Cass Com 16 Juin 1992

banquier ne peut pas révoquer pour n’importe quel motif ledit crédit car il est tenu par son engagement envers le donneur d’ordre. En pratique le choix du crédit révocable est très rare et sauf stipulation contraire le crédit est réputé irrévocable[16]. Par contre, si le crédit est irrévocable, la banque émettrice prend un engagement ferme à l’égard du bénéficiaire. Le banquier émetteur est lié jusqu’à l’échéance du crédit et ne peut ni l’annuler ni le modifier sans l’accord de toutes les parties

s’engage à rien (à comparer avec la promesse synallagmatique où il promet, de son côté, d’acheter) Levée d’option= acceptation de l’offre de vente Offre+acceptation = contrat. C’est la PUV. Offre+acceptation de la vente=contrat de vente Document 1 : Cass., civ.3, 15 décembre 1993 (arrêt Cruz) Un propriétaire fait une promesse de vente assortie d’un délai. Quatre jours après, la promettante se rétracte. Les bénéficiaires lèvent l’option entre la rétractation et l’expiration du délai initialement

le contrat permet d’engager une action en responsabilité notamment lorsqu’il comporte une obligation de sécurité. Illustration – action contractuelle en cas d’accident au passage en caisse d’une cafétéria. Cass. civ. 1ère, 1er juillet 2003, Resp. civ. ass. 2003, com. n°252 Dans la cafétéria d’un grand magasin, une enfant a été brûlée par le renversement d’une théière. La Cour d’appel a constaté que le fait dommageable était survenu lors du passage de la cliente à la caisse et alors

l’autre, elle doit adopter une attitude cohérente avec elle-même afin que l’autre puisse adopter une attitude. La jurisprudence française Cass. com., 22 février 1994 exige de la part du négociateur qu’il renonce à son intérêt lorsque l’autre partie n’est pas en mesure de faire face aux engagements qu’elle va souscrire . D’autre jurisprudence. (CA Paris, 26 juin 1991)La renonciation à son intérêt propre lors des négociations s’applique également lorsque le projet en cause est dangereux pour les salariés

titulaire de la marque détériore le caractère distinctif de sa marque[14], alors que normalement il a pu, voir même dû, s’opposer[15] à cet usage pour préserver ses droits. Certains auteurs, tout en réaffirmant que « tolérer, c’est rester inactif »[16] précisent davantage la notion de tolérance en indiquant que c’est le fait, pour le titulaire de la marque première en date, de « se montrer insuffisamment actif »[17], donc négligeant d’agir contre la marque seconde. Cette absence de réaction de la

Obligation affectée d'une condition résolutoire Exemple Une société accorde un prêt à un salarié et prévoit une disposition précisant que le prêt sera résolu (condition résolutoire) si le salarié quitte, pour quelque raison que ce soit, l'entreprise (Cass. civ. 1ère, 21 mars 1984, RTD civ. 1985, p. 381, obs. J. MESTRE). Le principe est ici que l'obligation est valablement formée et doit être exécutée immédiatement : le créancier peut exercer toutes ses prérogatives ; si le contrat est translatif de

droit antérieur. Évitant ainsi le jeu périlleux des épithètes « ancien » et « nouveau », la loi du 25 janvier 1985, bien qu’abrogée en grande majorité depuis 20002, sera citée dans sa numérotation originelle, au besoin complétée de la réforme du 10 juin 1994. 1 Citons pour exemple l’ancien article L 622-13, article 153-3 de la loi de 1985, régissant le sort du bail commercial en liquidation judiciaire, qui concerne désormais la poursuite des contrats en cours en procédure de sauvegarde, dont

risque limité, la seule garantie des créanciers est le capital social. La loi impose alors fréquemment à de telles sociétés un capital social minimum. Par exception, ce n'est plus le cas pour les SARL depuis la loi du 1er août 2003 (art. L. 223-2 C. com.). En revanche, les sociétés anonymes doivent être dotées, en règle générale, d'un capital social d'un montant minimum de 37.000 euros, et même d'un capital de 225.000 euros, lorsqu'elles font appel public à l'épargne. L'exigence d'un capital social

n°1 : L’existence et l’individualisation de la personne physique Semaine du 11 février 2013 au 16 février 2013 : Séance n°2 : L’identification de la personne physique par le nom et le prénom Semaine du 18 février 2013 au 23 février 2013 : Séance n°3 : Les personnes morales Semaine du 25 février 2013 au 2 mars 2013 : Séance n°4 : Les incapacités d’exercice : le mineur Semaine du 11 mars 2013 au 16 mars 2013 : Séance n°5 : Les incapacités d’exercice : le majeur Seconde Partie : Le Droit

Sous-section 2. Actualisation sélective  Actualité rassurante car très limitée — Nous rendrons compte des décisions habituellement citées, dans les IEJ »sensibles », sur le thème de la condition : 2 1/ Sur la condition potestative  Cass. civ. 1ère, 16 mai 2006 : l’arrêt illustre l'obligation alternative et l’exclusion qu’elle opère de la potestative. La première chambre civile consacre sa pleine efficacité pour mieux la distinguer d’une condition potestative. Pour la première Chambre civile