Cass Com 13 Mars 2001

– G. LOPEZ, Victimologie, 1997, Dalloz. – M. MANGIN, Traité de l’action publique et de l’action civile en matière criminelle, t. I et II, Paris, 3e éd., 1876, Larose. – R. MERLE et A. VITU, Traité de droit criminel, t. II, Procédure pénale, 5e éd., 2001, Cujas. – J. PRADEL, Droit pénal comparé, 2e éd., 2002, Dalloz ; Procédure pénale, 12e éd., 2004, Cujas ; Histoire des doctrines pénales, Que sais-je ?, 2e éd., 1991, PUF ; Procédure pénale comparée dans les systèmes modernes, Rapport de synthèse des

concurrence[pic](9) - ou comme engageant un | |retour de l'État dans ce domaine[pic](10). Certes, il serait illusoire de rechercher un modèle unique des autorités administratives | |indépendantes : le Conseil d'État l'avait remarqué en 2001 dans son rapport public[pic](11). Il n'en demeure pas moins souhaitable dans le | |domaine plus restreint de la régulation, c'est-à-dire des autorités qui interviennent en matière économique et financière, de maintenir ou de | |renforcer l'unité

BS-2001-192 Bulletin Joly Sociétés, 01 août 2001 n° 8-9, P. 891 - Tous droits réservés Droit des sociétés 192. Note – La faute personnelle de l'associé lors du vote portant la décision de révoquer le gérant En l'espèce, la gérante d'une SARL avait été révoquée par décision de l'assemblée générale des associés. Elle poursuivait donc les associés pour faute, estimant que cette révocation avait été décidée dans l'unique dessein de lui nuire. Dès lors qu'il est établi que cette révocation a

* BIMCO Baltic and international maritime Council * BTL Bulletin des transports et de la logistique. * CA Cour d'Appel. * CAMP Chambre Arbitrale Maritime de Paris. * Cass Cour de cassation. * C.civ Code civil. * C.com Code de commerce. * Civ. Chambre civile. * Com. Chambre commerciale. * CMI Comité Maritime International. * CNUDCI Commission des Nations-Unies pour le Droit du Commerce international. * DMF Droit maritime français.

............................................................................................ 12 3-la marque figurative ................................................................................................................................. 13 4- la marque complexe ................................................................................................................................ 16 II- Les conditions de validité de la marque...................................................

La convention comporte donc l’octroi d’un délai, elle constitue donc un instrument de crédit. • La convention de compte courant Le compte courant est un instrument bancaire. Pour qu’il puisse être utilisé il faut une convention (Cass. Com. 13 janvier 1970). Normalement le compte courant est une opération bancaire qui concerne un commerçant. Ce critère est discutable car un non commerçant peut être titulaire d’un compte courant (tel est le cas par exemple d’un artisan…)

cour de cassation notamment en ce qui concerne les mutuelles, c. cass arrêt 1997. Il en va de même pour certaines activités que pourrais toucher les associations sportives, c.cass 1997 sur la Ligue nationale de football. Pour les organises ayant un principe social, exclus le droit de la concurrence. Pour le droit de la concurrence peu importe la structure juridique de l’entreprise, personne de droit public ou de droit privée, c cass 2010. Peu importe aussi l’absence de personnalité morale de l’entité

risque limité, la seule garantie des créanciers est le capital social. La loi impose alors fréquemment à de telles sociétés un capital social minimum. Par exception, ce n'est plus le cas pour les SARL depuis la loi du 1er août 2003 (art. L. 223-2 C. com.). En revanche, les sociétés anonymes doivent être dotées, en règle générale, d'un capital social d'un montant minimum de 37.000 euros, et même d'un capital de 225.000 euros, lorsqu'elles font appel public à l'épargne. L'exigence d'un capital social

la jurisprudence a considérablement réduit le champ d’application de cet article L.236-14 du Code de commerce. La jurisprudence exige en effet d’un créancier qui souhaite former opposition qu’il dispose d’une créance certaine, liquide et exigible (Com. 16 juillet 1985) et qu’il soit titulaire d’une créance de somme d’argent (ce qui exclut donc les créanciers d’obligations de faire ou de donner). Enfin, notons que ce texte ne concerne que les opérations de fusion entre sociétés par actions et/ou

de l’article L121-3 alinéa 4 du Code Pénal. Le préposé engage sa responsabilité personnelle s’il est coupable d’une faute pénale et condamné pour celle-ci. Ce principe est consacré par l’assemblée plénière de la cour de cassation le 14 décembre 2001. L’arrêt Cousin affirme que « le préposé condamné pénalement pour avoir intentionnellement commis, fût-ce sur l’ordre du commettant, une infraction » dommageable pour un tiers est responsable envers celui-ci. L’arrêt précise que cette responsabilité