Cass Com 31 Mai 2005

MARIE Mémoire présenté en vue de l’obtention du master droit recherche spécialité droit des personnes et de la famille par Karine HENRY Sous la direction de Mademoiselle Delphine AUTEM, Maître de conférences à Lille 2 Année universitaire 2004-2005 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr Mes plus vifs remerciements à Mademoiselle AUTEM, pour ses précieux conseils, sa rigueur et sa disponibilité. Merci à Dhaou, à ma famille, et à mes ami(e)s,

formation accrue des juges consulaires - Le renforcement des procédures préventives, notamment en lien avec les difficultés des entreprises - L’Assouplissement des conditions d’ouverture de la procédure de sauvegarde : une loi en juillet 2005 a mis en place une procédure de sauvegarde - [pic] la Dépénalisation du droit des affaires - Le transfert de compétences du TGI vers les tribunaux de commerce pour les transformer en juridiction du contentieux économique. Ces tribunaux

l’encontre de la société elle-même. Force est de constater qu’au sein des sociétés, le problème des conflits d’intérêts peut être ignoré ou contourné. 1 Rapport 2004 du SCPC, p. 25 et suivantes. 2 Recommandation no R (2000) 10 du Comité des ministres du 11 mai 2000. 3 29e session du Comité de la gouvernance publique, Paris, 15-16 avril 2004. 4 S’agissant des associations dont l’activité principale est l’exécution de travaux, la prestation de services ou de fournitures pour le compte ou sous le contrôle de

volonté d’accepté (signature d’un document, acceptation verbale comportement tacite). Cela renvoie a la question de la valeur du silence ? Le principe est que le silence ne vaut pas acceptation c’est notamment dans un Cass civ. 1870 était déjà venu poser le principe puis Cass Civ 1er 1996. Ce principe découle de la liberté individuelle et de la sécurité juridique. On estime que le silence est trop ambigu et qu’il ne suffit pas être pris en compte et exprimer un consentement Il y a des tempérament

l'administration des PTT. Il est en conséquence interdit à tout entrepreneur de transport (...) de s'immiscer dans ce transport ...". - Télécommunications : loi 2 et 6 mai 1837, reprise dans le Code des P. et T. - Extraction des combustibles minéraux solides autres que la tourbe (loi de nationalisation des mines du 17 mai 1946). - Transport ferroviaire : Créé par la loi de nationalisation de 1937, confirmée par la loi du 30 déc. 1982 (art. 18) au profit de la SNCF. Cette évidente

connues : L’Association autorisée par décret n°54-406 du 10 avril 1954, la loi du 29 novembre 1966 sur les SCP,  la première loi de fusion du 31 décembre 1971 avec les avoués de Grande Instance, la seconde loi de fusion du 31.12.1990 entre les avocats et les conseils juridiques, la loi du 31 décembre 1990 sur les Société d’Exercice libéral, la loi du 15 mai 2001 NRE étendant les SAS aux professions libérales. La Loi MURCEF du 11 Décembre 2001 permettant aux professions libérales réglementées de constituer

C’est l’activité commerciale qui permet de distinguer le fonds de commerce du fonds artisanal et du fonds libéral - Elle doit être actuelle La cessation de l’exploitation fait disparaître la clientèle et donc le fonds luimême (Cour de cassation Civ 318 mai 1978 voir ci-dessous). sur le premier moyen : vu l'article 1er de la loi du 17 mars 1909 ; attendu qu'un fonds de commerce ne survit pas a la disparition de la clientèle qui en constitue l'élément essentiel ; attendu qu'il résulte de l'arrêt confirmatif

européen : le droit à l’exécution est consacré par la CEDH. La Cour a jugé que la responsabilité de l’Etat pouvait être également engagée devant la CEDH et donnera lieu à condamnation à dommages et intérêts. Le cumul d’indemnisation est possible (CEDH, 31 mars 2005, Matheus c/ France). Les droits subjectifs, dont fait partie le droit à l’exécution, sont divisés en droits discrétionnaires, qui sont insusceptibles d’abus, et en droits susceptibles d’abus, dont l’exercice abusif est sanctionné. Le droit à l’exécution

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 6 6 8 9 9 10 11 12 13 13 14 14 15 16 16 17 22 23 24 26 29 30 30 30 31 31 32 32 32 32 32 32 35 36 36 37 5.3 Spécificités sociales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

obligatoire pour le juge. Le ministère de la justice fait suivre toute loi importante d’une circulaire d’application. Même si le juge en tient souvent compte, cette circulaire n’est jamais obligatoire pour le juge. E.g : Crim., 18 janvier 2005, AJ pénale 2005 p.237 : La personne poursuivie est la gérante d’une boulangerie et est poursuivie pour violation d’un texte du code du travail (infraction contenue dans ce code), qui interdit de faire travailler un apprenti un jour de fête légale. Elle