Carl Von Clausewitz

Origine grecque > domaine militR : art de conduire les armées. « Stratego » = planifier destruct° de ses ennemis par un usage efficace des ressources. Strat repose sur 3 pilliers : liberT d’act°, eco des moyens et ccentr° des forces (Carl Von Clausewitz 18e s) L’emploi du mot strat s’est étendu progresst a d’autres domaines : ut pr désigner ens d’act° coordonnées ou de manœuvres pr atteindre un obj (strat électorale, pubR…) En gest° d’entr, le mot stratégie s’est dvpé après WW2, //mt

pour l’organisation exige du comman- dement qu’il traite de questions plus comple- xes, conceptuelles et abstraites que les préoccu- pations tactiques d’un commandant d’unité. A cet égard, le commandement est une activité plus intellectuelle. Clausewitz exprima une opi- nion similaire lorsqu’il dit « Chaque niveau de commandement a sa propre norme intellec- tuelle. »18 Le commandant Magee se réfère à la théorie des systèmes stratifiés (Stratified Systems Theory – SST) de Jacques et Jacob pour

cognitives, mais pour agir au quotidien, nous prenons des micros et des milliers de décisions et chacune d’elles correspond à une théorie La théorie est d’abord un moyen pour l’homme de connaître son environnement pour pouvoir y évoluer. Selon Carl Popper, « Les théories sont des filets » Selon B. Corany, « Les théories sont des lentilles ». Ici, la théorie est un ensemble d’idées générales qui nous permet de nous orienter dans le monde ; c’est la boussole. La théorie est d’abord construite

politique 3. L’individualisation 1. La parlementarisation : « on ne se tue pas » ; les conflits se pacifient pour se transformer en « joutes oratoires » ; aujourd’hui, au lieu de « casser », il y a un moyen sans violence de s’exprimer. Carl von Clausewitz avait déjà considéré que la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. La politique est la guerre qui se continue par des moyens plus pacifiques. 2. L’anti-professionnalisation. La rationalisation des activités politiques

origines et ses objectifs ne disparait pas sur l’horizon de ses réflexions. En 1831, un officier prussien publie un ouvrage «de la guerre» de Carl Von Clausewitz, c’est à partir de l’étude des guerres napoléoniennes, mais aussi en fonction de ce que cet officier pense être les buts ultimes de la guerre, qu’il construit une typologie de celle-ci. Clausewitz trace les contours d’un nouveau domaine de recherche, l’étude des guerres ou la polémologie qui par la suite sera approfondi par Gaston Bouthoul

Carlo Galli CARL SCHMITT E L’ETA’ GLOBALE 1. Il pensiero di Schmitt è la decostruzione della teoria politica moderna: ciò è vero sia in politica interna per la teoria dell’eccezione/decisione e del ‘politico’ (che è una genealogia della teoria dello Stato razionale hobbesiano) sia in politica internazionale per la teoria del nomos e del partigiano (che sono complicazioni genealogiche della geopolitica e del diritto internazionale a base statuale). E ciò significa che l’elemento conflittuale

  Victor Hugo  (Fragments) La crainte de la guerre est encore pire que la guerre elle-même.  Sénèque On ne fait la guerre que pour se débarrasser de la guerre.  Jean Jaurès La guerre est une poursuite de l'activité politique par d'autres moyens.  Carl von Clausewitz  (De la guerre) Ce que je maintiens, c'est que la guerre fait joliment bien dans l'histoire, et que la paix fournit une piètre lecture.  Thomas Hardy  (The Dynasts, II, 5) En temps de paix les fils ensevelissent leurs pères ; en temps de guerre

l'attribution des responsabilités, de la participation de tous à son élaboration… et de la célérité habituelle des japonais à mettre en oeuvre les décisions. Dès que les difficultés surgissent… le commandement doit faire preuve d'une volonté de fer (Carl Von Clausewitz) Cette rapidité d'exécution a résulté aussi de la rigueur avec laquelle le plan a été exécuté, de la qualité du suivi qui en a été fait. Cela n'a pas été facile. Il a fallu intervenir en permanence pour repousser la tentation de forcer les

africains ont ainsi retranscrit, dans leurs œuvres, l’absurdité de la .  Définissons, à la suite de von Clausewitz, la guerre par « avant tout, un acte de force qui cherche à soumettre l’ennemi à notre volonté », en le « réduis[ant] complètement à l’impuissance, ou, du moins, [en] le mett[ant] dans des conditions telles que cette éventualité lui paraisse imminente. » (Carl von Clausewitz, De la guerre, trad. et éd. Jean-Pierre Baudet, Paris, Gérard Lebovici, 1989, p. 36) .  Lilyan Kesteloot

2-jean jacques rousseau, le contrat social, 1762, livre I, chapitre I , Paris, Gallimard, T. III, 1964 3- Arsenij goulyga, Emmanuel Kant, une vie, aubier, paris, trad. Jean- marie vaysse, 1985 4-Pierre Naville, introduction à De la guerre de Carl Clausewitz,1830, traduction de Denise Naville, Paris, 1955 Mais le pacifisme se retourne contre la paix et bellicisme contre la guerre. Toute l’idée du bellicisme est d’être la négation de la guerre car, à l’extrême, l’anéantissement total nierait le