Cassation Commerciale 12 Octobre 1993

gestion de patrimoine, tenu d’une obligation de moyen, doit guider son client dans le choix des différents placements ». Traditionnellement, c’est à la victime qu’il incombe de prouver le manquement à l’obligation de moyen. Néanmoins, la Cour de Cassation dans un arrêt du 25 février 1997 a posé le principe selon lequel celui qui a légalement ou contractuellement tenu d’une obligation particulière d’information doit apporter la preuve de l’exécution de cette obligation. La charge de la preuve est donc

l’appréciation du caractère exceptionnel d’un risque posait de nombreuses difficultés pratiques. Enfin, lorsque le risque par malheur se réalisait, le patient ou sa famille avaient d’autant plus de mal à l’assumer qu’ils n’y étaient pas préparés. La Cour de Cassation et le Conseil d’Etat ont ainsi été conduits à prendre position sur les mêmes questions. Ils ont dû déterminer l’étendue de l’obligation d’informer du médecin, les conditions dans lesquelles un manquement à cette obligation peut être établi devant

question de sources 5 I - La pauvreté des débats sur la question 5 II - L’inaccessibilité des sources administratives : les recherches sur les archives administratives, un travail avorté... 7 III - La richesse relative de la doctrine 12 Partie II - Les débats autour du choix d’une juridiction judiciaire ou administrative 13 I - Un contentieux judiciaire par détermination de la loi 15 II - Les explications possibles du choix 17 III - Un résultat incertain dès le lendemain

titre onéreux, la nullité d'une clause rejaillissait sur l'ensemble du contrat, le contrat entier devant être annulé. Dans la seconde moitié du XIXème siècle, la Cour de Cassation a élaboré un principe de solution commune pour tout les types de contrats. La jurisprudence a décidé d'abolir cette distinction et la Cour de Cassation a posé une règle commune dans un arrêt de la Chambre des requêtes du 3 juin 1863. Il n'y a plus qu'une seule règle. Lorsqu'une clause est entachée de nullité, la nullité

membre du pouvoir adjudicateur, concernant les obligations sociales et fiscales, à son égard, peut légitimement vouloir s’assurer que l’entrepreneur les respecte, en l’espèce, en lui imposant d’être titulaire de l’enregistrement visé par l’A.R. du 5 octobre 1978. Encore faut-il, à l’appréciation du juge national, qu’un tel enregistrement ait uniquement pour objet la vérification des qualités professionnelles de l’entrepreneur et de l’absence dans son chef, d’une clause d’exclusion au sens de l’article

procureur de la République . . . . . . . . . . Transmission du dossier à la commission d’examen des pratiques commerciales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294 295 302 302 304 304 304 304 Chapitre VIII – La procédure d’engagements . . . . . . . . . . . . . . 305 Les engagements de l’association EUROPQN, du SPQR et de l’AEPHR (05-D-12) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305 Les engagements de la SACD (05-D-16) .

Les premières grandes actions au niveau international ont eu lieu à partir de 1972, année de la conférence sur l’environnement à Stockholm. Les principaux acteurs internationaux sont l’ONU, le GATT et l’OMC. Au niveau européen tout commence en 1993 avec la création de l’agence européenne pour l’environnement. Ensuite, le traité d’Amsterdam et le protocole de Kyoto ont été ratifiés et l’Union impose depuis une règlementation en matière d’environnement de plus en plus stricte. En France, une

admet les effets en révisant le jugement en ce qu’il soit semblable à ce qu’il aurait jugé. Une révision au fond est faite par le juge. C’est une solution stricte qui est liée à la question de souveraineté. Cour de cassation, civile 1ère, 7 janvier 1964, Munzer La Cour de cassation ne rejuge pas l’affaire mais simplement vérifie pour pouvoir accorde l’exequatur que la décision étrangère répond à 5 conditions de fond. L’assouplissement est considérable. Le temps a changé, la notion de souveraineté

la faute à l'origine de l'accident était établie, celle-ci n'était pas le fait d'un organe ou d'un représentant de la société. Identification de l'organe ou du représentant ? La Cour de cassation devait donc répondre à la lancinante question de savoir si l'article 121-2 du code pénal, instituant la responsabilité pénale des personnes morales, suppose nécessairement l'identification d'un organe ou représentant, auteur ou complice de l'infraction

conflits a estimé que tout contractuel d’un service public administratif est un agent de droit public, sans distinction selon la nature ou les conditions de son emploi Trib. des conflits 25 mars 1996 Berkani Dr.soc.1996, 735, obs.X.Prétot. La Cour de cassation et le Conseil d’Etat ont suivi ce revirement de jurisprudence Cass.soc.18 juin 1996 RJS 8-9/96, n°966 ; CE 15 janvier 1997 RJS 2/97, n°214. Désormais non seulement tous les fonctionnaires statutaires mais aussi les fonctionnaires contractuels échappent