Cass Crim 26 Mars 1997

international. L’Arbitrage est considéré comme le mode commun de solution des conflits dans commerce international. Le droit communautaire : On assiste à un mouvement de communautarisation du droit international privé : ébauché lors du traité d’Amsterdam de 1997, il a été décidé de transformer toute une série de Convention Internationale en règlement communautaire. La source a donc changé car on est passé de la logique des conventions à des règlements communautaire autrement dit d’une logique de traité Internationaux

Alinéa Art. : Article AUA : Acte Uniforme sur l’Arbitrage BULL : Bulletin CCJA : Cour Commune de Justice et d’Arbitrage de l’OHADA C. Cass. / Cour de cassation CEMAC. : Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale Civ. : Chambre civile COMESA : Le Marché Commun de l'Afrique de l'Est de l'Afrique Australe CPI : Cour Pénale Internationale Crim : Criminel D. : Dalloz Éd. : édition J.O : Journal Officiel L.G.D.J : Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence LITEC : Librairies

2 Stuart et de son Epoux Guillaume 3, est adopté « le Bill Of Right » qui réaffirme la supériorité des droits qu’il vise par rapport aux normes du Roi. C’est ce même Bill of Right qui interdit la J° d’exception, c’est une même j° qui juge tous les crimes et délits, de plus il complète « l’Habeas Corpus Act » de 1679. Enfin en 1701 intervient le « Setlment Act », a l’occasion de la monté sur le trône de la reine Anne. Il réaffirme les droits et libertés a l’égard de la couronne et du Gouvernement.

CPJI du 4 février 1932: il s'agissait d'invoquer la Constitution de l'Etat pour se délier de ses engagements internationaux. La Cour a appliqué la solution précitée. Récemment, le principe a été réitéré en 1988 dans l'avis consultatif de la CIJ du 26 avril où il s'agissait des engagements des USA pris à l'égard de l'ONU et remis en cause au nom de la législation américaine (refus de visa et de possibilité d'entrée à la délégation palestinienne qui voulait participer à l'AG de l'ONU). Principe corollaire

intellectuelle créé en 1992 et reprend pour partie deux lois fondamentales : la loi du 11 mars 1957 sur le droit d'auteur et une loi du 3 juillet 1985 qui a introduit la protection du logiciel et les droits voisins du droit d'auteur. Dans le processus législatif, on a également eu quelques textes qui sont intervenus pour des mises en conformité avec des directives européennes dont une loi de 1994, une autre de 1997 sur le satellite et le câble … Une étape essentielle a été franchie avec la loi DADVSI

où le législateur, sans 1 craindre la confusion, emploie indifféremment l’une ou l’autre. Mais le droit des sociétés, ou plus largement le droit commercial, n’échappe pas à cette critique. Ainsi, pour ne prendre qu’un exemple, la grande loi du 26 juillet 2005 est-elle intitulée loi de « sauvegarde des entreprises ». Mais il est vrai que l’on essaie de sauver d’abord l’emploi. Or, et l’on y reviendra, les salariés ne sont pas dans la société, ils sont dans l’entreprise. Pour en revenir à la nécessaire

particulières d’intérêt général, dont certaines entreprises ont la charge. Même si l’Europe laisse une bonne marge de manœuvre, la France s’est engagée dans un objectif de privatisation. Le CC a tenu à encadrer cette pratique, d’abord dans une décision du 26 juin 1986, dans laquelle le juge fait référence aux services publics dont la nécessité est exigée par la Constitution, et qui ne sauraient donc être privatisés ni a fortiori supprimés. Le législateur n’en a pas moins procédé à une ouverture à la concurrence

s’occuper des salariés qui ont des charges familiales en leur versant le « sursalaire familial » . C’est souvent organisé au niveau régional ==> création de Caisses de compensation. Employeurs verse une somme qui est un % de la masse salariale. Loi 11 mars 1932 : généralisation du système. Elle fait obligation à tous les employeurs de l’industrie et du commerce de s’affilier à une caisse de compensation et de verser une cotisation, les salariés ont eux tous droit dans l’industrie et le commerce à un

évolué, avant la mort était la cessation de la respiration et de la circulation sanguine et aujourd’hui on va plus retenir un concept de mort cérébrale. Critère déjà posé par la jurisprudence avant d’être repris par le code de la santé publique. 07/01/1997 arrêt de la 1ère chambre civil : une personne avait résilié son contrat d’assurance vie mais entre temps elle était tombé dans le coma : question de l’heure de la mort importante  on peut constater le décès de la personne lorsqu’il existe des lésions

existe une logique juridique ms pas fml : aristote distingue les preuves analytique qui st fml et cert de l’autre dialectique qui ccerne le drt et la moral dc par argumentation on preuve, c’est de l’ordre de la conviction, cela correspd au proces. Ex : Cass 9 juill 2003 : le juge emet des jgt de valeurs Le drt c’est des decisions humaines car jgt humain ainsi que R humaines : prob articulation entre roi et juriste. La vision classique le drt c’est un art humain qui vise a adopter de la manière la plus