Cause De La Négritude

en 1955 (lexique). Le but de toutes ces alliances est de stopper la progression du communisme dans le monde : c’est ce que l’on appelle « l’endiguement » (lexique). 123 Des blocs contestés Cependant, certains pays remettent en cause cet ordre bipolaire. En effet, la disparition des grands empires coloniaux britannique et français dans les années 50 et 60, donne naissance à de nouveaux pays indépendants en Asie et en Afrique. La plupart de ces pays choisissent la politique du « non-alignement » :

décolonisation : plusieurs pays ont accédé à l’indépendance. Lutte pour les droits de négritude. Faits d’Harlem renaissance. Le mouvement du féminisme. Ces mouvements ont donné conscience qu’au delà de l’Europe, il y a d’autres littératures (africaines, pays colonisés) qu’ils n’avaient pas pris en considération par la littérature comparée. Il a fallu la 2ème guerre mondiale que ces mouvements aient un autre point de vue : remettre en cause la conception de la littérature comparée ancienne . 2- L’aspect épistémologique

mais au sens théorique et philosophique. Selon M. Diagne, l'ťuvre de Tempels est une référence incontournable. J.-G. Bidima relativise cependant son importance « car au moment où Tempels écrit sa philosophie bantoue en 1945, les discussions sur la négritude initiées par les Nègres eux-mêmes avaient déjà eu lieu depuis les années 1935 » (13). Mais P. Tempels était loin de se douter qu'il allait polariser un tel intérêt, qu'il allait aussi se faire clouer au pilori par d'aucuns ou encore qu'une trombe

martiniquais Césaire, à l’origine du concept de « négritude ». Ils ne réclament pas nécessairement l’indépendance, mais souhaitent obtenir plus d’autonomie et la reconnaissance des droits civiques des peuples colonisés. L’entre-deux-guerres correspond à un début de structuration des mouvements nationalistes. Ne nous y trompons pas, ils ne concernent qu’une élite cultivée et européanisée ; les masses indigènes sont encore indifférentes. Dans cette remise en cause de l’ordre colonial, n’oublions pas enfin

violence que l’on ressent à la lecture de l’œuvre, une violence dissimulé dans le langage et parfois complètement explicite et dure à accepter mais une violence que l’on ne comprend pas, à laquelle il n’y pas d’explication logique c’est-à-dire de cause à effet. La violence est de l’ordre du ressentit et les rapports entre les êtres laisse complètement cette impression d’étrangeté dont parle Koltés. Malgré cette incommunicabilité entre les deux personnages ont comprend que la parole est un besoin

attentats, néoconservateurs, unilatéralisme avec G.W.Bush) -Les guerres en Afghanistan et en Irak (riposte légitime contre l’axe du mal, unilatéralisme, guérilla permanente, Obama= retrait d’Irak) C) Un monde multipolaire -La remise en cause de l’hyperpuissance Américaine (fragilité, new pays éco : BRIC avec UE) V)Trois conflits pour un monde instable depuis les années 1990 A) La guerre du golfe (1990-91) : Une guerre au nom du droit international ? -Un conflit international

civiliser ». Pour autant, il est difficile d’utiliser ces exemples pour en tirer une vérité générale sur les pratiques des militaires. C’est notamment ce que font remarquer nombre d’historiens. En Algérie, « malgré leur paternalisme autoritaire, ou à cause de lui, les officiers des Bureaux arabes tentèrent, avec un dévouement admirable, de réparer dans les années 1850 les terribles épreuves de la décennie précédente (c’est-à-dire le moment de la conquête), de relever le niveau de vie des masses indigènes

I- Notion de « perversion » Dans le sens commun, le terme de « perversion » désigne les déviations voire transgressions, des conduites sexuelles. La perversion est à l'origine le fait de détourner une conduite de son orientation de base, de la cause commune ou des logiques naturelles. C’est une conduite jugée anormale au regard des normes d’une société donnée, avec ses règles morales et ses conventions. Dans les textes religieux, le terme de perversion est employé comme désignation du Mal, donc

du choc des idéologies. À ce point de la réflexion, il faut envisager des limites, une éventuelle contradiction, pour ne pas se laisser enfermer dans l’acquiescement béat. Est-ce bien la vocation de la littérature d’être un outil au service d’une cause ? Ne devrait-elle pas se montrer plus désintéressée ? Est-elle un moyen efficace de propager ses idées ou ses convictions ? N’existe-t-il pas d’autres moyens plus efficaces que la littérature ? Notons d’ores et déjà un écueil à éviter : le corpus traite

non à la colonie, conflictuel). -Portrait du colonialiste : suffixe potentiellement idéologique. Toute contradiction l’aide à construire son discours, alimente sa certitude. Il adhère totalement aux colonies, il veut convertir son auditoire à la cause qu’il défend. Il va installer dans son esprit une situation de triomphe, il a conquit et défendra bec et ongle. D’après Memmi, il sait néanmoins sa propre médiocrité, sa position est moralement difficile à tenir et il ne s’aime pas. Il se méprise et