Centre Edgar-Morin

est d’abord américain, et devient assez rapidement mondial. Le rock’n’roll des années 1950 est donc une musique spécialement produite et commercialisée pour les adolescent.es. Pour reprendre l’expression du sociologue Edgar Morin, il s’agit là d’une véritable «  construction d’une culture jeune  », qui passe par la création même du concept d’adolescent. On théorise cet âge intermédiaire entre enfant et adulte. Cette prise de conscience de l’adolescent

Marguerite a eu un fils avec Dionys Mascolo rencontré en 1942. Tous trois, restés amis, s'engagent au parti communiste, d'où ils seront exclus en 1949. Plusieurs écrivains et philosophes fréquentent à cette époque leur domicile, comme par exemple Edgar Morin, Claude Roy, Georges Bataille ou Maurice Blanchot. Un groupe d'amis se forme donc là, qui prendra des positions politiques très engagées pendant la guerre d'Indépendance en Algérie, soutenant le Front de Libération Nationale (FLN) alors que Marguerite

Auteur : A.Casilli Genre : Essai Langue originale : Français Pays d'origine : France Date de parution originale : 2010 Les liaisons numériques : Vers une nouvelle sociabilité ? est un ouvrage du sociologue Antonio Casilli, chercheur au Centre Edgar-Morin et enseignant à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) de Paris. Il est paru aux éditions du Seuil en 2010, dans la collection « La couleur des idées ». Résumé : « Aujourd’hui, nouer des amitiés, développer des relations

Sunnites (vert) et Chiites (rouge) Le Moyen-Orient est une zone stratégiquement considérée comme la plus importante de la Terre car elle est le centre de gravité de l’Europe Asie et Afrique et contient tous les golfes qui lui permettent de faire transiter les marchandises. Ainsi dès le début, cette zone était à l’afflux des pays occidentaux. Edgar Morin « Cette région est le microcosme des drames du monde. C’est le lieu de rencontre des oppositions planétaires les plus dramatiques : Occident/Orient

conduisant à une dépravation de la culture. Adorno affirme que «cette culture ne nourrit les hommes que de stéréotypes». Alors que pour des auteurs comme Jean Marie Messier ou Rupert Murdoch, la notion d’industrie culturelle se rattache à un centre de profit comme on dit dans les entreprises, l’idée d’Adorno, est que l’industrie culturelle est un moyen d’aliéner les masses. Ce concept est né avec l’idée que c’est une chose contre laquelle il fallait lutter. Les industries culturelles représentent

création, de l'œuvre unique et de l'expérience culturelle. De la standardisation des produits culturels, ils infèrent la standardisation des individus, le règne de la pseudo-individualité. En France, le concept d'industrie culturelle est introduit par Edgar Morin à travers deux de ses ouvrages : le Cinéma ou l'Homme imaginaire (1958) et l'Esprit du temps (1962). C'est toutefois seulement en 1974 que la Dialectique de la raison, d'Adorno et Horkheimer, paraît en français.   On peut regretter que la vigoureuse

savoir-relier tel que le définit Valérie Gauthier est à l’évidence au centre du mode de management participatif « de groupe » dont il a été question en début de notre propos. « Le leader est celui qui nourrit l’identité collective de son identité personnelle. Cela suppose de sa part une élaboration personnelle capable de transformer des talents particuliers en aventure collective….. ….. ». Mais encore du même auteur : « La culture est au centre de ces propos. L’apprentissage du rapport à l’autre passe par

droit au « logement opposable ». D’une manière générale, l’apparition de ce terme coïncide, avec celles des « nouveaux pauvres », de la précarité…d’institutions telles que, notamment, les Missions Locales et les CHRS, participant à des dispositifs centrés sur l’accompagnement social. Pourtant, la question de la pauvreté ne se posait alors qu’en terme de lutte des classes ou de charité (voir les luttes sociales, Emmaüs et l’ Abbé PIERRE,…). C’est la massification et la visibilité des exclus, ainsi que

campagne d'Allemagne où il suit des procès pour Combat. Chroniqueur au journal Libération, critique littéraire, d'art et de théâtre, il fréquente alors avec assiduité les réunions du groupe de la rue Saint-Benoît. Il y croise Marguerite Duras, Edgar Morin, Jorge Semprun, Maurice Merleau-Ponty et de temps à autre Georges Bataille et Simon Nora. Il se fait ainsi poète (Clair comme le jour, 1943 ; Élégie des lieux communs, 1952), traducteur et romancier avec La nuit est le manteau des pauvres (1949)

l’organisme. Cette conviction prend appui sur les observations que nous réalisons lors de nos interventions à propos des dispositifs et des pratiques déployées au sein des organismes. Quelques exemples, à nos yeux révélateurs. Dans l’organisme X doté d’un centre de ressources bien documenté, les ressources sont disposées dans les armoires non accessibles aux personnes sans autorisation. Les formateurs limitent au maximum les déplacements au nom de la concentration nécessaire et insistent beaucoup sur le caractère