Cass Civ 1ère 5 Mars 2008

République ont été instaurées dans un contexte particulier, c’est ce pourquoi on n’a pas de déclaration des droits. Cette carence va être comblée par le législateur (loi du 30 juin 1881 : liberté de réunion, 29 juillet 1881 : liberté de la presse, 21 mars 1884 : liberté syndicale, 1er juillet 1901 : liberté d’association). Des lois peuvent tout de même paraître très répressives telles que les lois mises en place pour lutter contre le terrorisme anarchiste (emprisonnement, censure, etc.), loi du 19

Très souvent le conjoint va se retrouver en conflit avec d'autres membres de la famille et assez souvent se posait le problème si le conjoint survivant pouvait continuer dans le domicile de son conjoint décédé. Cette loi a été suivit par la loi du 4 mars 2002, relative à l'autorité parentale, qui va établir une égalité dans l'exercice parentale, lorsque les parents continuent de vivre ensemble ou lorsqu'ils sont séparés. Ultérieurement va intervenir la réforme sur le divorce du 26 mai 2004. C'est une

administration. Jurisprudences sur l’image des biens : Cas du droit au fructus. 1999, une dame a un café qui a été un des premiers cafés libérés lors du débarquement de Normandie. La propriété du bien confère t’elle l’image du bien ? 1ere civ. C. Cass. 10 mars 1999 : va dire que oui, lorsqu’on est propriétaire d’un bien on est également propriétaire de l’image du bien. Arrêt mai 2001 en Bretagne : maison coincée entre deux rochers de granit rose ; des touristes photographies cette maison.

.................................................................................................. 1. La substitution de l’autorité parentale à l’ancienne puissance paternelle ..... 2. La reconnaissance de la coparentalité à travers la loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale............................................................................. a) La présomption d’accord pour les actes usuels ................................................. b) L’absence d’impact de la séparation

droit administratif, et l'application de texte fiscal, il n'y a pas de raison d'innover, c'est la notion civiliste ou administrativiste qui sera appliquée. La notion de délivrance de la chose en droit fiscal est directement extraite de C. civ. 1604 : CE, 31 mars 1978, Richard. La qualification des établissements publics en droit fiscal est la même qu'en droit administratif : CE, 16 décembre 1983, Office municipal du tourisme de la vallée de X…Cela signifie qu'un EP en droit fiscal est la même chose

son consentement la sanction sera l’annulation du contrat (droit commun). Très souvent en droit des contrats on part du droit le plus spécial au droit commun. Plus récemment, par une loi du 1er juillet 2010 qui transpose une directive européenne de 2008, le législateur a encadré l’obligation d’information du professionnel pour les contrats de crédit à la consommation. Plus précisément, les contrats visés sont les crédits à la consommation d’une valeur supérieure à 200 euros mais inférieure à 75 000

étranger ou une administration étrangère. L’interlocuteur, ici, est donc un organe public étranger, et non un particulier. Conflits de juridiction : ils comportent 2 aspects : ➢ l’identification du tribunal compétent pour trancher un litige en 1ère main. (le demandeur suit le tribunal du défendeur normalement, mais il peut y avoir un problème de compétence directe) ➢ compétence indirecte hypothèse où le tribunal ou juge étranger a rendu sa décision, et on va se demander comment la mettre

développement de commerce international (CNUDCI), DROIT MATERIEL, Convention de Viennes (1980) (en vigueur) Art. C 55 = supériorité des traites sur une loi nationale (promulgué avant et après) la loi postérieur et antérieur  cour de cassation : Cass. Ch. Mixte, 24 mai 1975, Jaques Vabres = GA (grand arrêts) no 55, GDJ arr. no n1 (PUF 2011 CE, ass, 20 octobre 1989, Nicolo, GA no 56 Ces traites… difficile avec les pays cultuellement diffèrent (il n’y a pas de traite – France – chine) C’est alors

contemporaine […]de 1804 jusqu’à la seconde moitié du 20ème siècle le code civil n’a quasiment pas changer en dehors de la loi naquée de 1884 qui a réintroduits de manière restreinte le divorce. On assiste à un courant de réforme à partir des années 1960. 1ère réforme importante : tutelle en 64 2ème : 65 régime matrimoniaux 3ème : 66 l ‘adoption 4ème : autorité parentale 70 5ème : filiation en 72 6ème : la loi sur le divorce en 75. Ces différentes lois st dominés par une unité de ton et de style

Décision cour cass 7 mai 2008, dès que l’offre est assortie d’un délai elle ne peut être librement rétractée. Selon cette décision l’offre avec délai constituerai un engament unilatérale de volonté qui oblige définitivement son auteur. Elle ne se prononce pas sur la sanction d’une rétractation. Lorsque l’offre ne contient aucun délai la jurisprudence décide qu’elle doit être maintenue pdt un délai raisonnable. En cas de conflit ce délai dépend de l’appréciation des tribunaux. Décision cour cass du 25 mai