Catharsis Phedre

texte Phèdre, Racine, II, 5 (1677) A l’origine, d’après l’une des interprétations de son étymologie, la tragédie aurait accompagné le sacrifice d’un bouc. En effet, le texte soumis à notre étude est Phèdre, écrit par Jean Racine en 1677. Phèdre souffre de l’amour impossible pour son beau-fils Hippolyte. Thésée, l’époux de Phèdre, entre dans une colère noire, car Œnone, la nourrice de Phèdre lui a menti en accusant Hippolyte. Ce dernier meurt des malédictions profanées contre lui. Phèdre, accablée

Racine, Phèdre, 1677, acte V scène 7 Biographie : Jean Racine né en 1639 dans l’Aisne et mort en 1699. Il est bourgeois et est orphelin très tôt. L’Abbaye de Port-Royal il se trouve le jansénisme (= tendance au sein de l’Eglise catholique), lecture des évangiles selon la grâce certains l’ont et d’autres ne l’ont pas. A Port-Royal il y a des écoles et des solides axés sur le latin et le grec. En 1658, Racine quitte Port-Royal et vient vire à Paris. Il écrit des œuvres pour le Roi. La première

conclusion d’un commentaire ayant pour objet la tirade du personnage de Phèdre à l’acte II scène 5 de la pièce de Racine, « Phèdre ». « Phèdre » est une pièce de théâtre écrite par jean Racine, né le 22 décembre 1639 en Picardie et décédé le 21 avril 1699 à Paris. Il était un célèbre écrivain dramaturge de l’époque du classicisme, très inspiré par les grands poètes antiques tels que Euripide ou encore Eschyle. La pièce « Phèdre » fut écrite en 1677 alors que Racine avait déjà acquis une certaine

Aristote ( IVe siècle avant J.-C. ) définit ainsi la tragédie : « imitation d'une action de caractère élevé et complète […] faite par des personnages en action et non au moyen d'un récit, et qui, suscitant pitié et crainte, opère la purgation ( catharsis ) propre à de pareilles émotions... ». La définition a été reprise par le poète latin Horace au Ier siècle ap. J.-C., puis par les théoriciens Français du 17e siècle ( l'abbé d'Aubignac et Boileau, en particulier ). La tragédie fait aussi l'objet

en question. De plus la tragédie grecque remet en question les thèmes essentiels du monde réel (comme la Justice, la Vérité….) La tragédie grecque obéit à deux principes: - le principe des trois unités (lieu, temps, action) - le principe de la catharsis (elle doit purifier les passions et inspirer terreur et pitié aux spectateurs) 4) Les principaux auteurs Eschyle (525/456 av J.C.) : Les Perses Sophocle (496/406 av J.C.) : Antigone, Electre, Œdipe roi Euripide (480/406 av J.C.) :Alceste

pièce est tout l'espace que peut embrasser le regard; chez Racine , ce lieu unique est plus circonscrit: c'est l'intérieur d'un appartement, dans un palais, ou bien une antichambre.   Pour Aristote, philosophe grec, le but de celle-ci est la catharsis, c'est-à-dire, la purgation des passions. Le spectacle tragique plonge le spectateur dans la pitié et la terreur afin d'amener chez lui une purgation de ses mauvais penchants. Autrement dit, l'effet cathartique consiste à nous faire goûter aux conflits

palais, conflit "populaire" ---> maisonette ...) - Le décor peut se trouver parmi le public, de ce fait le public se fait juge du conflit. La Catharsis est simplifiée et optimale.lit de haute classe sociale ---> palais, conflit "populaire" ---> maisonette ...) - Le décor peut se trouver parmi le public, de ce fait le public se fait juge du conflit. La Catharsis est simplifiée et optimale.vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv- vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvII-Les moyens scénographiques

fonction cathartique La catharsis de l’auteur Selon Aristote, la catharsis est un phénomène de libération des passions qui se produit chez les spectateurs lors de la représentation d'une tragédie. Il veut donc, en écrivant ses œuvres, émouvoir de façon très violente son public. Ses principales œuvres cathartiques sont La Poétique et La Politique. D’autres auteurs utilisent ce procédé : L'Illusion comique de Pierre Corneille et Andromaque de Jean Racine La catharsis du spectateur Le spectateur

Métaphore rhétorique et métaphore poétique chez Aristote Guillaume Pilote* Résumé Cet article compare le traitement d’Aristote de la métaphore dans sa Poétique et sa Rhétorique afin de montrer que le type de discours dans lequel s’insère une figure de style influence sa grammaire d’utilisation. Dans le cas de la tragédie, la métaphore participe au but de katharsis en procurant un plaisir d’apprentissage, et à la mimèsis en favorisant l’élévation du sujet. Dans le cadre d’un discours rhétorique, la

troubles névrotiques, qui se fonde sur cette investigation ; une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen, et qui fusionnent en une discipline nouvelle. * L’inconscient et le dialogue ; association libre : vise à pratiquer la catharsis sans l'hypnose. Freud cherche alors à favoriser la remémoration en invitant le patient à dire librement ce qui lui vient à l'esprit, et en travaillant sur les chaines associatives. * Prémices d’une révolution sur les pratiques thérapeutiques