Cedh 22 Novembre 1995

aux comportements des personnes publiques et des personnes privées et en servant aux juges de norme générale de référence. Le code de l'environnement commence dans son livre 1 par l'énoncé des principes généraux repris de la loi Barnier du 2 février 1995. Il sont repris par la Charte de l’Environnement introduite dans la Constitution française en 20051 1 Voir RJE, 2003 numéro spécial. 2 CHAPITRE 1. LA RECONNAISSANCE DU DROIT À L’ENVIRONNEMENT COMME DROIT FONDAMENTAL DE L’HOMME Faire

pas inspirées par une philosophie particulière. années 1980- 1995: réformes pragmatiques (on s'intéresse et touche aux principes). On trouve le principe d'égalité entre époux et protection préservation des droits de l'Homme. * loi du 23 décembre 1985: relative au régime matrimoniaux, dans cette loi on parachève l'égalité entre l'homme et la femme. Auparavant, l'homme avait une sorte de prééminence en cas de désaccord. * loi du 22 juillet 1987: dans cette loi là, on indique que l'autorité parentale

indispensable sur lequel appuyer et partager sa capacité d’analyse et de réflexion. Une capacité d’analyse et de réflexion qui doit être critique – « Ayez le culte de l’esprit critique » (Louis Pasteur, discours inaugural de l’institut Pasteur, le 14 novembre 1888). Pourquoi une posture critique ? Critiquer, c’est démontrer la capacité de l’homme moderne à être autonome, ce qui renvoie à la transformation fondamentale des sociétés modernes depuis le XVIIIe siècle : le passage de l’hétéronomie – des

sont une manière de prévenir les opérateurs économiques ou les autorités administratives de la difficulté et de la possibilité à l'avenir d'une évolution des solutions juridiques. Ainsi, la Cour de cassation avait préconisé dans ses rapports pour 1995 (p. 19) et pour 1996 (p. 15) la modification de l'article 546 du Code de procédure pénale ouvrant le droit d'appel pour les jugements de police en matière de contraventions des quatre premières classes au seul procureur général, disposition jugée contraire

CHAPITRE 2 : SOURCES DU CONTENTIEUX ADMINISTRATIF Sources nationales/internationales SOURCES EUROPEENNES :  Article 6 de CEDH de 1950 ratifié par la France en 1974. Adoption Décret 1981 => droit de recours individuel, violation de la CEDH. La CEDH place très importante en droit administratif.  Article 3 de CEDH : droit à la vie  Article 8 de CEDH : respect de la vie privée/familiale L’article 6 stipule que « toute personne a droit à ce que sa cause soit entendu équitablement,

Constitution. Le principe du respect de la dignité humaine : 1re apparition à l’occasion des premières lois bioéthiques de 1994. A l’occasion du contrôle de la 1re loi éthique, le Cc a consacré ce principe. Autant le respect de la personne figure dans la CEDH, autant dans le bloc de constitutionnalité il faut aller chercher loin « il en ressort que la sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme… est un principe à valeur constitutionnel ». Le fondement textuel assez bizarre est le

Document 5 : Ass. Plén., 17 novembre 2000, D. 2000, p. 332. Document 6 : Civ., 1ère, 9 octobre 2001, Bull. civ. I, n° 249. Document 7 : Ass. Plén., 21 décembre 2006, Bull., A.P., n° 14. Document 8 : Ass. Plén., 21 décembre 2006, Bull., A.P., n° 15. Document 9 : Civ., 1ère, 31 janvier 2008, Bull. civ. I, n° 31. Document 10 : Civ., 1ère, 11 juin 2009, Bull., civ. I, n° 124. Document 11 : Ass. Plén., 15 avril 2011, n° 10-17049. Document 12 : Olivier BACHELET, note sous CEDH, 12 juillet 2012, Del Rio Prada

du 8 novembre 1974 a institué une Commission de révision du CP qui était composée de praticiens du droit et d'universitaires. Cette procédure a donné lieu à l'adoption de deux avant projets de CP en 1978 et en 1983. Les choses ont fini par aboutir, et un projet a été présenté en 1986 avec un exposé des motifs du garde des sceaux de l'époque, Robert BADINTER. C'est ce projet qui a débouché le Code pénal actuel. Dans sa partie législative, ce Code est composé de 4 lois du 22 juillet

Trib. UE, 24 nov. 2010, aff. T-9/09 P, Luigi Marcuccio c/ CommissionA. L’acte doit être imputable à une institution, un organe ou un organisme de l'Union CJCE, 31 mars 1971, Commission c/ Consei l, aff. 22/70, AETR CJUE, gde Ch., 20 sept. 2016, aff. C-105/15 P à C-109/15 P, Mallis et Malli c/ Commission et BCE Trib. UE, ord., 6 oct. 2020, Sharpston c/ Conseil et Conférence des représentants des

TC, 22 janvier 1921, Société commerciale de L'Ouest Africain « Considérant, d'une part, que le bac d'Eloka ne constitue pas un ouvrage public ; d'autre part, qu'en effectuant, moyennant rémunération, les opérations de passage des piétons et des voitures d'une rive à l'autre de la lagune, la colonie de la Côte-d'Ivoire exploite un service de transport dans les mêmes conditions qu'un industriel ordinaire ; que, par suite, en l'absence d'un texte spécial attribuant compétence à la juridiction administrative