Cas Pratique Divorce Par Consentement Mutuelle

pax ou concubinage). La parenté et l’alliance sont donc les deux piliers de la famille. La famille dans tous les cas présente une particularité. C’est un phénomène social avant d’être un phénomène juridique, la famille existe, elle évolue et ce développe généralement avant que la loi ne l’ai prévue. Par exemple on a mit très longtemps a reconnaitre le divorce, le pacs. Ce n’est pas la loi qui vient définir de nouveau type de famille, c’est la famille qui dicte la loi en fonction de

Section II : Les autres cas de divorces. I. Le D pour faute. ( art 242, 244, 245 inchangés & 245-1, 246 (nouveau) - loi de 2004 a supprimé l’art 243 du CC qui érigeait en cause péremptoire de D à une peine afflictive ou infamante > qd la cause est péremptoire, le juge n’a pas le pvr de refuser le D (péremptoire = qui s’impose au juge) - en Dt positif, la cause est générale & facultative > générale : il y a à l’art 242 une déf générale de la faute > facultative ≠ péremptoire : juge peut

pourra garder notre nom de jeune fille mais « épouse d’un tel » Quand un couple /3 divorce autorisation du juge intérêt professionnel ( ex une avocate qui est connu sous le nom d’un tel elle garde le nom) L’enfant porte le nom de la mère dans le couple marié ? Le seul lien qui rattache l’enfant à son père est le nom. Pour changer de nom de famille mais il faut un intérêt légitime. Pour le prénom on peut le franciser. Cas N°1 Quand il n ya pas de limitation au choix du prénom. Peux avoir plusieurs

professionnel -l’adresse -le montant du prix - le modalité du payement - les qualités rechercher (âge, résidence, etc.) - les peines de nullités - La duré du contrat, et sa résiliation (1an) La loi prévoit la résiliation anticipée : (Au cas ou le client à trouver quelqu’un tous seul, ou un déménagement) La loi encadre également la publicité : Doit mentionné les éléments essentiel permettent de montrer le portrait sociologique de la personne.- le nom du professionnel doit apparaître

même de ce droit. En effet, il est dans une évolution très importante et les mutations sont nombreuses et rapides. Les mœurs et les coutumes sont très variantes. Le droit de la famille tente de s’adapter aux circonstances de la famille (séparation, divorce, garde des enfants…). Le critère de l’intérêt de l’enfant, varie en fonction de l’âge de l’enfant et des conditions personnelles, et est un critère fondamental au sein du droit de la famille. En droit, il n’y a pas de vérité juridique intangible ;

120 000 divorces et 250 000 mariages, c’est le JAF qui traite les affaires de la famille-> en majorité autorité parentale et droit de visite. 125 000 divorces en 2013 et 53 % des divorces sont fait par consentement mutuel. 178 000 pacs, 3 mariages pour 2 pacs et 13% sont devant le notaire. Il y a des protection pour les majeurs, environ 1 million de personnes sont sous tutelle. Paragraphe 3 : les sources du droit de la famille. Le droit civil étudie la famille au travers du mariage, du divorce, de la

prêtresse, doit se consacrer exclusivement au culte du Vesta, au foyer, vouée au célibat choisit à 7ans). Le dieu Mars décide de visiter Rhéa Sylvia, leur fit 2 enfants Romulus et Remus. Rhéa Sylvia sera sanctionné, enterrée vive. Il va se livrer a la pratique de l’exposition c’est-à-dire livrer a la nature des nouveaux née, il pose les nouveaux née sur le fleuve tigre, le fleuve les rejette, ils sont récupérés par une Lupa (louve, prostituée). A l’âge de la majorité ils reviennent a Albe, revendiquer

sécurisante, c'est le mariage. C'est formidable, car dans le mariage tout est prévu. Le législateur définit les devoirs du mariages, il précise également la protection mis en œuvre dès lors que l'un des conjoints viendra à décéder. Dans l'hypothèse d'un divorce, la prestation compensatoire viendra à protéger le conjoint le plus impétueux. Ce qui veut dire que dans le mariage on prévoit la vie patrimoniale, mais également la vie extra-patrimoniale. On peut dire que si une évolution s'est produite depuis la

juillet 1972, qui vient consacrer l’égalité entre enfants légitimes et naturels. • Il y a aussi l’idée de la liberté qui va entrainer l’importante réforme du divorce du 11 juillet 1975 (avant on ne pouvait divorcer seulement pour faute). Ainsi le législateur consacre d’autres modes de divorces, avec les divorces par consentements mutuels. • Dans les années 80, la loi Malurhet du 22 juillet 1987 va venir réformer les règles de l’autorité parentale quelles que soient la nature de la filiation.

automatique sa faute. En cas de rupture de fiançailles on ne peut pas garder la bague de fiançailles si c’est un bijou de famille, il y a une restitution de la bague de fiançailles. En fonction de la valeur de cette bague, il peut y avoir restitution de la bague, si c’est bien au dessus de ses moyens. S’il y a une rupture abusive des fiançailles, l’auteur de cette rupture peut devoir indemniser l’autre personne. Elle engage sa responsabilité. Question de droit : En cas de rupture de fiançailles