Carl Von Clausewitz

politique B- Stratèges de la « polis » II- Stratégies concevables A- Stratégie offensive B- Stratégie d’usure C- Les attitudes possibles *Note sur Machiavel et Clausewitz I- Précision conceptuelle Le concept de stratégie a un champ très extensif, le sujet que nous abordons balaie un vaste domaine de réflexion ouvert à l’homme quand il doit penser et agir pour résoudre les problèmes posés dans la société

avant de constater l’apport primordial de la fonction Retex dans l’entraînement en vue des engagements futurs en zone urbaine. L’institutionnalisation de l’utilisation des expériences des guerres Comme l’explique Clausewitz, les armées évoluent dans un brouillard d’incertitude (cf. Clausewitz, p. 84 et suivantes). À cet égard, il parlait du décalage entre guerre « sur le papier » et guerre « réelle », qui fait de la surprise un élément permanent de la guerre (op. cit.., p. 51 à 69). Les premières batailles

Leçon 2 : la dimension politique de la guerre : des conflits interétatiques aux enjeux transnationauxIntroduction :« La guerre n’est pas un objet indépendant, mais la continuation de la politique par des moyens différents. » Carl von Clausewitz,1827.Cette citation affirme quelque chose de simple toute guerre à toujours pour but : le pouvoir , donc un but politique. La guerre est aussi politique car il faut faire de la politique : faire de la propagande, donner de ordres, trouver des ressources,

"tactiques et stratégies (sic) de guérilla". . • 1978. Jack Trout et Al Ries, publicitaires new-yorkais, organisent les premières conférences consacrées au Marketing Warfare. Essentiellement basées sur des analogies militaires et sur De la Guerre de Clausewitz, Trout et Ries préparent aux Etats-Unis la révolution de la pensée marketing des années 80. • 1981. Jack Trout et Al Ries publient leur premier livre aux Etats-Unis : Positionning, the battle for your mind. • 1983. Barrie G. James publie Business

dans les États déjà établis semble plus complexes. En effet, les thèses à ce sujets s'opposent souvent, certains auteurs, à la suite de Clausewitz, considérant que « la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens »[5] et d'autres, comme Machiavel pensant que la politique est un moyen d'assurer la pérennité d'une victoire militaire. Clausewitz explique son propos en considérant que la guerre, étant une décision des États, est nécessairement une suite de la politique menée par ces

nettement distinguée des différentes formes de lutte et d’opposition. Le trait le plus frappant de la guerre est son caractère de phénomène collectif. C’est en cela qu’elle doit être différenciée des actes de violence individuels. Certains comme Clausewitz (cf. page7) considèrent la guerre comme un « acte de violence dont le but est de forcer l’adversaire à exécuter notre volonté ». Friedrich Martens quant à lui, estime que la guerre est « une lutte entre hommes ». La clause de Martens La clause

Routledge, 2006. * W. Kihl, Young. North Korea : the politics of Regime survival. New York, ME Sharpe, 2005. * Notes de cours POL 3220 ‘Pensée stratégique contemporaine’ (chapitre sagesse chinoise et audace européenne - Sun Tzu & Carl Von Clausewitz) * Kim, Samuel. The two Korea’s and the great powers. Cambridge, Cambridge University Press, 2006. * ‘La Corée du Nord prête à utiliser la dissuasion nucléaire’ – Le nouvel Observateur, 25 avril 2010. * Programme nucléaire Nord

particulières, extrêmement variables suivant les lieux et les époques. Sa dernière caractéristique est d'être sanglante, car lorsqu'elle ne comporte pas de destruction de vies humaines, elle n'est qu'un conflit ou un échange de menaces. » Selon Karl Von Clausewitz, la guerre est un conflit armé opposant au moins deux groupes militaires organisés réguliers2. Elle se traduit ainsi par des combats armés, plus ou moins dévastateurs et implique directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous

l’intérêt et la souveraineté de l’Etat. 2.2 L’école réaliste Thucydide (471 – 400 av.JC) Nicolas Machiavel (1469-1527) Carl von Clausewitz (1780-1831) Thomas Hobbes (1588-1679) - 7 / 10 - JAP437 Hans Morgenthau (1904-1980) Henry Kissinger (1923 - ) Raymond Aron (1905-1983) Les penseurs réalistes ont des référents : Thucydide, Machiavel, Clausewitz. Dans son célèbre ouvrage sur la guerre de Péloponnèse, Thucydide décrit la guerre des Athéniens contre leur voisin. Selon les

politique, c’est le monopole de la violence légitime », et l’Etat tire cette puissance directement du contrat social. La puissance souveraine est seule habilitée à déclarer la guerre, et ce pouvoir constitue le noyau même du pouvoir politique. En effet, Carl Schmitt estime qu’est « souverain celui qui décrète l’état d’exception ». Seule une unité politique, une « communauté existentielle d’intérêts et d’action », peut désigner un ennemi. La véritable sphère politique est donc celle qui choisit l’ennemi