Cas De Synthèse 3 Fiscalité Et Redistribution

Analyses of Economic Development International; Investment; Long-Term Capital Movements JEL : O2, O11, F21 GRETHA UMR CNRS 5113 Université Montesquieu Bordeaux IV A v e n u e L é o n D u g ui t - 3 3 6 0 8 P E S S A C - F R A N C E T e l : + 3 3 (0 ) 5 . 5 6 . 8 4 . 2 5 . 7 5 - F a x : + 3 3 (0 ) 5 . 5 6 . 8 4 . 8 6 . 4 7 - w w w . g r e t h a . f r Politique d’attractivité des IDE et dynamique de croissance et de convergence dans les PSEM 1. Introduction Dans leur grande majorité les

Fiches de droit fiscal I – Introduction (très résumé) 1 – La définition de l’impôt dans le droit positif. Il faut envisager cette definition a contrario. Il y a 3 categories de prelevement obligatoire: les redevances pour services rendusm les cotisations sociales et les impositions de toute nature. Pour trouver la definition des impositions de toute nature, il faut determiner ce qu’elles ne sont pas, c’est a dire ni des redevances ni des cotisations sociales. A) Les redevances pour service

trompent, que l’or et l’argent ne sont pas des sources de richesses mais la Terre qui est « mère de tous les biens » (Mirabeau). C’est à partir de ces biens agricoles que les autres biens vont pouvoir être produits. Quesnay : au niveau économique, il y a 3 classes, et des liens entre elles. Une est essentielle, c'est celle qui possède la Terre = « les propriétaires terriens » (clergé et noblesse). Ils vont payer les investissements pour que la terre soit fertile. « La classe productive » (paysans) travaille

Copenhague 7 2.2 L’écologie et les économistes : une rencontre récente 8 2.3 Evolution démographique et inégalités : la base du problème environnemental 10 2.4 Les responsabilités des marchés et de l’Etat dans la dégradation de l’environnement 11 3 ALLIER ECOLOGIE ET ECONOMIE 14 3.1 Une agriculture différente 14 3.2 Une urbanisation repensée 15 3.3 Les outils pour une économie verte 16 3.4 Les énergies renouvelables : la bonne solution ? 19 3.5 Les déchets des uns comme matière première

valeur d’option ........................................................................ 35 2.7. Les limites respectives de la climatologie et de l’économie : une parenthèse ............................................................................. 37 3. L’évaluation économique du Protocole de Kyoto ........................... 40 3.1. La chronologie de l’action ............................................................ 40 3.2. L’ampleur de l’action ................................................

(éducation, formation, brevets, logiciels, fonds de commerce); les placements financiers ou emplois financiers. Les emplois financiers permettent à ceux qui épargnent de transférer des ressources à ceux qui désépargnent. C’est globalement, rappelons-le, le cas pour le secteur des ménages. 1 S = Savings, Y = Income, C = Consumption -2- INTERMÉDIAIRES FINANCIERS ERIC DE KEULENEER Trois possibilités d’investissement s’offrent typiquement aux ménages : un investissement en actifs réels, comme

L’histoire économique et sociale en fiches, du XIX siècle à nos jours. Plan du cours : •Chapitre 1 - de l’origine de l’humanité à 1750 : naissance et développement du commerce •Chapitre 2 - de 1750 à 1850 : la première révolution industrielle •Chapitre 3 - de 1850 à 1914 : le développement du capitalisme •Chapitre 4 - de 1918 à 1939 : l’entre-deux-guerres •Chapitre 5 - de 1945 à 1973 : Les Trente Glorieuses •Chapitre 6 - de 1973 à nos jours : Crises et croissance •Chapitre 7 - Histoire de la protection

parce qu’ils pratiquent efficacement « l’optimisation fiscale ». Nous sommes dans une société qui crée et reproduit naturellement des inégalités économiques et de revenus. Dans ce contexte, l’impôt est le seul moyen efficace de faire de la redistribution. Reaganiens et Thatchériens expliquaient déjà dans les années quatre-vingt que l’enrichissement de quelques-uns tirerait immanquablement vers le haut les revenus des plus démunis. Nous savons au contraire que, sans mécanismes forts pour redresser

positions sociales selon le milieu social dont ils sont issus. Comment peut-on expliquer cette relative immobilité sociale ? 3. Enfin, les sociétés démocratiques se prétendent plus justes socialement. Les inégalités constatées ne seraient plus héréditaires mais le fruit du talent, de l’effort, du mérite. Peut-il y avoir une inégalité qui ne soit pas une injustice ? Dans ce cas, la société doit-elle tendre vers plus d’égalité ? L’égalitarisme ne va-t-il pas tuer l’esprit d’invention et d’entreprise

macro-financiers… 2.3. … mais peu d’effets de structure 2.4. Recul relatif des indicateurs sociaux 2.5. Les impasses du PAS : où l’ajustement n’induit pas la croissance et où la croissance ne garantit pas le développement humain 39 41 44 50 54 56 Chapitre 3: L’économie marocaine début de siècle : une macroéconomie entre ajustement et régulation 3.1. Une macroéconomie entre ajustement et régulation 3.2. Un régime de croissance sans industrialisation 3.3. L’hypothèque agricole 3.4. Une croissance extravertie