Cauchemar

LE CAUCHEMAR, FÜSSLI, 1802, HUILE SUR TOILE, 76x63cm, MUSEE GOETHE, FRANKFURT. -En quoi Le Cauchemar peut-il être vu comme une représentation de l’amour perdu ? 1-Contexte biographique de Füssli : Quelques années avant de peindre Le Cauchemar, Füssli était passionnément tombé amoureux d'une femme appelée Anna. C’était en fait la nièce de son ami, Johann Kaspar Lavater, un physiognomiste suisse. Füssli avait écrit à Lavater en 1779, soit trois ans avant la peinture du tableau : « La nuit

(décès d’un proche, rencontre, accident...), celui-ci se produisant quelques jours plus tard. On est alors persuadé d’avoir fait un rêve prémonitoire. • Des mauvais rêves, appelés également des cauchemars : c’est un rêve agité, effrayant et angoissant. Ils reflètent un état de stress ou d'inquiétude. Le cauchemar génère de la peur, du chagrin, de l'anxiété et du désespoir. • Des rêves normaux provoquant un état heureux chez le rêveur, le rêve est joyeux. Par exemple, on peut rêver d’une promenade avec

mais je ne voyais pas qui me touchait. J'avais peur et j'ouvris les yeux. Je ne compris plus rien. Ma ,mère se trouvais devant moi et j'étais dans mon lit. Je venais de faire un gros cauchemar et je me pinça pour voir si c'était vraiment la réalité se qui se trouvait devant moi. Et oui je venais de faire un cauchemar qui 'étais pas réel heureusement pour moi.

déroule pendant le demi-sommeil. Certains événements vécus dans la journée apparaissent au début du sommeil, mais c’est dans la phase dite « paradoxale » que le rêve le plus révélateur émotionnellement apparaît et marque l’esprit. Quand nous avons des cauchemars, nous sommes souvent tourmentés par des visions effroyables, qui parfois même peuvent encore préoccuper notre conscience après notre réveil. Les rêves sont en relation étroite avec les actes et les pensées de l'homme. Sigmund Freud (1856-1939)

La Morte (1887) de Guy de Maupassant Quelle désillusion attend le lecteur et le narrateur ? Quels sont les éléments qui donnent à ce conte l’apparence d’un cauchemar ? Le narrateur ainsi que le lecteur ont un désillusion profonde : on peut s’attendre à des retrouvailles enflammées pleine d’amour et de romance entre le narrateur et son épouse défunte. Celui-ci rêve de lui parler mais elle n’a que faire de lui et change l’inscription de la tombe, qui était à l’origine une déclaration d’amour

car il est présent dans tout le recueil étant donné que les poètes saturniens sont par tradition promis au malheur et j’ai donc choisi de le représenter par le poème Cauchemar car je trouve qu’il exprime le mieux le malheur. Afin de l’illustrer j’ai donc le tableau ci-dessous car il y réuni tous les éléments du poème. « Le cauchemar » (1791) huile sur toile de Johann Heinrich Füssli conservée au Detroit Institute of Arts aux Etats Unis. Autour de l’œuvre. Florilège : Peinture représentant

new-yorkaise du Lac des cygnes, pour laquelle Nina a été choisie comme danseuse étoile - un rêve de bonne élève. A condition qu'elle sache incarner, outre l'innocent cygne blanc du début, le cygne noir dangereux de la fin - un cauchemar de bonne élève. Darren Aronofsky s'y connaît en cauchemars : il a signé, en 2001, le mémorable Requiem for a dream, d'après Hubert Selby Jr., tableau horrifique d'une Amérique déjetée, entre fils drogué et mère gavée de médicaments, tous deux emportés dans une dérive de la perception

d’une histoire vécue par Nicolas, un jeune garçon. Son enfance est perturbée par des relations difficiles à la maison et à l’école. Nicolas est un enfant solitaire, sans amis, surprotégé par ses parents. Une banale sortie de classe tourne au vrai cauchemar pour le jeune garçon. Les événements qui s’y passent les bouleversent. Nicolas devient vulnérable et incapable de surmonter ses angoisses. Toute au longue de l’histoire, Carrère dessine deux portraits de deux hommes contrastantes de qui le jeune

Raymond Queneau n’échappent pas à cette source d’inspiration poétique que sont le rêve ou la rêverie. Il nous proposent alors, dans « Rêve parisien », « Cauchemar » et « En cas d’arrêt même prolongé », la description d’un de leurs rêves, mais dans des tonalités très différentes pour chacun. ©HATIER • Les titres : « Rêve parisien » et « Cauchemar » donnent déjà un premier indice, mais c’est surtout le corps même des poèmes qui renvoie à un monde rêvé. • Verlaine, dès le premier vers, indique explicitement

L’extérieur - Angoisse de l’enfance : « Ombres du soirs », « monstruosités hargneuses » « Démons noirs », « loups noirs » ->Extérieur sombre et inquiétant qui ramène a l’image du cauchemar ( Cauchemar : contraste avec la strophe 1 - Rimbaud parle à une femme : « Tu fermeras l’œil » II-) Jeu amoureux 2.1) Strophe 3 : Baiser animé - Scène d’action : baiser qui parcourt le cou de la jeune femme : « te courra