Cass Com 14 Février 2006

Edition, 2006. M. BRONCKERS, The relationship of the EC Court with other international tribunals : non-committal, respectful or submissive ?, CMLR, 2007, 44, p. p. 601 - W. GREEN, Political integration by jurisprudence, Leyden Sijthoff 1969 - R. JOLIET, Le contentieux , cours de droit institutionnel communautaire, tome 2, Liège 1981 H. Labayle, "Architecte ou spectatrice ? La Cour de justice de l'Union dans l'espace de liberté, sécurité et justice, RTDE, 2006

D’HOSPITALISATION D’OFFICE Etat des lieux, problèmes et perspectives Mémoire en vue de l’obtention du Master II Droit Public Fondamental Présenté par Vincent TOUCHARD Sous la direction de Monsieur Le Professeur Bernard PACTEAU Année universitaire 2005-2006 Je tenais principalement à remercier Monsieur le Professeur Bernard Pacteau pour sa patience et ses précieux conseils qui m’ont permis d’aller jusqu’au bout de ce travail, mais aussi pour m’avoir transmis une conception rigoureuse du droit, que

dans le droit des obligations. D'abord en proclamant la liberté du commerce et de l'industrie : Le décret d'Allarde des 2 et 17 mars 1791. Ensuite, en abolissant les privilèges des classes et les organisations professionnelles : Loi Le Chapelier des 14 et 17 juin 1791. Grâce à ces deux lois, les révolutionnaires ont consacré le principe de la liberté individuelle qui s'est traduit en droit par le principe d'autonomie de la volonté : autonomos (qui est régit par ses propres lois). On a donc délaissé

dans le code civil. Aujourd’hui, on doit y ajouter l’article 309 en matière de lois applicables au divorce (ex-article 310 du code civil), introduit en 1975 ; et les articles 311-14 et s. du code civil, introduit lors de la grande réforme de la filiation en 1972 (grand principe de l’égalité de la filiation). Les articles 14 et 15 du code civil : relatifs aux conflits de juridictions. Pourquoi n’a-t-on pas codifié plus d’article ? Il y a une première tentative juste après la 2nd guerre mondiale, au

....................................................................................................................................... p. 14 5. Le patrimoine affecté......................................................................................................................................................................................... p. 14 6. L’évaluation du patrimoine affecté...................................................................................................

sous-traitant (M.Débarras) a) Le paiement du au sous-traitant α- Condition de l’action (Ø agrément : inopposabilité, nullité du SST ? Action directe : paralysante, CN ?) β- Débiteurs du paiement (entrepreneur et établissement de crédit caution = art. 14 L. 1975) b) La responsabilité du sous-traitant α- conditions de l’action (intensité de l’obligation = obligation de résultat Civ. 3ème, 17 déc. 1997 / agrément (PP : art. 3 + limite) β- étendue de l’action (opposabilité de la clause) 2- Les actions

demander de bénéficier à ce redressement judicaire. Droit des procédures collectives. Mardi 13 septembre 4h : La jurisprudence a introduit un concept de l inexistence du 23 juin 1973 déclare caduque le jugement sur la liquidation des biens, la CASS dit qu' il engage leur patrimoine personnels. Arrêt de la ch commerciale du 29 juin 1989 : la société fictive est nul sans rétroactivité alors le passé de la société est valable. Précise que la rétroactivité joue s il y a des fraude. Arrêt du 15

consignation, soit directement entre les mains du dépositaire. Ils sont constatés par un certificat du dépositaire, les fonds déposés sont indisponibles jusqu'à l’immatriculation de la société. Lorsque des apports en nature sont réalisés le Code de Com impose le respect d’une procédure spécifique. Cette procédure vise à protéger les autres actionnaires et les tiers contre une surévaluation du bien apporté. Par exemple : si un actionnaire apporte un immeuble à la société il aura tendance à surévaluer

adjonction de nom ? Dans un premier temps, La Cour de cassation a précisé en se fondant sur l’article 363 al 1 que l’adopté ne peut pas conserver son nom d’origine, sans adjonction, et qu’il n’a pas à consentir à l’adjonction même s’il est majeur (Cass. 1re civ., 22 févr. 2005, Dr famille 2005, comm. 72, obs. P. Murat). Elle y cassait la décision d'une cour d'appel qui avait fait droit à la demande des adoptés, lesquels, majeurs, n'avaient consenti à leur adoption simple par le mari de leur mère

législation sur les compétitions sportives. Ce sont, en fonction de leurs compétences propres, soit les fédérations sportives, soit l’Agence française de lutte contre le dopage, qui est une autorité administrative indépendante créée par la loi du 5 avril 2006 relative à la lutte contre le dopage et composée d’un collège de neuf membres, qui peuvent prononcer ces sanctions8. Diversité des sanctions administratives. Ces sanctions sont elles-mêmes de nature très diverse. Il peut s’agir, alternativement