Cens

dévore seize muids, deux bussars et six tupins de tripes; Gargantua mobilise « dix et sept mille neuf cens treize vaches de Pautille et de Brehemond pour l'alaicter ordinairement », et son habit d'enfant doit vider plus d'une boutique de marchand drapier : « Pour son pourpoinct furent levées huyt cens treize aulnes de satin blanc... » Grandgousier confie a Toucquedillon un « collier d'or pesant sept cens deux mille marcz » L'arrivée de Gargantua à Paris permet au conteur d'exploiter ce gigantisme ; importuné

HISTOIRE Questions Dès 1814, le suffrage censitaire est réinstauré avec deux conditions, celle de payer un cens minimal de 300 cens et d’être âgé d’au moins 30 ans. Ce mode de suffrage est particulièrement restrictif puisque la grande majorité des citoyens est écartée du droit de vote. Les notables et les grands propriétaires, qui eux ont accès aux urnes, soutiennent le pouvoir monarchique et sauront préserver les intérêts propres à leur condition. En 1848, le suffrage universel masculin est

bussars et six tupins de tripes; Gargantua mobilise « dix et sept mille neuf cens treize vaches de Pautille et de Brehemond pour l'alaicter ordinairement », et son habit d'enfant doit vider plus d'une boutique de marchand drapier : « Pour son pourpoinct furent levées huyt cens treize aulnes de satin blanc... » Rire communicatif : au moment de laisser repartir Toucquedillon, Grandgousier le charge d'un « collier d'or pesant sept cens deux mille marcz », et Rabelais oublie que Toucquedillon n'est point géant

Histoire devoir 8 Questions 1- Le suffrage limité est favorable aux électeurs payant le cens (300, 200 et 100 fr.). Ceux qui ont les moyens financiers sont alors privilégiés, ils ont le droit de vote. Le suffrage limité est également au bénéfice des citoyens qui peuvent prouver qu’ils résident depuis trois ans au même endroit. De ce fait, les vagabonds sont exclus du suffrage universel. Le suffrage universel défend donc les intérêts des nantis. 2- D’après François Arago, le suffrage

développées grâce aux grands défrichements et aux chartes de franchises. On va les rencontrer progressivement partout y compris sur les parcelles qui ont fait l’objet de lotissement. Ces nouvelles tenures se répartissent en 2 catégories : - la tenure à cens (ou la censive) - la tenure en champart L’ancien régime domanial, c’est le manse. L’ancienne tenure domaniale était la tenure de régime coutumier, elle suivait un régime coutumier, le paysans qui reçoit un manse adhère du même coup au statut coutumier

5.48 6.41 6.08 6.59 Pont du Cens SORTIE 6.19 Janvraie 6.02 6.22 6.42 Garedes de Pavés Chantenay 6.00 6.42 6.20 7.00 6.40 Bout 6.20 Mendès-France-Bellevue 6.06 6.26 6.44 Petit Port 6.24 6.31 6.46 6.49 7.04 Janvraie 6.02 6.22 6.42 Châtaigniers 6.10 École Centrale-Audencia 6.26 6.34 6.48 6.52 7.07 Mendès-France-Bellevue 6.06 6.26 6.44 Grand Carcouët 6.13 FIN DE SERVICE 6.16 Châtaigniers 6.10 6.37 6.31 6.55 6.49 Beauséjour GrandduCarcouët 6.13 6.41 6.34 6.59 6.52 Pont Cens GARAGE 6.19 N°Pavés DE VÉHICULE

d’un « cens caché » et former ainsi un blocage dans la volonté de voter 1 – Le « cens caché » selon Daniel Gaxie Le cens, c’était cet impôt qui donnait le droit ou non de pouvoir voter au suffrage censitaire. Il était nécessaire de dépasser un certain seuil pour voter et un autre plus élevé pour être éligible. Daniel Gaxie, professeur de sociologie politique, a voulu mettre en évidence ce comportement de vote intermittent, qu’il a définit comme étant le « cens caché » du vote. Ce « cens caché »

contributions directes (le cens), ces citoyens deviennent donc des électeurs, voir de potentiels candidats. Le suffrage censitaire est théorisé à la fin du XVIIIème siècle par Emmanuel-Joseph Sieyès, qui distingue deux sortes de citoyens : des « citoyens passifs », disposant de droits naturels et civils mais ne pouvant pas voter car n’étant pas suffisamment imposés ; et des « citoyens actifs » jouissant en plus de droits politiques car s’acquittant du règlement du cens conditionnant le droit de vote

: elle est divisée en deux parties : la réserve, qui est le domaine du seigneur sur lequel les paysans de la seigneurie doivent effectuer des corvées ; les tenures, qui sont données aux paysans en échange du paiement de droits seigneuriaux comme le cens. - la seigneurie banale : elle correspond au droit de ban, c’est-à-dire au pouvoir de commandement du seigneur. Le seigneur doit protéger ses paysans et leur demande en échange des redevances : tonlieux (taxes sur les marchés), péages, banalités

savoir les charges des neuf archontes, des trésoriers, des Polètes, des onze et des Colacrètes aux trois premières classes: encore étaient-elles attribuées à chacune de ces classes selon les degrés du cens La classe des Thètes ne reçut que le droit de siéger à l'assemblée du peuple et aux tribunaux. Les cens étaient les suivants: le Pentacosiomédimne devait faire, sur sa terre, cinq cents médimnes de sec et de liquide, l'un dans l'autre; le cavalier devait en faire trois cents, ou, selon une autre explication