Ache : existence d’une troisième France indifférente ou presque à l’Affaire (peut être la majorité). L’Affaire enflamme plus Paris que la Province, Plus les villes que les campagnes, et moins la métropole que l’Algérie. Engagement tardif des socialistes

[parce qu’il fallait un coupable] car il était juif. C'est ainsi qu'avec cette affaire, qui a été militaire, juridique et politique, apparaît l'antisémitisme [la haine contre les juifs fut développée par Drumont]. D'après la célèbre caricature de Caran d'Ache, l'affaire serait devenue l'affaire de tous les français. Cependant, son impact resta limité dans la mesure où elle fut connue surtout dans les grandes villes et en particulier par les élites. Pourtant, le peuple français va très vite se divisé

complexité de cette fameuse intrigue qui, d’abord confinée au milieu militaire, va frapper la France dans sa quasi-totalité et la fracturer en deux camps distincts : dreyfusards et antidreyfusards, ainsi que le représente la célèbre caricature de Caran d’Ache. Mais en quoi peut-on réellement dire que l’affaire Dreyfus-qui commence en 1894 avec l’arrestation et la condamnation pour haute trahison du capitaine Alfred Dreyfus et qui s’achève lors de sa réhabilitation finale en 1906-a divisé la France 

Debat-Ponsan, musée de l'Hôtel de ville d'Amboise, dépôt du musée d'Orsay © Ville d'Amboise Le caricaturiste Emmanuel Poiré dit Caran d'Ache publie Un dîner en famille pendant le procès Zola. Le message de la scène qu'il présente témoigne d'un anti-dreyfusisme modéré : mieux vaut au fond ne pas parler de l'affaire pour éviter de compromettre la paix des familles ! Caran d'Ache, Le Figaro, 14 février 1898

génisse et leur sœur la Brebis en société avec le Lion », Fables * Denis Diderot, article « Autorité », in L'Encyclopédie * Montesquieu, Lettres persanes (1721), « Lettre 101 » Documents complémentaires : Analyse d'images Le dessin de presse, Caran d'Ache, « Dîner en famille » (12 février 1898) Représenter la misère pour mieux la dénoncer : Documents iconographiques : Gustave Doré, “La vieille et les deux servantes”, 1868 ; V. Hugo, Miseria, (s.d) ; H. Daumier, rue Transnonnain, le 15 avril 1834