Castigat Ridendo Mores Molière

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l'objet décrit. Aristote: saisir l'esprit des êtres et des choses afin de rendre au mieux leur essence cachée. c. La conception classique de la catharsis - L'art a une utilité morale, corriger les mœurs : > en exploitant la veine comique ("Castigat ridendo mores") >en élevant l'âme à l'admiration des grands hommes (Corneille) >en déclenchant une manière de psychodrame tragique (Racine) - Tragédie vise la catharsis, purification des passions, suivre les règles morales propices à la vie sociale car

d’amour et de mariages arrangés. Des regles strictes comme la regle des 3 unités (lieu, temps, action) sont alors crées. Moliere, qui déclara « castigat ridendo mores » (corriger les mœurs en riant), favorise le succès de ses pièces au respect des regles ; ce qui ne l’empeche pas d’ecrire des pieces en vers comme l’école des femmes. Jean Baptiste poquelin de son vrai nom , Molière (1622 – 1673) est un grand dramaturge qui a écrit de nombreuses comédies comme le malade imaginaire ou le bourgeois gentilhomme

mythique; Corneille valorise les siens par leur réalisation finale et le spectateur s'identifie plus facilement à ses personnages qu'à ceux de Racine. La comédie, à travers sa forme classique, tente de retrouver des lettres de noblesse, et c'est Molière qui est le représentant majeur de la comédie classique. Genre mineur auquel les théoriciens s'intéressent peu, la comédie s'éloigne de la simple farce pour trouver la nouveauté. Les intrigues sont écrites sur le même plan que la tragédie et les personnages

L'INVENTION DE LA GRANDE COMEDIE L'Ecole des femmes , en cinq actes et en vers, jouée en 1662 par Molière , donne au genre comique ses lettres de noblesse . C'est la première des grandes comédies où Molière aborde les questions les plus brûlantes de la vie de son temps . Les personnages qu'il imagine et interprète , comme Tartuffe et Herpagon , continuent encore à faire rire et réflechir . La comédie peint des caractères ridicules ou des conflits amoureux qui connaissent un heureux dénouement

Ah, je ris de me voir si belle en ce miroir ! » : la comédie et les humoristes nous offrent un reflet de nous-mêmes, de nos petits travers, et nous aident à porter un autre regard sur nous-mêmes. Castigat ridendo mores, disent les anciens. « Battez-moi plutôt, et me laissez rire tout mon soûl ! » (Molière, Le Bourgeois gentilhomme) : rire offre un refuge salutaire à l'individu qui un jour a besoin de mettre une barrière entre le monde et lui. Rire manifeste une force de subversion qui s'oppose à un

MOLIERE Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, baptisé le 15 janvier 1622 et mort le 17 février 1673, est à la fois acteur, dramaturge, metteur en scène et directeur de troupe. Auteur le plus joué depuis le XVIIe siècle, Il est considéré comme l'âme de la Comédie-Française. Le but de Molière est de « faire rire les honnêtes gens ». Sa devise est Castigat ridendo mores (en riant, elle châtie les mœurs). La jeunesse de Molière (1622-1643) Fils de Jean Poquelin, riche marchand et tapissier du

voir une pièce de théâtre. Au XVIIème siècle, le genre comique s'affirme et trouve ses lettres de noblesses. Pour beaucoup, le théâtre est devenu un lieu de réflexion et de distraction. Si le rôle de la comédie se retrouve dans la phrase "castigat ridendo mores", c'est à dire, "châtier les moeurs par le rire", il convient pourtant de souligner que les premières représentations théâtrales, en l'honneur de Dionysos, détenaient déjà une autre fonction, dites "purificatrice". C'est alors qu'Aristote

roi Louis XIV; mais aussi Victor Hugo, qui à travers ses romans tels que Le dernier jour d'un condamné (1829) , ou Glaude Geux (1834), constituent un réquisitoire politique visant à deffendre la peine de mort en France; ou encore Moliére, qui selon le « castigat ridendo mores » dénonce la sociète de l'époque à travers ses pièces de théâtre, parmis les plus connues L'avare (1668), ou il y fait la satire de l'avarice, ou bien Le Bourgeois gentilhomme (1670), ou il critique tout simplement la bourgeoisie

le café-théâtre d'improvisation, le théâtre de l'absurde, leconte, la revue, et ainsi de suite. Molière disait, traduisant ainsi une devise de Santeul : le but de la comédie est de corriger les mœurs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la tragédie. Ces deux formes théâtrales ont en effet une portée édifiante. La comédie se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant », dit Molière. Ce célèbre dramaturge français, tout en faisant rire les spectateurs, tournait en ridicule