Castigat Ridendo Mores Molière

différents comiques (comique de situation, de gestes etc.) II) la comédie à d'autres fonctions que de divertir a) dénonciation des vices et du ridicule (par la moquerie, les registres satiriques, ironique etc.) b) corriger les travers humains (castigat ridendo mores) La comédie châtie (corrige) les mœurs en riant. |I. De nombreuses pièces de théâtre cherchent, en effet, a provoquer le rire, a divertir A) Les comédies au comique «grossier» B) Certaines œuvres accentuent les moments hilarants C) Certaines

Pensez vous plus efficace de parler des sujets graves su un ton léger et humoristique ou sur un ton sérieux appuyez votre réponse sur vos lectures personnelles Pour définir la comédie, J.B Santeuil écrivait castigat ridendo mores, l’on peut déduire de cette phrase qu’un discours apparemment léger peut convenir à un sujet grave et même influer sur les mœurs d’une époque. Cela semble assez paradoxal, car il est d’usage habituellement d’employer un ton grave pour convaincre ses semblables. Dès

but de la comédie est de corriger les mœurs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la tragédie. Beaucoup des écrivains qui ont donnés un sens au théatre sont des personnalitées bien connues tels que: Moliere, Ionesco, William Shakespeare, Jean Racine, Victor Hugo, Alfred de Musset... Nous pouvons vérifier qu'il y a une grande présence de scène de conflit au sein de ce genre littéraire. Nous allons commencer par décortiquer le texte de Molière, Tartuffe, ensuite nous allons exploiter le

Séquence n°1: Maitres et serviteurs au 18éme siècle Perspective: Comment le théâtre du 18°s transforme-t-il ici la relation entre maitre et serviteurs? Chez Molière les serviteurs ont des fonctions différentes: 1°/ Dom Juan et Sganarelle: Dans la scène d'hypocrisie, Sganarelle est incapable d'expliquer les erreurs de l'immoralité de Dom Juan, et donc il met en valeur ce dernier. Il a un rôle de faire-valoir, grâce au contraste entre les deux. Cette pièce a été censurée a l'époque. 2°/

futur. Ce texte est encore utilisé aujourd’hui pour des courants politiques différents. De temps en temps, l’engagement est indirect. « Castigat ridendo mores », signifie que l’on châtie les mœurs en riant. De nombreuses ouvres s’engagent en faisant rire et ne cherchent donc pas qu’à divertir ni qu’à faire réfléchir. A travers de nombreuses pièces de théâtre, Molière nous fait rire, mais après ces rires, nous réfléchissons aux thèmes de ces pièces qui critiquent la plupart du temps la société. N’oublions

théâtre de l'absurde[->17], le conte[->18], la revue[->19], et ainsi de suite. Molière[->20] disait, traduisant ainsi une devise de Santeul[->21] : le but de la comédie[->22] est de corriger les mœurs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la tragédie[->23]. Ces deux formes théâtrales ont en effet une portée édifiante. § La comédie se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant », dit Molière. Cet auteur français célèbre, tout en faisant rire les spectateurs, tournait

cela leur permet de faire passer un message aux lecteurs en exagérant des défauts de personnages dans le but de montrer qu’il ne faut pas devenir comme cela, car les locuteurs rient de ce quoi ils ne veulent pas être. C’est le cas dans l’avare, de Molière, ou Harpagon, trop soucieux de son argent et trop égoïste, ne se soucie plus de son mariage, ni même de ses enfants ; il restera avec sa précieuse cassette, en témoigne la dernière réplique de la pièce : « Et moi, voir ma chère cassette. » (Acte V

qui prétendait l’épouser a révéler qu’il n’est lui-même qu’un manipulateur, un coureur de dot. Dans ce cas, c’est masque contre masque : le déguisement permet de démasquer l’autre. "Se rapprocher d'une époque" : Les costumes des comédies de Molière qui reflètent une époque et un milieu social (le costume démodé d'Harpagon dans L'Avare) . II/ Le déguisement : un moyen de révélation 1. Le masque du déguisement libère la parole et les sentiments : dans le texte C, le travestissement de Chérubin

est possible d’aborder le thème du pouvoir par le biais de la tragédie, genre théâtral permettant une meilleure dénonciation et ce au sein d’un pays ou d’une cité, ainsi que par le biais de la comédie, qui corrige les mœurs par le rire (« castigat ridendo mores ») et le théâtre de l’absurde.       La tragédie offre une dénonciation du pouvoir d’autant plus intense que sa fin est dramatique et touche ainsi le lecteur et le public de manière souvent inévitable. En outre, l’utilisation du registre

L’école des femmes, Acte II scène V Selim Habchi C’est en faisant rire le spectateur que la comédie corrige les comportements, selon la formule «  Castigat ridendo mores ». Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673), reprend cette devise à son compte. Dramaturge, comédien, directeur de la troupe de L’Illustre Théâtre, il écrit et joue des comédies restées dans notre patrimoine littéraire et théâtral, à la Cour, devant Louis XIV, comme à la Ville. Ses pièces divertissent ses contemporains