Centre Paul-Klee

PROJETS  Le type d’analyse effectuée coïncide avec ce que B.ZEVI appelle « apprendre à voir architecture ». Il s'agit de décomposer les projets dans leurs structures spatiales et formelles, établir les tensions et les hiérarchies. Le célèbre dessin de Paul Klee un cube métallisé par des lignes synthétise assez bien la question.  D’après l’ouvrage de CHING : Form-space-order (edit DR)     Au fur et à mesure que j’étudie les projets, ils m'apparaissent comme étant de plus en plus simples parce qu'ils

– mouvement qui n'existe plus en tant que tel à cette époque et ne se manifeste plus qu'à travers des personnalités comme Gleizes et Metzinger. Des réalisations publicitaires majeures vont alors voir le jour ; elles sont signées Cassandre, Charles Loupot, Paul Colin, Carlu, en France, McKnight-Kauffer et Ashley Avinden aux États-Unis et en Angleterre, Biró en Hongrie... La quasi-totalité de la publicité de cette époque – que ce soit celle des affiches ou des annonces figurant dans les revues et les programmes

(Lille art Musée), est un identifiant fort. fort. Fort de ses collections permanentes, de son parc Riche de ses collections permanentes, de sculptures, de ses espaces pour de grandes expositions temporaires, mais aussi de sa bibliothèque et de son centre de recherches, de ses activités pédagogiques, d’un café-restaurant et d’une librairie-boutique, il sera le seul en France à présenter sur le même plan l’art moderne, brut et contemporain ; autrement dit, de manière continue, les principales composantes

outre-Rhin, des artistes français parmi les plus renommés avaient accepté de visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d'artistes : les sculpteurs, souvent membres de l'Institut, Charles Despiau, Paul Belmondo, Henri Bouchard, Louis Lejeune et Paul Landowski, directeur de l'École nationale supérieure des beaux-arts ; les peintres Roland Oudot, Raymond Legueult, André Dunoyer de Segonzac mais aussi des artistes qui venaient de l'avant-garde du début du siècle : Kees Van

convaincant des arguments qui va nous faire dire que tel ou tel thèse est valable. A cours terme, le traité de PERELMAN n’a pas eu un grand retentissement. A plus long terme, on considère que son travail à eu pour conséquence de replacer la rhétorique au centre des préoccupations intellectuelles de l’époque. 5 2°) Dans le sillage de PERELMAN (1960) Le Groupe MU (= µ), fondé en 1967 à l’université de Liège, a élargit l’étude de la rhétorique à toutes les formes de discours. Non plus seulement le discours

un peu de plan illusionniste avec les arbres. La couleur est traitée pour elle même : les logiques internes de la couleur sont traitées. Pour relier à l’art sacré : ce sont les personnages qui se déplacent, des ombres blanches. • Arearea, 1892, Paul GAUGUIN. Il ramène ce tableau de Tahiti. Il s’inspire de croyances locales, païennes. Il cherche un nouveau regard, une fraîcheur. D’un point de vue plastique, composition par plans successifs. Tout d’un coup il fait sauter des verrous en composant

formes symboliques 3. la phénoménologie de la connaissance . Paris : Editions de Minuit . 1972 . 610 p . ISBN 2-7073-0386-0  [CAS 78] CASTORIADIS, Cornelius. Les carrefours du labyrinthe. Paris : Seuil. 1978. 317 p. ISBN 2-02-004766-7   [CEN 91] Centre Universitaire de recherche administratives et politiques. La communication politique. PUF. 1991.ISSN 0182-4406 [CHA 99] CHALVIN, Dominique. Tension et conflits dans les relations personnelles . Paris : ESF . 1999 . 182 p . ISBN 2-7101-1365-1 [CHA

Chicago va avoir lieu de manière étourdissante. On conserve le plan des rues très organisé et orthogonal. On a une vision fonctionnaliste de la ville. Les industries se localisent le long des rivières. Ils constituent un quartier d'affaire au centre, bouclé par un métro aérien. Le logement y est exclu. => c'est le zonage du XXeme siècle qui s'amorce. Le principe du gratte ciel est la rentabilité : il est plus haut et la parcelle a coûté cher. Ils renoncent aussi au décor des gratte ciel

(Parlement) du 2 mai 1928, les Nazis remportèrent seulement 2,6% des voix, soit un déclin relatif par rapport au score de 1924 (3% des votes). Ces élections portèrent au pouvoir une "grande coalition" qui réunit le parti social-démocrate, le Zentrum (centre catholique), le parti démocratique allemand et le parti du peuple allemand. Cette coalition dirigea l’Allemagne de Weimar durant les six premiers mois de la grande dépression. La crise économique à Berlin (septembre 1932) Les berlinois protestent

stratégies des établissements d’enseignement supérieur : CPU, CGE, CDEFI, CDIUFM Modérateur Albert-Claude BENHAMOU, Président du Comité de Pilotage du Colloque Intervenants : Jacques DURAND, Président de la Conférence des Directeurs d’IUFM (CDIUFM) Paul JACQUET, Premier Vice-Président de la Conférence des Directeurs d’Ecoles et Formations d’Ingénieurs, (CDEFI) Christian MARGARIA, Président de la Conférence des Grandes Ecoles, (CGE) Bernard BOSREDON, 2ème Président de la CPU, Commission des relations