Cauchemar Jaune

Eluard. Il ne les comprend pas forcément (s’il ne les aime pas c’est qu’il n’aime pas ce qu’ils lui renvoient), mais il constate leur utilité, surtout dans le monde artistique. Il y aussi un autre poème intitulé Rêve (II). Mais c’est plutôt un cauchemar, puisque « La tour Eiffel est penchée, Les ponts sont tordus […] Chez moi Plus un livre ». Finalement, ces thèmes sont plus présents, ou du moins plus explicites, dans les dessins de Man Ray. Le pictural est plus expressif que le littéraire. Mais

Nuova york, il 3/10/1910 Cara francesca y la famiglia , Quelle expérience mouvementée ! Je dois absolument te parler de ma nouvelle vie et de ce qui est arrivé à l'Île d'Ellis. Tout d'abord, c’était le cauchemar là-bas. Papa, comme les autres immigrants, a dû répondre à beaucoup de questions venant d'officiers. Ils devaient aussi passer un examen médical obligatoire pour rentrer dans le pays. Quant à moi, le docteur m'a examinée et il a découvert que j'ai été enrhumée. J’ai pris peur … Il m'a

paragraphe «entre quatre cierges de cire» (l.13-14)         B/ Jeu sur la temporalité - les différents temps des verbes traduisant le désordre, l’incohérence - connecteurs logiques «d'abord, ensuite, enfin» deviennent illogiques         C/ Un cauchemar - thème du Moyen-âge => gothique, souffrance (bourreau, Morimont...) III- Le poème en prose: entre ordre et dislocation         A/ Risque de l'éparpillement - un rêve ne comporte pas de structure et ils sont difficiles à retranscrire - 3 visions

quel jour on était, de l’heure ni même de son accident… Soudain, des fous rires viennent la sortir de cet état. Ce n’est autre que ceux de ses filles. Ces bruits qu’elle entend la firent sursauter, et elle s’aperçut qu’elle était juste dans un cauchemar terrible, endormie à même le sol.

dormir de peur quelque chose se produisait à nouveau. Le vent sifflait très fort dans le grenier. Les fenêtres gémissaient, en étant gelés depuis si froid. À un moment donné on entendait un bruit très effrayant dans le grenier. Il semblait que le cauchemar n'était pas terminé. Jacques a rapidement sauté hors du lit en essayant de trouver ce qui se passa. Une grande ombre s’était montrée sur le mur du grenier, une ombre qui provoqua du mal à ces deux. Bien qu’ils eussent de la peur de se rapprocher

sensations normales. Mais tout d’un coup, alors que j’essaye de retrouver un peu le contrôle de moi-même, je me retrouve emporté dans un cauchemar profond dont je ne peux m’échapper, emprisonné. Tout est trouble à l'intérieur de moi. Que se passe-t-il? Deviens-je fou? La sueur coule le long de mes joues, mes yeux me brulent. Est-ce que j'arriverais à sortir de ce cauchemar ? Enfin, si cela en est un ! Car tout cela est peut-être réel... Je ne sais plus si je dors, si je rêve… Mais j'ai dû m'assoupir

Antithèse : le poète se met en scène comme proie aux affres d'une douleur extrême. Premier mots forts, hyperboliques «  hideux » , « hante » (V5) « fou » (V6) Métaphores+comparaison = image violente des sentiments et des sensations du poète. « Le hideux cauchemar qui me hante » (V5)= vision d'horreur « Se multipliant comme un cortège de loups/ et se pendants après mon sort qu'il ensanglante ! » (V7-8) : réalisme sur la sauvagerie des assauts. Homme seul, vulnérable, attaqué de toutes parts et blessé.

monstrueux, surgi du néant une mitraillette à la main, se met à vous poursuivre. Puis il ouvre le feu, en longues rafales qui n’en finissent pas. Vous allez tomber sous ses balles quand soudain, vous vous réveillez en hurlant. Ouf! ce n’était qu’un cauchemar, un de ces rêve si particuliers, si dérangeants. Il se produit durant le sommeil paradoxal, avec une caractéristique première, validée par les chercheurs: il réveille le dormeur, le laissant angoissé. A distinguer du « mauvais rêve » qui, quoique

l’angoisse du narrateur était la conséquence de cauchemars qui se répétaient. Plus tard, le narrateur remarque que la carafe est vide. On n’est plus dans le cauchemar mais dans le réel. Le fantastique, c’est précisément cela : un événement inexplicable qui survient dans un univers bien réel, quotidien. Cet événement sème alors le doute dans l’esprit du personnage. Est-il fou ? Extrait : Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché

Mais la rêverie a-t-elle vraiment sa place dans notre monde moderne où rendement et efficacité sont devenus les maîtres de notre existence ?   Le monde qui se présente à nous ne ressemble pas au rêve et à sa connotation positive, par opposition au cauchemar d’où ce besoin que nous avons denous évader au moyen de rêveries. Les périodes difficiles encouragent toujours àchercher un ailleurs, un refuge nous permettant de nous rassurer. Allumer une chaîne d’informations en continue quelques instants nous