Cas Pratique Vice Caché

Toutes les conventions qui ont pour objet de créer des effets de droit jouissent d’une force obligatoire ( art 1134CC). La distinction permet de mesurer la liberté dont jouissent les parties et de préciser les sources auxquelles le juge aura égard en cas de litige: Le contrat nommé voit son régime légalement règlementé et ces règles particulières ( impératives ou supplétives) s’ajoutent aux règles générales ( art 1107CC) Cela implique que : Sous l’angle des parties : en adoptant une qualification

Dès que les deux parties se rencontrent, il y a contrat. L’acceptation de l’offre doit être sans équivoque. En principe le silence ne vaut pas acceptation sauf dans certains cas particuliers quand la loi le prévoit expressément (quand l’offre n’est faite que dans l’intérêt de celui à qui elle s’adresse, ou, quand cette pratique résulte des usages commerciaux de la profession, ou, quand les parties sont en relation commerciale suivie). Les parties en présences Les parties non présentes La date Le

d'un bon catholique qui va «chaque jour à l'église» (vers 283), fait des actes de charité (vers 855-856) ou bien se fait lui-même violence pour expier ses fautes (vers 853) se cache en fait un homme qui utilise la dévotion pour ses propres intérêts. La vraie foi décrite par Cléante est bien différente de celle que pratique l'imposteur. En effet, comment expliquer le fait qu'il soit «gros et gras, le teint frais et la bouche vermeille» (vers 234) alors qu'il se mortifie et prétend renoncer aux plaisirs

qu’il faudra affiner et préciser voire requalifier (bail commercial, contrat de dépôt, location, prêt d’une banque et prêt d’une voisine, mandats… : même base mais situations diverses). La diversité vient aussi de l’arrivée sur notre marché de pratiques Anglos saxonnes : marchandising, leasing, sponsoring. Du fait de cette diversité, des problèmes de qualification se posent et l’on est souvent obligé de faire des montages juridiques entre des contrats qui existent. Par exemple pour des contrats

La formation du contrat 1. Les conditions de validité Comme tout contrat de droit privé, la vente est soumise aux conditions de validité de l’article 1108 du code civil. Le consentement des parties doit être libre et éclairé. C’est-à-dire sans vice (l’erreur, le dol {Manœuvre frauduleuse qui amène une partie à se tromper sur un élément important du contrat} et la violence {Chantage physique ou moral pour amener une partie à contracter}). Les parties doivent être juridiquement capables de contracter

pas. Viager. • Contrats à exécution instantanée/successive Contrat à exécution instantanée : Les obligations des parties s’exécutent en une seule fois. En cas de rupture du contrat, il s’agit d’une résolution. Exemple : Contrat de vente Contrat à exécution successive : Les obligations des parties s’exécutent en plusieurs fois. En cas de rupture du contrat, il s’agit d’une résiliation. Exemple : Contrat de téléphone La résolution joue pour l’avenir mais a un effet rétroactif (dans le passé)

collectif de dettes (procédure qui aide un particulier qui a trop de dettes) ← Le tribunal du travail fait appel à la cour du travail La cour de cassation : vérifie le respect du droit, pas le fait (c’est différent d’un appel) Elle peut casser un arrêt ← Pourvoi en cassation Rem : Tous les arrêts sont susceptibles de faire un pourvoi en cassation Le conseil d’Etat : c’est la juridiction supérieure pour l’administratif La cour constitutionnelle : (ancienne cour d’arbitrage)

énonce certaines des causes qui aboutissent à ce que le consentement d’une des parties à un contrat ou les deux soit vicié(s). Ces causes légales sont l’erreur, le dol et la violence. Cependant, on peut noter que la lésion est également un élément de vice d’un contrat, comme le décrit d’ailleurs l’article 1118 du code civil qui énonce que  « La lésion ne vicie les conventions que dans certains contrats ou à l’égard de certaines personnes ». Néanmoins, notre étude étant attachée aux vices du consentement

PEEDDAAG GO OG GIIQ QU UE E VIIR RT TU UE EL LL LE E Diplôme : Licence, 5ème semestre Matière : Droit de la famille Web-tuteur : Béatrice Kan-Balivet SEEAANNCCEE NN°05- LEESS NNUULLLLIITTEESS DDUU M MA AR RIIA AG GE E SO OM MM MA AIIR RE E I. LES CAS DE NULLITE 3 A. EMPECHEMENT PROHIBITIF ET EMPECHEMENT DIRIMANT 3 B. NULLITE RELATIVE/NULLITE ABSOLUE 3 Civ.1ère, 13 décembre 2005 II. LES CONDITIONS D’EXERCICE DE L’ACTION EN NULLITE A. LES TITULAIRES DE L’ACTION EN NULLITE 1. Les actions

fondements. On peut supposer que les partenaires sont des gens responsables et qu'ils s'engagent de bonne foi. Le code civil a d'abord accompagné cette liberté en donnant des règles supplétives ou interprétatives, ces règles étant destinées à s'appliquer en cas d'oublis des cocontractant. Les contrats spéciaux et le déclin de la liberté contractuelle La liberté contractuelle à la fin de la seconde guerre mondiale a laissé place au dirigisme contractuelle. Le législateur encadre de plus en plus le