Caverne

Il généralise aussi énormément les deux sexes, Dans ce livre la femme est une pauvre petite chose fragile qui à énormément besoin de parler et qui fatigue son mari à force de lui déballer tous ses problèmes. L’homme quant à lui est un homme des cavernes dans toute sa splendeur, il n’aime pas parler il est égoïste, n’aime pas partager ses problèmes, et trouve une solution à tout à la place de tout le monde. Ce qui n’est pas le cas dans la réalité, Beaucoup hommes ont énormément besoin de parler,

Dans l'allégorie de la caverne de Platon, la première phrase est : « Représente-toi de la façon que voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à l'ignorance ». L'état d'ignorance dans cette approche héritée de l'école pythagoricienne est associée à deux aspects de la condition de l'homme plongé dans l'obscurité : * l'ignorance invincible, faisant l'objet d'un plaidoyer d'innocence * l'obscurantisme Molière a traité ce sujet dans Les Femmes savantes et Le Bourgeois

apparence). La « route vraie » de Parménide est celle de la raison démonstrative qui introduit à l’univers stable des identités logiques et mathématiques. Platon poussera à fond cette logique idéaliste et métaphysique dans sa célèbre Allégorie de la Caverne (Livre VII de La république). Au niveau humain, cela implique que le « moi=moi » subsiste éternellement hors du temps : ainsi est réhabilitée la notion religieuse d’âme (Platon va jusqu’à reprendre le mythe orphique de la métempsycose, de la réincarnation

can be sure it exists.] Corrigé S’il est une évidence pour le sens commun, c’est que les objets que nous percevons existent indépendamment de nous. Et pourtant, dès l’origine de la réflexion philosophique – qu’on pense à l’allégorie de la caverne de Platon qui ouvre le livre VII de La République – cette prétendue existence a été discutée. N’est-elle pas qu’ombre, bref illusion ? La pensée moderne a fait un pas de plus. Les sensations a parte rei sont subjectives. Or, il semble nécessaire de

l’expérience scientifique rompt avec l’’expérience immédiate, car l’expérience scientifique est un fait que nous déduisons contrairement à l’expérience immédiate qui est un avis, un opinion, mais pas forcément la vérité. Comme dans l’allégorie de la caverne de Platon, la personne fixée vers le mur ou les ombre sont projeté aura sont opinion de la vie, ici l‘expérience immédiate, et ce ne sera seulement après avoir été libéré qu’il verra la vrai vie, sous-entendu l’expérience scientifique. L’immédiat

mais de l'être, de l'existence et d'autres déterminations. » • Réfléchir sur le dualisme « être apparent-être vraiment réel », « sensible-intelligible » que l'on retrouve dans de nombreuses philosophies depuis Platon (Cf. la célèbre allégorie de la caverne et « la réalité vraiment réelle ») jusqu'à Hegel. L'être (la réalité) « vraiment réel » étant celui de « l'intelligibilité » intégrale (qu'il s'agisse d'une logique dialectique ou non). • Bien appréhender l'enjeu philosophique (métaphysique) de

notre perception du réel. En effet selon Locke , il n’est rien dans l’esprit qui n’est d’abord été dans les sens , c'est-à-dire que l’on rempli notre esprit avec ce que nos sens nous fournissent . Or , comme nous montre l’allégorie du mythe de la caverne de Platon , nos sens peuvent être très largement trompés et manipulés. Il apparait alors que nos idées sont soumises à notre perception de la réalité . Il semble donc que nos idées sont de simples conséquences de causes plus générales qui ne permettraient

observent, de leur point de vue. Ils ne tentent pas de se remettre en question ou de considérer l’opinion d’autrui, seule leur vision et leur interprétation compte. Il est possible de faire une analogie avec les prisonniers de l’Allégorie de la Caverne de Platon, ceux-ci croient que ce qu’ils observent est bien la réalité et concluent alors en généralisant. Une telle réflexion mène à la formation de préjugés pour ceux qui ont cette personnalité plus simpliste. À l’inverse, les majeurs, sont ouverts

autour de la terre » avait dit Ptolémée.  Porter tous les mêmes vêtements, avec les mêmes logos, c’est pour certains, être, alors que ce n’est que le paraître. Que de subjectivité dans le paraître, nous leurrant souvent sur ce qui est (le mythe de la caverne de Platon). Que ne fait-on pas pour l’apparence ? Débat :   –  Être et paraître, ce ne sont pas que les apparences. Tout est comportemental, car tous nous jouons un jeu de rôle, plus ou moins constant. Les ramener à des notions physiques casse l’être

dans lequel il vit et dont il fait partie. L'ignorance, le doute sont des éléments de la conscience de nos limites. Comme l'indique Métrodore « je ne sais qu'une chose, que je sais rien ». Un philosophe doute, comme Platon, dans son allégorie de la caverne, ou Descartes, dans ses méditations metaphysiques, de la consistance de la réalité sensible. Il existe une réalité en soi, indépendamment de la conscience : Nietzsche, « le crépuscule des idoles » ou Martin Heidegger dans son livre « Etre et temps