Castigat Ridendo Mores Comédie

Représentée pour la première fois le lundi 5 mars 1795 L’auteur : Pierre Carlet de Chamberlain de Marivaux et un auteur principalement de pièce de théâtre, il est beaucoup inspiré par la commedia dell’arte, il écrit principalement pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire : La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences. Dans cette pièce de théâtre il aborde le plus souvent la

sent que, s’il ne l’avait pas lu, le monde serait plus pauvre » (Alberto MANGUEL). « Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j’ai cru que [...] je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle », (MOLIERE, Premier placet présenté au roi sur la comédie du Tartuffe - à propos de ce « Castigat ridendo mores » hérité des latins, voir ci-dessous). « Instruire, c’est former le jugement » ; « Je m’avance vers celui

beaucoup de comédies. La question se pose alors: le comique n’est-il qu’un moyen de divertir le spectateur ou peut-il également permettre de faire passer un message? Certes, les aspects comiques servent à faire rire, à amuser les spectateurs.En premier lieu, le théâtre était à l’époque un divertissement pour la bourgeoisie, l’équivalent en moins populaire du cinéma à notre époque; la tragédie étant sérieuse et raffinée, avec des personnages de haut rang subissant un destin cruel, la comédie se veut

intrigues à la fois. Dom Juan peut apparaître comme une pièce baroque : goût de l'excès et de la liberté d'expression. L'auteur aborde ici, des thèmes importants, comme la médecine, la religion, le libertinage ainsi que la hiérarchie sociale. Dans cette comédie de type argumentatif et à tonalité comique, ironique et aussi polémique, Molière cherche donc à plaire et instruire. Quel est le rôle du déguisement dans cette scène ? Nous étudierons tout d'abord le ressort dramatique du déguisement puis les effets

des esclaves, représentée sur scène en 1725 pour la 1ère fois, Marivaux : Dramaturge, s'inspire de la Comedia Dell'Arte, son nom a donné ''marivauder'' : tenir des propos courtois. Il écrit des comédies sentimentales, psychologiques, utopiques qui répondent parfaitement au Castigat Ridendo Mores (= la comédie corrige les mœurs en riant). Cette île de la Grèce Antique est un lieu imaginaire, utopique, sur laquelle l'ordre social maître/esclave est renversée (concept des Saturnales). Dans la scène

personnage n’est pas une personne de la vie réel. Peindre les mœurs= dégager des caractères. Le personnage de théâtre est le général l’universelle. Molière ne vise personne précisément mais tous le monde. Molière lie morale et plaisir. « Castigat mores ridendo » =corriger les mœurs en riant. Reconnaître quelqu’un en particulier, dans un personnage, c’est forcé (fausse route) la signification c’est mal interpréter le théâtre. Finalement c’est nuire au dramaturge « de mauvais offices »= de mauvais

: je joue) je viens pour le fait de jouer (= pour jouer) Le gérondif existe aussi au datif (rare : complément de certains adjectifs), et à l’ablatif. Employé à l’ablatif sans préposition il a la valeur d’un complément de moyen : Castigat ridendo mores : elle (la comédie) châtie les mœurs au moyen du rire. Dans ce cas on peut recourir à ce qui en français s’appelle gérondif, à savoir tournure « en + participe présent » : Legendo doctus fies : par le fait de lire tu deviendras savant  en lisant tu

mois avant d’écrire Dom Juan, dans le premier placet sur Tartuffe (écrit envoyé au roi) Molière écrivait : « Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j’ai cru que dans l’emploi où je me trouvais je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer, par une peinture ridicule, les vices de mon siècle» équivalant à Castigat ridendo mores (elle –la comédie- corrige les mœurs par le rire) Les modifications entreprises par Molière par rapport au Festin de pierre de ses contemporains

esclaves – Scène 10 : La tirade révoltée de Cléanthis Le théâtre est-il une bonne tribune pour la contestation ? Intro : L'île des esclaves, 1ère représentation en 1725, Marivaux : dramaturge, écrit des comédie psychologiques, sentimentales, utopiques qui répondent parfaitement au Castigat Ridendo Mores ; cette île des esclaves par exemple est un lieu de la grèce antique, utopie sur laquelle l'ordre social maître/esclave est inversé. Arlequin & Cléanthis, en débarquant sur cette île, en deviennent

la part de M → conflit fort mais impuissance à justifier leur point de vue. Ccl : La pièce début par fort conflit : pers. principaux passent d'une très forte amitié à la haine → amitié qui se cassent sous nos yeux. Il s'agit d'une scène de comédie (Comique au niveau des personnages qui sont ridicules/comique issu de la satire d'un milieu social) 1°)Comique de situation issu d'un décalage entre ton de S et avèrement du conflit Tableau blanc → support comique sur scène car met en évidence