Cass Crim 16 Janvier 1986

générale du contrat. 1ère Civ Cass 7 mars 1989 : L’obligation de sécurité du transporteur n’existe que pendant la période de transport proprement dite. Avant et après, il n’y a plus d’obligation de sécurité. Avant, il y avait un fractionnement en trois parties de l’obligation de sécurité. C’est avantageux pour la victime, car cela lui permet de se placer sur le terrain délictuel et invoquer une responsabilité délictuelle sans faute de la SNCF. 2éme civ Cass 10 janvier 1990 : n accident dans le hall

poursuites. §2. Les fondements du principe A/ Les fondements historiques Le principe de la légalité est la marque du droit pénal moderne, ce principe est né d’une réaction à l’ancien droit, l’ancien droit ce n’est autre que le droit criminel des 16, 17, 18 ème siècle est ce droit était commun à tout l’occident, règles, données partagées entre tous les royaumes de l’époque d’occident. Il n’y avait pas à l’époque un droit criminel rigoureusement français, il y avait un droit qui empruntait ses principes

de la constitution. Au niveau 4, on trouve différents textes : les lois votées par le Parlement dans les domaines qui lui sont réservés, puis également les décisions du Président de la République a objet législatif prit en application dans l'article 16 de la constitution. Ainsi que les ordonnances de l'article 38 de la constitution prises par le gouvernement suite à une loi d'habilitation votée par le Parlement en vertu de laquelle le Parlement autorise le gouvernement à légiférer normalement réservé

législateur. Ainsi dans un arrêt EKY du 28 Octobre 1760 le CE a examiné un moyen tiré de la violation de l’article 8 DDHC selon lequel nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulgué antérieurement au délit. De même dans un arrêt du 16 Juillet 1971, le CC a affirmé que les règles relatives à la liberté d’association étaient au nombre des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ; énoncé dans le préambule de la Constitution de 1958, et s’imposant au législateur

cas. Il faut voir dans chaque hypothèse, si l'on est en présence de lois de police. Il s'agit, par exemple, de toutes les lois sur la sécurité et l'hygiène au travail. Les règles relatives à la représentation du personnel sont aussi un exemple. La Cass. a considéré que les règles relatives à la représentation des salariés étaient des lois de police (14/01/2004). Il s'agissait d'une société qui avait des salariés aux Pays-Bas et également en France. Cette société avait des représentants du personnel

perte de soutien des grandes puissances font également appel à ces dernières pour maintenir la sécurité intérieur. Prenons l’exemple du gouvernement officiel de l’Angola qui avait fait appel à la société privé sud-africaine Executive Outcomes en janvier 1993 afin de récupérer le contrôle des champs pétrolifères de Soyo ainsi que les mines de diamants de Luanda entre les mains des bandes armées de l’UNITA (union Nationale pour l’Indépendance Totale de l’Angola). Il convient de préciser que la société

et qui ont fondé notre dualité de juridiction et donc le droit admin : Les lois de séparation des autorités admin et judiciaires. Attention rien à voir avec la séparation des pouvoirs. Ces deux textes sont la loi du 17 et 24 aout 1790 et le décret du 16 fructidor an III (2 septembre 1795). Le premier dit que les fonctions judiciaires sont distinctes et doivent rester séparées des fonctions admin. Les juges ne peuvent pas connaitre des juridictions admin. Les juges judiciaires ne peuvent citer devant

projeté en amphithéâtre. Document à usage pédagogique inséparable du cours, n’ayant pas vocation à le remplacer, ni prétention à servir d’ouvrage. Remise à jour au fur et à mesure du déroulement du cours. Cours du 14/09/2011 A jour à cette date Loi 16-24 août 1790 art. 10 : “Les tribunaux ne pourront prendre, directement ou indirectement aucune part à l’exercice du pouvoir législatif, ni empêcher ou suspendre l’exécution des décrets du corps législatif, sanctionnés par le Roi, à peine de forfaiture”

l’absolutisme royal. Selon Montesquieu ces trois fonctions doivent etre confiées à trois organes différents afin «  d’assumer la sécurité des sujets » . A la révolution cette idée est reprise et affirmée par l’article 16 de la DDHC. L’autorité et l’autonomie judiciaire affirmées quant à elle le 16 et 24 aout 1790 et mentionnée dans la Constitution de 1958. Cependant, ce principe d’autonomie ne signifie pas qu’il existe un cloisonnement entre les autres pouvoirs c’est simplement qu’un équilibre doit être

le dispose la loi des 16-24 août 1790, (deux dates = loi voté par l’assemblée puis promulguée par le roi) toujours en vigueur : "Les fonctions judiciaires sont distinctes et demeureront toujours séparées des fonctions administratives".! Les juges ne pourront à peine de forfaiture, troubler de quelque manière que ce soit les opérations des corps administratifs ni citer devant eux les administrateurs pour raison de leur fonction".! Elle est complétée par le décret du 16 fructidor an III (2 septembre