Centre Paul-Klee

la peinture, c’est à partir de l’interrogation « Que faire ? » de Gérard Gasiorowski que Benoît Berthou révèle la modestie et la modernité de l’activité d’inventaire libre et ludique des possibilités de la création dans les écrits et la pratique de Klee et de Kandinsky, sorte de tabula rasa critique capable de refonder une véritable invention picturale. La concurrence entre l’enregistrement sonore et visuel et la représentation font l’objet de l’étude de Tristan Garcia, qui, grâce à son élucidation

(Pittoresque Van-de-Velde Hagen) ils sont grands et avec des grandes saillies, ils sont parallèles à l'horizon (à l'image des vastes étendues des prairies) Les larges toitures basses se prolongent au delà des murs 2. Les plans sont linéaires ou en croix, le centre du plan est la cheminée. Le plan s'agrandit en horizontal autour de la cheminée 3. La maison particulière est un refuge par rapport à la vie en ville 4. Les fenêtres sont en bandeaux ou en rubans et souvent agrémentés de vitraux 5. Les matériaux ont

musée des Beaux Arts résultant d’une initiative privée alliée aux institutions publiques pour favoriser le développement culturel de la cité. Œuvres du seizième et ensemble du vingtième siècle. - Berne : musée des Beaux Arts abritant la fondation Paul KLEE depuis 1952 et la fondation RUPF depuis 1962, créé à l’initiative de la société bernoise d’art (Sigmund WAGNER). - Lausanne : musée des Beaux Arts inauguré le 17 juillet 1906 dans le Palais de Rumine, construit sur les plans de l’architecte français

remise en cause du débat. Nouveaux décors urbains (1860-70) & Nouvelles architecture de vie intérieure. 70 % de la population française vit ds les décors urbains datant de la 2nde moitié du XIXème s. Ces derniers n’ont pas changés : centre ville ou hyper centre. I. Vers l’émergence d’une urbanisme systématique. A). Comment l’ordre vînt à la ville. « Urbanisme » apparaît tardivement : 1880-90 ; ce terme était contraire à la construction spontanée. L’urbanisme, c l’ordre. - Comment

théorisé et intégré dans une pratique d’ambassadeur, de collectionneur et théoricien de l’art brut, autant d’activités, on s’en doute, qui rejaillissent sur sa propre pratique. Une institutionnalisation Rétrospective 100 ans après sa naissance au centre Pompidou, en 2001. Exposition de 1967 marque le moment où Dubuffet organise une exposition qui présente les œuvres de sa collection, mais aussi, faudrait-il ajouter que c'est à cette occasion qu'il les lègue au Musée des Arts décoratifs. Pourtant

chefs-d’œuvre à L’iNfiNi ........................................................................... 06 1.4 LisTe des arTisTes eXposés .............................................................................. 07 1.5 Les prêTeurs auTres que Le ceNTre pompidou ............................................ 09 1.6 La programmaTioN cuLTureLLe auTour de chefs-d’œuvre ? .................... 10 1.7 Les pubLicaTioNs de L’eXposiTioN ................................................................... 12

et apprécia sa profonde originalité, pressentit ses dons, devint aussi un ami et allait le rester jusqu'à sa mort. Il fit aussi la connaissance des photographes Brassaï et Claude Cahun, de peintres comme Max Ernst et Giorgo de Chirico, découvrit Paul Klee. Lui, qui détestait un art qui n’était que la répétition de l'abominable réalité, reçut le choc d’un art de I'imaginaire, et, sans avoir jamais appris, prit le crayon et le pinceau pour réaliser ses premières oeuvres : des formes, des lignes, un

Il participe aux expositions avec des bois gravés et des peintures à l'huile. De 1904 à 1908, il voyage avec Gabriele Münter (Paris, Tunis, l'Italie). Il rencontre lors de ses expositions des peintres comme Auguste Macke, Franz Marc et son ami Paul Klee. Il se passionne pour la musique de Schonberg. En 1911 avec Franz Marc, il crée l'association "Cavalier bleu". Il fait de très nombreuses expositions. Il écrit des livres : Du spirituel dans l'art, Point-Ligne-Plan. En 1918, de retour à Moscou

 www.comptoirlitteraire.com présente Eugène Émile Paul Grindel dit Paul ÉLUARD (France) (1895-1952) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres, qui sont commentées, certains poèmes (''Sans rancune'', ''Leurs yeux toujours purs'', ''La courbe de tes yeux'', ''Notre vie'', ''Dominique aujourd'hui présente'', ''La mort l'amour la vie'') étant analysés dans des dossiers à part. Finalement, est tentée une synthèse (pages 86-94). Bonne lecture ! Le 5 octobre 1895

à Tchernovtsi 5. – Vous êtes fatigué ou en forme, Paul? Je suis en forme. 3 Complétez le texte avec “à”, “de”, “chez” Nice pour Paul: - Je suis en vacances à Nice. Et vous, vous êtes à travailler? Aldo: - Non, je suis en vacances chez ma tante. Vous êtes à l’hôtel ou des amis? chez Paul: - Je suis chez un ami d’enfance, Philippe Leroux. Vous êtes à quelle ville, Aldo? Naples. Mais je suis souvent à Rome pour mon Aldo: - Je suis de travail. Paul: -Moi, je suis de Lyon, mais je suis très souvent