Cass Civ 1ère 12 Juin 2001

relations contractuelles dont elles déterminent les caractéristiques essentielles. Des conventions d'application en précisent les modalités d'exécution, notamment la date et le volume des prestations, ainsi que, le cas échéant, le prix de celles-ci »[12].   De ce fait, le long terme (A), l'aspect normatif (B) et la hiérarchie de l'ensemble contractuel (C) semble être des caractéristiques du contrat cadre. A) le long terme Le contrat cadre est né dans la pratique pour faciliter la relation d'affaires[13] qui

était illimité, les textes en vigueur innovent en faisant passer celle-ci du douzième (article 755 ancien du code civil) au sixième degré c’est çà dire en pratique le cousin issu des germains. Cette limitation reprise par la loi française de décembre 2001, se justifie par l’idée selon laquelle au-delà d’un certain degré, l’affection et la solidarité familiales étaient usées et qu’en faisant ainsi cette limite au sixième degré, l’on accroitrait indirectement la vocation successorale de l’état. D’autre

SNC… Thème : le régime juridique des apports : difficultés en raison de l’acquisition différée de la personnalité morale : soc en formation avant l’immatriculation Question qui a connu une évolution certaine : question instable Chambre commerciale 9 juin 2004 (Bull. n° 122) Aux termes de l'article 1836, alinéa 2 du Code civil, les engagements d'un associé ne peuvent être augmentés sans le consentement de celui-ci. Dans cette espèce, les statuts d'une SCI prévoyaient, d'un côté, que le bénéfice de l'exercice

que « il n’est pas contesté que la diffusion sur le réseau internet des photographies de Lynda Lacoste, sans son autorisation, constitue une atteinte au droit qu’elle a sur son image, attribut de sa personnalité » (Cour d’Appel de Versailles, 1ère ch., 8 juin 2000). Enfin, comme le rappelle un auteur « une exposition est au même rang qu’une reproduction dans la presse. En pur droit, peu importe en effet que l’image soit très éphémère ou fixe, grande ou petite, imprimée à un seul exemplaire ou diffusée

toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance ». Elle invoque également la violation de l'article 14 combiné à l'article 8 en estimant que le secret constitue une discrimination. le 16 octobre 2001, la CEDH, rejetant le motif d'irrecevabilité tenant au nonépuisement des voies de recours internes et jugeant que les griefs invoqués par la requérante posaient de sérieuses questions de fait et de droit et nécessitant un examen au fond, a déclaré

certains acteurs. Mais le droit bancaire est tout aussi bien un droit qui s’appuie sur le droit des obligations, et qui reste d’ailleurs soumis aux règles du droit civil, que l’on songe aux contrats bancaires, aux crédits (contrats de prêts : art 1900 C. civ.) ou encore à la responsabilité du banquier. En outre, le droit des suretés s’applique à la matière. De manière plus insidieuse, le droit bancaire tire sa nature et quelques unes de ses caractéristiques du droit public, notamment au regard de sa structure

le plus important c’est l’achat du client avec paiement du prix au promoteur. * Une qualification distributive : le juge va constater qu’il y a deux contrats mêlés et il va appliquer les règles spécifiques de chacun des contrats (arrêt 1ère civ. 3 juillet 2001, affaire d’un cheval de course. Le propriétaire du cheval a confié l’entretien du cheval et l’entrainement à une personne. Ici il y avait deux contrats : un contrat d’entrainement du cheval, c’était un contrat d’entreprise puisque c’est une

3éme cycle, voire à des thèses renommées dont les plus ardents défenseurs demeurent MOTULSKY, SOLUS, PERRAT, GUINCHARD et l’imminent Loïc CADIET. Le cours de droit processuel s’attachera à revenir sur l’instance administrative, civile, pénale (1ére partie), puis au contentieux administratif, civil et pénal (2éme partie). Et enfin sur des considérations relatives au procès équitable ( troisième partie ) Ière Partie: L’Instance processuelle Le droit commun processuel ne peut être analysé

biens immeubles La maxime ne détermine plus la classification même si elle conserve une valeur ethnologique B_ Le contenu de la qualification C’est la loi et non pas la volonté des parties qui détermine ce qui est meuble ou immeuble Civ 3, 26 juin 1991 [B.N°197 JCP 92II21825] « la nature immobilier ou mobilière d’un bien est définie par la loi et la convention des parties ne peut avoir d’incidence à cet égard », la volonté des parties peut avoir un rôle mais déterminer indirectement par

Il y a évidemment dans cette matière le débat lié aux pros et aux antis mondialisation. On peut citer les âpres discussions pour l’entrée de nouveaux pays dans l’OMC : voir actuellement le débat sur l’entrée de la Russie (entrée de la Chine en 2001). On peut citer les négociations en cours pour l’élargissement de l’UE : voir entrée ou non de la Turquie dans l’UE ? Au cœur des débats se dessinent sans doute 2 doctrines dans le commerce international : - Doctrine libérale ou du type