Cas Concret Module 8 Aide Soignant

juridique et d’une autonomie financière. Un conseil d’administration détermine la politique générale de l’établissement. Au niveau des ressources humaines, il est servi par 487 employés dont 188 Personnels Soignants, 84 Personnels Administratifs,74 Médecins Spécialistes,56 Agents des Services Généraux(ASH), 38 Personnels Médico-Techniques(TMS), 29 Techniciens,13 Médecins Généralistes, 04 Chirurgiens Dentistes et 01 Pharmacien. Il est doté d’une capacité

1.3.1. L’origine du logiciel 14 1.3.2. Les fondements méthodologiques du logiciel 15 1.3.3. Quelques concepts clés 15 1.3.4. Un outil bien conçu 18 1.3.5. Les caractéristiques de l’outil 20 1.3.6. Les domaines et études de cas 22 Chapitre : 2 Accès au terrain 23 2.1. Présentation de l’enquête 23 2.2. Déroulement de l’enquête 24 2.3. Méthode d’enquête utilisée 25 2.4. La restitution 26 Chapitre : 3 Implication personnelle 27 3.1. Le choix du stage 27 3.2. La

Lyon 1 Département de psychologie Centre de recherche en psychopathologie et psychologie clinique Sciences humaines et sociales Institut de Psychologie Université Lumière - Lyon 2 Incidences de la pathologie autistique sur les collectifs soignants d’enfants autistes Dirigée par Jacques HOCHMANN Présentée et soutenue publiquement le 24 octobre 2000 Thèse de doctorat en Psychologie Spécialité Psychologie et Psychopathologie clinique Par Christelle TIRARD COLLET Devant un jury composé

lui-même et pour son proche malade, majoré dans le cas des pathologie dégénératives qui bouleversent tout particulièrement les rôles et les équilibres familiaux. L’enjeu est de permettre aux aidants familiaux de continuer à jouer leur rôle auprès de leur proche, de prévenir leur épuisement et ses conséquences pathogènes, par la mise en place de réponses différenciées prenant en compte tant l’évolution de la maladie que la dynamique interactionnelle aidant /aidé. Face au constat de leur besoin d’étayage et

Donner sens à ma vie, Donner sens à ma mort Etienne Godinot La mort et la vie L’être humain est mortel. Comme on le dit en plaisantant - car l’humour aide à vivre -, « la vie est une maladie mortelle, héréditaire et sexuellement transmissible », ou encore « la mort est une échéance de fin de moi. »… Chaque être humain peut - et doit - se demander pourquoi il est embarqué dans la vie sans l’avoir demandé, pourquoi il est né dans tel milieu, tel pays, telle culture, à telle époque, pourquoi en

branche II. Analyse des propositions du rapport Johanet 2 III- Article 24 adopté le 13 juillet 2011 par la Commission Mixte Paritaire IV. Article 60 du PLF 2012 tel qu’adopté par l’AN (14/11/2011) V. Proposition APREF de pool de co-réassurance VI. Aide Humaine Délégation Générale : B. DOLLFUS – tél +33 (0)1 42 47 90 10 Secrétariat Général : J-M. SZMARAGD - tél +33 (0)1 46 98 70 62 Siège : 26 boulevard Haussmann – 75009 Paris Site : www.apref.org Page 2 sur 30 3 L’Apref s’exprime dans ce

malin: accident grave mais rare→survenue d'1 hyperthermie (38,5 à 40°), rigidité musculaire intense, troubles de la conscience, choc cardio-respi. Ttt relevant de réanimation spécialisée→pronostic vitale en jeu d'ou arret immédiat des neuroleptiques en cas de suspicion. *Troubles neuro-végétatifs ou antiolinergique : sécheresse buccale ou salivation excessive, sécheresse des yeux et vision floue, constipation,difficulté à uriner. *Augmentation de l'appétit : attirance pour aliments sucrés : prise de poids

côté du soignant que du soigné. Il en ressort que la prise en charge d’un patient diabétique musulman, en prenant en compte une approche culturelle et spirituelle améliore l’observance au traitement et augmente la qualité des soins. Cela permet au patient d’avoir un choix éclairé sur les soins qui lui sont proposés. Il apparaît aussi que l’infirmière clinicienne en diabétologie est celle qui accompagne le patient et son entourage dans les autosoins thérapeutiques. Elle est celle qui aide le patient

système embarqué ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 • Principaux types de systèmes embarqués – quelques exemples concrets. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 – Chiffres clés.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Qu’un système embArQué ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Principaux types de systèmes embarqués – quelques exemples concrets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 – Chiffres clés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .