Cass Com 24 Janvier 2006

Cass., ch. com., 20 mai 2003 La responsabilité du dirigeant social En principe, la société en tant que personne morale joue un rôle d’écran entre les tiers et les personnes physiques dirigeantes qui la compose. Aussi, lorsque l’un de ces tiers subit un préjudice du fait de l’activité de ladite société, c’est cette dernière qui se chargera de le désintéresser, notamment en lui octroyant des dommages-intérêts. Il appartiendra ensuite à la société de se retourner, ou non, contre le dirigeant

2/ L’assiette taxable : Principe = en matière de donation, l'assiette de l'impôt est constituée par la valeur brute des biens donnés inscrite dans l’acte de donation = sans possibilité de déduire les dettes afférentes à ces biens. Depuis le 1er janvier 2005 à titre exceptionnel, certaines dettes sont déductibles : • Elles doivent avoir été contractées par le donateur pour l'acquisition ou dans l'intérêt des biens donnés et mises à la charge des donataires dans l'acte de donation; • La donation

officiel. Citons enfin l'existence d'une norme AFNOR : l’Association Française de NORmalisation a édicté une série de règles. Les praticiens, et souvent même les juristes, ignorent le caractère obligatoire de cette norme : en vertu du décret du 26 janvier 1984 elles sont considérées comme applicables en principe même lorsque le contrat ne s’y réfère pas. C. Le contrat de franchise et contrats voisins. Le contrat de franchise présente des similitudes avec d’autres contrats ; ce qui dans certains

épithète, c'est que les hommes sont tenus de se servir de ces sortes de choses que d'une certaine manière » (20). 11 (1) T. confl., 25 nov. 1963, Epx Thomas c/ Cne de Saint-Just-Chaleyssin, JCP 1964, I, 13493, note Auby ; AJDA 1964, Chron. p. 24, obs. Fourré et Puybasset. En application de cette jurisprudence, V. TGI Lille, 26 nov. 1998, D. 1999, Jur. p. 422, et notre note. (2) Jusqu'à présent, le Tribunal de Lille employait une formule un peu équivoque. Il était, en effet, question de dépouille

délais de paiement consentis au débiteur ? Un arrêt rendu sous l’empire du droit ancien, à propos du règlement amiable, militerait en faveur de la possibilité, pour la caution, d’opposer au créancier les remises et délais accordés au débiteur (Cass. com. 5 mars 2004). Mais cette solution serait réservée, selon la doctrine, au cautionnement simple (P. SIMLER). En présence d’un cautionnement solidaire, le plus répandu, la caution ne bénéficie pas du bénéfice de discussion. Aussi les auteurs considèrent-

français [12] Mme Coutant-Lapalus constate dans son ouvrage que la plupart des traités et manuels classiques du droit des obligations ne mentionnent même pas l’existence de la notion de peine privée ou ne l’abordent qu’en quelques lignes[24] contrairement aux traités récents où l’on remarque qu’une place plus importante est donnée donné à cette notion. En effet, si la quantité de débats sur l’opportunité de l’introduction des dommages-intérêts punitifs en droit civil français a augmenté

scolastique », devrait être oubliée : « tout conflit met en jeu des intérêts solidaires, individuels et collectifs ». 18 Cette difficulté est parfaitement illustrée par une affaire traitée par voie arbitrale, dans une sentence n° 01/CC/Soc. du 04 sept. 2006, Cinq délégués du personnel c/ Sté Cameroon Tea Estate. Les demandeurs, recrutés par la société défenderesse depuis plusieurs années, ont été élus délégués du personnel. M ais malheureusement, ils ont été licenciés sans autorisation préalable de l’Inspecteur

le service public, ne peut être régi par les principes qui sont établis dans le code civil ». Léon DUGUIT, 1859-1928, professeur de droit, doyen de la Faculté de droit de Bordeaux => Ecole de Bordeaux, Traité de droit constitutionnel, 1928 TC 22 janvier 1921 Bac d’Eloka – Sté cciale de l’ouest africain, (GAJA) 2°/ Pour répondre à ce but spécifique l’adm° met en œuvre des moyens spécifiques Maurice HAURIOU (1856-1929), doyen de la faculté de droit de Toulouse => Ecole de la puissance publique Synthèse

...................................................................................... 23 B) Les règles spécifiques en matière d’action possessoire .................................................................................................... 24 1) La complainte ..................................................................................................................................................................... 25 2) La dénonciation de nouvel œuvre ...........................

français est négative, la victime ne peut pas choisir librement le type de responsabilité. C'est ça le principe de non-option. La plus part des pays étrangers ne connaissent pas le principe de non-option. C'est un principe qui a été posé par la CASS le 11 janvier 1922 En l'espèce : un conflit entre deux voisins au sujet de l'établissement d'une fosse d'aisance. Ils ont rédigé un accord avec des experts sous condition de ne pas porter atteinte à leur propriété. Ce principe a été repris dans plusieurs