Cass Com 22 Octobre 2002

« ou des choses » renvoi aux arts 1385 et 1386. Le mot « choses » est vague, ainsi un nouveau sens va ê donné à cet al 1, c’est ainsi qu’on peut déclarer resp qq’un qui utilise une chose qqonque dès lors qu’il cause un dommage à autrui. Arrêt Cour de Cass de 1896 Teffaine, qui a adopté la théorie de LAURENT, on est resp des dommages causés par la chose que l’on utilise. Ici la juris a été très présente, mais des lois sont intervenues dans des domaines très particuliers, notamment la loi du 5 juillet

réalisation de la vente et renonçait à cette acquisition et qu'ainsi, à la date du 12 février 2003, M. Y... avait renoncé au bénéfice de l'acte sous seing privé du 21 septembre 2001 comme les époux X... l'avaient fait dans leur courrier du 9 décembre 2002 ; que le fait que M. Y... se soit désisté de cette action et ait assigné par la suite les époux X... pour voir déclarer la vente parfaite à son profit ne peut annuler cette révocation qui était acquise ; Qu'en statuant ainsi, alors que le contractant

b. La position de la jurisprudence Jurisprudence va reconnaitre caractère obligatoire en cas exceptionnel : Promesse faite par une personne d’éxécuter une obligation naturelle -> transforamtion en obligation civile. Arrêt Cassation 10 octobre 1995 « la transformation d’une obligation civile repose sur un engagement unilatéral de volonté ». Promesse d’obligation des entreprises organisant des loteries publicitaire Arrêt Cassation 28 mars 1995 : sur fondement engagement unilatéral de

demander au chargeur d’accompagner cette lettre d’une caution bancaire, forcément onéreuse. Il a d’ailleurs même été jugé qu’un agent consignataire avait commis une faute lourde en acceptant une lettre de garantie personnelle émise sans caution bancaire[22]. Dans la pratique, ce prix élevé est à l’origine d’abus. Ainsi, un destinataire en position de force pourra exiger du transporteur, sous peine de perdre sa clientèle, qu’il se contente d’une lettre de garantie sans caution bancaire, avec les

al Kayrawani : « La risala », trad. Léon Bercher, Alger 1979, p. 217. Louis Millot : « Introduction à l'étude du Droit musulman comparé, n° 802, Recueil Sirey 1953 Christine Labastie-Dahdouh et Hbib Dahdouh : « Droit commercial », vol. 1, p. 44, CPU 2002. 10 Fernand Braudel: « La Méditerranée et le monde méditerranéen » , Ed. Colin. Paris 1976. Ch. E. Dufourcq: " La vie quotidienne dans l'Europe médiévale sous domination arabe ", p. 290 et s. , Ed. Hachette 1978. Ch. E. Dufourq: «Pendant trois siècles

Le CE est également visé en tant que juge à l'article 74 de la K (contrôle certaine catégories des COM = Collectivités d'Outre-Mer) §2. Une indépendance constitutionnalisée Le CE est indépendant au rang constitutionnel, c à d les décisions qu'il rend ne peuvent pas être remise en question en aval (une fois qu'elle a été rendue) et en amont (pas de pression possible). La décision du Conseil K du 22 juillet 1980 appelée « loi de validation » a donné l'indépendance au CE. Le CC dit qu'il existe les

commerciale (§2). §1 : LA LOI DU 14 OCTOBRE 1943 Les réseaux de distribution en général et la concession exclusive en particulier ont suscité peu de législation en Côte d’Ivoire. C’est ainsi que jusqu’à nos jours, on ne peut citer que la loi du 14 octobre1943 relative à la clause d’exclusivité. Avant d’envisager les insuffisances d’une telle loi (B), il est nécessaire d’étudier son contenu (A). A_ Le contenu de la loi de 1943 L’article 1er de la loi du 14 octobre 1943 limite « à dix ans la durée

explique probablement la baisse, constante depuis trois années, du chiffre d’affaire réalisé par le marché de l’affichage publicitaire français, v. sur ce point l’article de L. GIRARD, Les afficheurs français restructurent leurs offres, Le Monde, 15 octobre 2003. 12 J. VERBRET, éditorial de la revue Médias-Pouvoir, Hors série 1996, l’affichage média ou support ?, p. 1 7 6 réglementation de l’affichage, au point qu’il faut parfois certains signaux forts pour faire renaître jusqu’à la conscience

d’évidences qui définissent la nature du pacte de préférence. B. Le pacte de préférence 1ère phase : Il est toujours possible de transférer le pacte à un tiers sauf s’il y a une clause dans le pacte et sauf si le pacte a été conclu intuitu personae (Cass. Com., 13 février 2007). 2ème phase : Le vendeur décide de vendre la chose objet du pacte. Principe : le vendeur doit prioritairement proposer au bénéficiaire du pacte d’acquérir la chose. Soit le bénéficiaire accepte la proposition, il souhaite

retourne ensuite contre l’auteur. Il y a subrogation. Fonds d’indemnisation o De victimes d’infractions pénales ou d’actes de terrorisme o En matière d’accident de la circulation o De transfusés du sang contaminé o Des victimes de l’amiante o Loi Kouchner 2002 : des accidents médicaux E) • • • J URI DI CT IO NS CO MPETE NT ES PO UR T RAITE R D ES Q UE STIO NS D E RESP ONSABI LIT E CI VI LE Tribunaux de Grandes Instances (droit commun) Tribunaux spécialisés (d’Instances, de Commerce, etc.)