Cass Civ 28 Janvier 1954

peine de faire des infractions. L'ordre public est une notion qui a toujours existé, mais depuis la Révolution Française elle a un contenu plus précis, 3 éléments constitutifs Avec la loi sur l'organisation département 22 décembre 1789 et celle du 10 janvier 1790 qui donne un contenu a cet ordre public et cette PA général. A ces 3 éléments s'ajoute un 4ème plus incertain A) La trilogie classique de l'ordre publique L’ordre public c'est 3 éléments a) la tranquillité Ce sont des citoyens calmes, non tumultueux

d’activités qui les débordent largement. Il est dès lors apparu que la protection qu’assure au rivage de la mer le régime de la domanialité publique devait être étendue à leurs dépendances immédiates. [pic]  C’est ainsi qu’est intervenue la loi du 28 novembre 1963, relative au domaine public maritime, qui s’applique également dans les D.O.M. La loi édicte deux dispositions essentielles dans trois articles que je cite. Article 1er : « Sont incorporés sous réserve des droits des tiers, au domaine

législatif. Cette solution résulte de la règle ALLIGHI du Conseil d’Etat de 6 novembre 1930. Dans le principal considérant de cette arrêt le conseil d’Etat déclare : en état actuel du droit publique français le moyen selon lequel, l’article 36 de la loi 28 février 1934 serrait contraire au lois constitutionnelles de 1875, [13] n’est pas de nature à être disputé devant le conseil d’Etat statuant en contentieux. Mais la jurisprudence postérieur a du resserrer le contrôle du juge administratif grâce

parler d’usage plutôt que de coutume. En effet, la coutume est souvent une règle de portée générale alors que l’usage a un domaine d’application plus restreint. Il y a par exemple des usages commerciaux :  Cour de Cassation, chambre commerciale, 9 janvier 2001 : Entre professionnels, les usages peuvent s'appliquer dans le silence même de la convention dès lors qu'il est naturel de penser que les parties s'y sont implicitement référé. Par conséquent, lorsqu’une offre ne portait pas la mention hors taxes

exorbitante du droit commun pour déterminer la nature administrative d’un contrat. Le deuxième arrêt, constitue le coup de grâce pour l’école du service public. Cet arrêt, Société commerciale de l’Ouest africain rendu par le Tribunal des conflits le 22 janvier 1921 a créé ce que l’on appelle le service public industriel et commercial. Or ces services publics industriels et commerciaux sont soumis au droit privé et leur contentieux est judiciaire. Aujourd’hui, on a renoncé à trouver un critère unique du

exorbitante du droit commun pour déterminer la nature administrative d’un contrat. Le deuxième arrêt, constitue le coup de grâce pour l’école du service public. Cet arrêt, Société commerciale de l’Ouest africain rendu par le Tribunal des conflits le 22 janvier 1921 a créé ce que l’on appelle le service public industriel et commercial. Or ces services publics industriels et commerciaux sont soumis au droit privé et leur contentieux est judiciaire. Aujourd’hui, on a renoncé à trouver un critère unique du

Chapitre 2- Le régime de l’exécution des lois 9 Chapitre 1- La notion de service public 12 Chapitre 2- Le régime du service public 17 Titre 3- La police administrative 27 Chapitre 1- La notion de police administrative 28 Section 1- La définition de la police administrative 28 Chapitre 2- Le régime de la police administrative 32 Partie 2- Les moyens de l’administration 36 Titre 1- Les actes administratifs 36 Chapitre 1- Les actes administratifs unilatéraux 36 Chapitre 2- Les contrats administratifs

JUSTIFICATION DE CE PRINCIPE EST LA SUPPRESSION DE L’ARBITRAIRE. LE PRINCIPE DE LÉGALITÉ FAIT PARTI DU BLOC DE CONSTITUTIONNALITÉ, RAPPELÉ PLUSIEURS FOIS PAR LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL. LA DÉCISION LA PLUS IMPORTANTE À CE SUJET EST L’ARRÊT DES 19 ET 20 JANVIER 1981. D’UNE PART, LE LÉGISLATEUR EST SOUMIS À CE PRINCIPE. IL DOIT RESPECTER LES RÈGLES EN MATIÈRE DE DÉTERMINATION DES INFRACTIONS ET DES PEINES, ET IL NE DOIT ÉDICTER QUE DES SANCTIONS STRICTEMENT NÉCESSAIRES (PRINCIPE DE PROPORTIONNALITÉ DISPOSÉ

déclaration d’ordre moral. La Cour de Cassation a du intervenir le 14 mai 1992 avec un arrêt en disant que ce devoir de respect et d’honneur imposent aux enfants, les frais d’obsèques de leurs parents, même s’ils ont renoncé à la succession. CCAS du 28 janvier 2009 (Dalloz 2009), en l’espèce un homme décède et sa sœur lui fait des funérailles, mais elle envoie la facture à la concubine du défunt demandant que la fille du défunt paye la succession. Or, au moment où il est mort, la fille n’était pas née

accepté – faut-il y voir l’influence de conseillers comme Beugnot ? – de maintenir le Code civil en rétablissant son titre primitif « souillé du nom de Napoléon ». LouisNapoléon Bonaparte a entretenu la flamme en rappelant dès la proclamation du 14 janvier 1852 la pérennité du Code à nouveau attribué à Napoléon Ier par le décret du 27 mars 1852. Les républicains, dont certains avaient dénoncé la « contre-révolution au cœur même de la société civile », ont abandonné la lutte en omettant d’abolir officiellement