Cass Crim 16 Décembre 2008

PREFACE A l’occasion de la réunion constitutive de son comité sur l’environnement, quarante-cinq magistrats des Cours membres de l’AHJUCAF ont été accueillis à l’Ecole Régionale Supérieure de la Magistrature de l’OHAHA (Bénin) les 26 et 27 juin 2008 pour débattre du droit pénal de l’environnement et de l’influence des conventions internationales sur le droit interne de l’environnement. La direction scientifique des travaux a été assurée par Monsieur Michel Prieur, Professeur émérite de l’université

le logiciel ne faisaient qu'un, arguments qui reposaient sur certains discours techniques : l'interaction est telle que les paramètres du programme du logiciel se modifient par rapport à l'avancée dans le jeu, donc il faut prendre compte les deux (Crim. 21 juin 2000). Puis il a été jugé que chacune des composantes est soumise au régime qui lui est applicable en fonction de sa nature, ce qui consacre la fin de la conception unitaire : les images sont protégeables d'un côté, et le logiciel d'une autre

elle s’occupe de régler les litiges qui opposent les Etats (siège à La Haye). Les Etats y soumettent eux-mêmes leurs litiges. Il y a également la cour de justice internationale pour l’ex-Yougoslavie, ou l’on juge encore des chefs militaires pour crimes contre l’humanité. La cour pénale internationale permet à des Etats de poursuivre d’anciens criminels de guerre contre l’humanité. 2/Le droit privé international : Privé=personne physique et morale. Il y a des conflits de loi qui représentent

modifier un traité adopté à un instant t, les parties peuvent le modifier par un autre traité passé à un instant t’. Pbm, l’art 30§ 4 n’est pas applicable au fait de l’espèce car il n’y a pas identité de partie entre le traité de 2007 et le traité de 2008. On est donc dans l’hypothèse de l’art 30 § 4 a : On va privilégier le traité postérieur. On était face à un piège. Ainsi, au titre de cet article, le contrat peut être considéré comme applicable. Mais il est possible, au vu de l’objet du traité de

réglementation et à l'organisation de la profession bancaire. Les modalités d'application de ce dahir ont été fixées par l'arrêté du Directeur des Finances de la même date, puis modifiées et complétées par les arrêtés du 15 janvier 1954, du 17 janvier et du 16 avril 1955. Le champ d'application des textes des documents susvisés, qui ne concernait que la zone territoriale sous protectorat français, a été étendu par les arrêtés du 14 août 1958 et du 31 mars 1960, respectivement à la zone sous occupation

article 16 Constitution et 15 de la CEDH + guerre d’Algérie). Parmi les mb, 21 pays d’Europe centrale et orientale PECO + Pays Baltes + Russie + Arménie + Azerbaïdjan. Statut d’Etat observateur aux Saint Siège, US, Canada, Japon & Mexique. www.coe.int Chapitre préliminaire : présentation de la Convention Européenne des Droits de l’Homme Texte adopté le 4 novembre 1950, entré en vigueur le 3 septembre 1953. Inspiré par la Déclaration universelle des droits de l’Homme adoptée le 10 décembre 1948

est la limite à l’exigence d’efficacité de la procédure pénale. On ne peut être condamné sans avoir subi une procédure de jugement efficace, la personne pouvant se détendre. * Cet équilibre est très délicat : arrêt du conseil constitutionnel du 16 Juillet 1996 concernant les perquisitions de nuit, la recherche des auteurs d’infractions est nécessaire à la sauvegarde des principes et droits de valeur constitutionnelle mais il appartient au législateur d’assurer la conciliation entre cet objectif

naissance sous conditions que l’individu naisse vivant et viable. Viable = défini par des critères par l’OMS, c’est être physiquement doté de tous les organes qui permettent une vie autonome. MAIS la vie humaine ne commence pas à la naissance : Art 16 du cc dispose « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie. » TITRE 1 : L’existence juridique in utero Dans certaines conditions

textes constituent une source du droit pénal car édictent des normes qui vont déterminer les principes de la détermination des infractions. Art 34 C° qui détermine ce qui est de la loi et du règlement et qui précise que c’est la loi qui défini les crimes et délits. Cela est protecteur des individus car les deux infractions les plus graves sont défini par la loi et non pas par le gouvernement : les personnes bénéficient de la protection de la loi, seul le législateur peut créer une infraction grave

son concubin. On est passé à un intérêt légitime. Ce caractère est très flou et donc définit par son contraire. * L‘intérêt illégitime porte atteinte à l‘ordre public:  L’auteur d’une thèse universitaire remettant en cause l’existence de crimes contre l’humanité qui actionne en responsabilité l’université qui ne lui permet pas de soutenir son travail, Arrêt Cour d’appel de Paris 2002.  Idem, parce que contraire à l’ordre public, la constitution de partie civile d’un groupe victime d’escroquerie