Cassation Criminelle 26 Juin 1995

Association luxembourgeoise des juristes de banque AFB Association française des banques AFEC Association française des établissements de crédit APB Association professionnelle des banques Bull. civ. Bulletin civil des arrêts de la Cour de cassation CEDH Cour européenne des droits de l’homme CES Conseil économique et social CJCE Cour de justice des communautés européennes CNC Conseil national du crédit D. Recueil Dalloz DH Dalloz hebdomadaire DMF Revue de droit maritime français

risquait de paralyser l’activité humaine. Pourtant, face à la multiplication des accidents de la circulation, la jurisprudence en vint à faire évoluer le droit privé de la responsabilité civile dans ce domaine. Dans l’arrêt « Jand’heur » la Cour de cassation décide qu’il y a responsabilité sans qu’une faute doive être établie à l’encontre du conducteur, à partir de ce moment, le conducteur ou plus précisément le gardien du véhicule doit indemniser les conséquences dommageables de l’accident pour la victime

connaissance d'un type d'affaires (ainsi en est-il dès le départ du contentieux des travaux publics et des contributions directes). Par les décrets-lois des 6 et 26 septembre 1926, leur nombre est réduit à 22. Par le décret-loi du 5 mai 1934, il leur est attribué l'essentiel du contentieux des affaires locales. Par le décret-loi du 17 juin 1938, le contentieux des contrats portant occupation du domaine public leur est transféré. Enfin, la réforme du contentieux administratif réalisée par le décret-loi

l’application des lois dans le temps, RTDCiv. 1969, pp. 405 et s. - Fr. Dekeuwer-Desfossez, Les dispositions transitoires dans la législation civile contemporaine, Paris, 1977 ; - J. Héron, Etude structurale de l’application de la loi dans le temps, RTDCiv. 1995, pp. 277 et s - P. Level, Essai de systématisation du conflit de lois dans le temps, thèse Droit, Paris, 1959 ; - Mailher de Chassat, iTraité de la rétroactivité des lois, paris, 1845, 2 vol. ; - Pace, Il diritto transittorio con paticolare riguardo

26/08/10 Bibliographie : – Code pénal (principe de légalité gouverne la matière) – le précis DALLOZ droit pénal général Bernard BOULOC – BOULOC ET MATSOPOULOU droit pénal général intégral concour collection DALLOZ – PIN Xavier droit pénal général, P. CONTE et maistre du chambon – PRADEL droit pénal génral PUGASSE 2006 (explique l'esprit de la loi) Le droit pénal constitue la branche du droit la plus connue du citoyen et cela pour trois raisons : – il s'agit d'un

les diffÈrends des particuliers ª. ´ Toute sociÈtÈ dans laquelle la garantie des droits níest pas assurÈe, ni la sÈparation des pouvoirs dÈterminÈe, nía point de constitution ª, proclamait la DÈclaration des Droits de líHomme et du Citoyen du 26 ao˚t 1789 (Art. 16). Cíest bien pour cela que líindÈpendance níest donnÈe au juge que dans líintÈrÍt de la protection des droits des individus qui espËrent pouvoir obtenir justice. Elle níest pas un privilËge du juge : la dÈpendance du pouvoir

25 mars 2004, assouplissant fortement le régime de la SARL, et l'ordonnance no 2004-604 du 24 juin 2004 réformant profondément le régime des valeurs mobilières. Et l'année 2005 n'a pas elle-même échappé à cet objectif de modernisation du droit des sociétés, en vue de le mettre encore davantage au service des entreprises et de l'économie, avec l'adoption de deux lois importantes : la loi no 2005-842 du 26 juillet 2005 (loi breton) pour la confiance et la modernisation de l'économie, et la loi no 2005-882

préoccupations de sûreté pour venir renforcer l’arsenal juridique préexistant. La sécurité est l’ensemble des normes qu’on édicte pour faire face au phénomène accidentel (aléa accidentel en mer) alors que la sureté vise à se préoccuper du phénomène criminel. - Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) : siège à Genève créé depuis 1964. Mission de règlementation des échanges commerciaux avec un souci de prise en compte des préoccupations des pays en développement. Elle

l’idée que les personnes qui par leur activité crées des risques sont celles qui doivent les assumer quand les risques se réalisent. Et ceux sans que la victime doit prouver une faute. C’est ce qui s’est fait en 1896, Teffene (à vérifier) la cour de cassation a condamné un employeur à indemniser un salarié, du fait d’un accident du travail, et ceux indépendamment de sa faute. Cette notion a été reprise dans le domaine précis des accidents du travail, par une loi du 9 avril 1898, qui a été intégré, dans

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 17 18 18 18 18 19 19 19 19 20 20 20 21 21 22 22 23 23 23 24 24 24 25 II. ARBEITSGERICHTSBARKEIT (JURIDICTION DU TRAVAIL) . . . . . . 26 A. Arbeitsgericht (tribunal du travail) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 B. Landesarbeitsgericht (tribunal régional supérieur du travail) . . . . . . . . . . 27 C. Bundesarbeitsgericht (Cour fédérale du travail) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 III