Cedh Pologne

3) La nuit de Cristal La nuit de Cristal aggrava la situation des juifs. C’est le pogrom contre les Juifs du Troisième Reich qui se déroula dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938. Cela reste l’une des périodes les plus tristes de l’histoire Allemande. Ce terme est devenu un euphémisme pour désigner cette brutale opération et n’exprime pas de façon appropriée les souffrances qu’elle causa. En effet, les autorités Allemandes présentèrent la Nuit de Cristal comme une explosion de la colère de la

représentatifs commis par la Schutzstaffel (SS), le corps d'élite nazi. Au printemps 1941, lorsque Hitler déclenche l'opération «Barbarossa» et lance la Wehrmacht à l'assaut de l'URSS, quatre détachements spéciaux de SS suivent l'armée allemande en Pologne puis en URSS. Ils entreprennent de «nettoyer» l'arrière pour éviter que des francs-tireurs ne s'en prennent aux soldats. Pour cela, ils fusillent préventivement les commissaires politiques du parti communiste et les juifs en âge de combattre. Sur

Résumé de la quatrième  Ida, née en France de parents juifs polonais, a quatorze ans quand elle est déportée à Auschwitz en février 1944. Elle y tiendra dix-sept mois dont deux hivers. Elle, un simple numéro, ne possédant qu'une gamelle et une cuillère, combattant faim, froid, épuisement, mauvais traitements et humiliation. Comment le raconter ? Ida sait qu'elle a une mission sacrée, celle que lui ont confié au camp avant de mourir, ses camarades : « si tu rentres, il faudra leur dire. On ne

les trésors de la Staatsbibliothek de Berlin et, d'autre part, de la partie vocale conservée aujourd'hui à Dresde et composée du Kyrie et du Gloria que Bach offrit en 1733 à son souverain, le Prince Électeur de Saxe Auguste II et, plus tard, roi de Pologne (sous le nom d'Auguste III) avec une dédicace et la requête pour «ein Praedicat von ero Hoff-Capelle» (une nomination à la Chapelle palatine). La partie vocale est de la main de Bach même, mais également de sa femme Anna Magdalena et de ses fils Wilhelm

Luxembourg en 1940. L'Alsace et la Moselle, à l'est de la France ainsi que l'ouest de la Pologne occupée sont, elles, aussi annexées. Le Protectorat de Bohême-Moravie, intégré au Reich en 1939, est pratiquement annexé (forme juridique : protectorat), mais il conserve un embryon d'État à qui sont ôtées les prérogatives régaliennes que sont l'armée et la diplomatie. Quant au Gouvernement Général de Pologne, privé de toute autorité autochtone, il est transformé en annexe coloniale et transformé en

Introduction de l’œuvre et présentation de l’artiste Je vais vous présenter une œuvre architecturale qui se nomme « Le musée Juif de Berlin » construit par l’architecte Daniel Libeskind entre 1993 et 1998. Cet architecte est né le 11 mai 1946 à Lodz en Pologne. Ses parents étaient des juifs polonais, ce sont des survivants de la Shoah. Le sénat de la ville décide en 1988 de construire un nouveau musée juif pour succéder à celui qui a été fermé par la Gestapo. Il a été choisi parmi 165 architectes pour mettre

Cet article traitant de la Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale couvre la période qui va de l'invasion allemande en septembre 1939 à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le 1er septembre 1939, sans déclaration de guerre formelle, l'armée allemande envahit la Pologne sous le prétexte que les troupes polonaises ont commis des provocations le long de la frontière germano-polonaise1. Ce prétexte s'ajoute au contentieux concernant les droits de l'Allemagne sur la Ville libre de Dantzig et le

Japon une fois la guerre terminée en Europe. Chacun des 3 grands peut être satisfait des résultats de Yalta. Pourtant des ambiguïtés demeurent. Comment organiser des élections libres dans les pays libérés ? Quelles frontières pour l’Allemagne et la Pologne ? II La conférence de Potsdam Elle ne permet pas de lever l’ambiguïté de Yalta. Staline, Truman et le premier ministre britannique Attlee se mettent d’accord sur le sort de l’Allemagne : démilitarisation, dénazification et décartellisation. Les

Potsdam qui se tient juste après la capitulation allemande de 1945, une tension entre les Alliés devient perceptible. Les objectifs des deux grands sont contradictoires, Staline veut se constituer un glacis protecteur en Europe orientale, dont la Pologne sera la poutre maîtresse, et les États-Unis veulent un libre jeu du marché libéral-capitaliste. Dès 1946, un « rideau de fer », selon l'expression de Churchill, sépare déjà l'Europe en deux. 1. La mise au point de deux idéologies : doctrine Truman

Alors que la défaite de l'Allemagne nazie est désormais certaine, les trois grandes puissances préparent l'après-guerre. Les discussions portent d'abord sur la situation militaire, Staline accepte d'ouvrir un second front contre le Japon dans les trois mois. Un deuxième sujet de négociation est constitué par le nouveau tracé des frontières en Europe. La démarcation des futures frontières polonaises est entérinée : Staline obtient qu'elles soient déplacées vers l'ouest, ce qui permet un accroissement