Catécholamine

Traitement par corticothérapieTraitement par corticothérapieDr Biram C FALLMedecine Interne HDJPetit rappel de physiologieGlandes surrénalesCorticosurrénale: glucocorticoides, minéralocorticoides, androgènesMédullosurrénale (catécholamines: adrénaline, noradrénaline)Mesurent 4-5 cm, de forme triangulaire2Petit rappel de physiologieHYPOTHALAMUSHYPOPHYSEACTHCRHCortisol--Corticoïdes exogènes--Traitement par corticothérapieSurtout utilisé pour action anti-inflammatoirePrécoces: InsomnieLabilité émotionnelleAugmentation

conglomérat de sécrétions digestives, cellules cutanées, cellule pariétale desquamés dans le liquide amniotique. Ce sont les premières selles du nouveau né : Stériles à la naissance Émis dans les 24H (94% cas) Retard si > 36H VI. Rôles de catécholamines (adrénaline et noradrénaline) Ces hormones servent à l’adaptation à la vie extra utérine hormones de BAVEU (bonne adaptation à la vie extra utérine) Naissance = stress = sécrétion A et NA Rôles : améliore compliance pulmonaire et résorption

L'une décifiente en MeCP2,0et une souris témoin wt. Les points verts representent la noradrenaline. On peut observer beaucoup plus de fluorescence sur la souris wt, que sur la souris mutée. Par conséquent la souris mutée présente un déficite en catécholamine. Les chercheurs ont estimé ce déficit a 30%. Nous pouvons donc conclure que l'inactivation du gène Mecp2 altère les neurones contenant des bioamines, situés dans le bulbe rachidien (au-dessus de la moelle, sous le cerveau). Les bioamines

situation que nous associons à la situation présente. Il y a donc trois phases à ce phénomène. → La première : L'alarme = L’organisme se prépare au combat ou à la fuite. Dès la confrontation à une situation évaluée comme stressante, des hormones (catécholamines) sont libérées par l'organisme. Elles ont pour effet d'augmenter la fréquence cardiaque, la tension artérielle, les niveaux de vigilance, la température corporelle… Toutes ces modifications ont pour but d’amener l’oxygène aux muscles et au cœur

son poids est compris entre 4 et 6 grammes et elle est séparée en deux parties distinctes : La corticosurrénale, à l’extérieur, assure la synthèse de stéroïdes dérivant du cholestérol. La médullosurrénale, à l’intérieur, assure la synthèse des catécholamines ou amines (adrénaline, noradrénaline,…). B\ Origine et formations. Embryologiquement, les deux types cellulaires (corticosurrénale et médullosurrénale) sont différents. Le mésoderme a donné la corticosurrénale. Le neurectoderme a donné la médullosurrénale

dérèglement de l’équilibre glycémique chez les patients diabétiques. Tissu adipeux : les effets des glucocorticoïdes sont doubles : une redistribution des masses grasses et une augmentation de la sensibilité du tissu adipeux aux agents lipolytiques (catécholamines, glucagon ou hormone de croissance). La nouvelle répartition de la masse grasse proviendrait d’une hétérogénéité de réponse des diverses zones de la masse grasse aux stimuli lipolytiques : les adipocytes périphériques sont peu sensibles à l’insuline

récepteurs ▪ Stimulation intense active « nocicepteur » ◦ Axone transmet l’influx ◦ Synapse est une véritable articulation contenant un neuromédiateur facilitant le passage du message ou le modulant ▪ neuro médiateur excitateur = acétylcholine, catécholamine, sérotonine, histamine ▪ neuro médiateur inhibiteur = GABA (Acide Gamma Amino Butyrique) 4/ Comprendre la DOULEUR • la voie néo-spino-thalamique * Composante sensori discriminative * conduit les messages tactiles et thermiques * intervient

hyperstimulation sympathique dans les 5 min après piqûre → nb libération de catécholamines rarement : effondrement du DC → OAP / choc cardiogénique Envenimation peu fréquente → 5% des piqûres → gravissime pour enfants et adolescents si scorpions adultes > 4cm → rare 95% des piqûres sont douloureuses mais sans gravité → décharge de catécholamines Stade 1 : envenimation bénigne Douleur intense (2h env) Signes généraux modeste Stade 2 : envenimation

mettant directement en jeu le pronostic vital. Elle implique un monitorage continu des fonctions vitales et, le cas échéant, le recours à des méthodes de suppléance (transfusion de dérivés sanguins, remplissage vasculaire, ventilation mécanique, catécholamines, hémodialyse, circulation extra-corporelle, etc.). L'objectif final de la réanimation est la restauration de l'homéostasie. On distingue la réanimation d'urgence telle qu'elle est pratiquée par les unités pré hospitalières (SMUR) et la réanimation

risque confusionnel chez la PA. SNP : augmentation du temps de conduction nerveuse des nerfs périphériques > baisse de sensibilité prioceptive (hypoallesthésie) > troubles posturaux, risques de chute. SN autonome : augmentation des taux de catécholamines, Augmentation des décharges des nerfs sympathiques, Diminution de la sensibilité des récepteurs beta-adrénergiques Modifications du SCV : Débit cardiaque de repos et à l’effort ne diminue pas ou peu Masse cardiaque et épaisseur du ventricule