Certitude

psychique. Les problèmes philosophiques : Peut-on prouver l’existence d’uninconscient psychique ? Pour quelles raisons devons-nous admettre l’existence d’un inconscient psychique ? L’existence de l’inconscient psychique est-elle une hypothèse ou une certitude ? La thèse deFreud dans ce texte : La psychanalyse apporte des preuves de l’existence d’un inconscient psychique. L’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime, car cette hypothèse apporte un gain de senset de cohérence dans l’explication

avoir sur la valeur du savoir lui même ? Pour répondre à l'angoisse existentielle de l'homme, pour répondre à son besoin de certitude sur le monde, rien ne vaut le savoir qui doit donc être choisis au dépens de la croyance. Problème : Il semble exister au moins une autre croyance qui soit irréductible à une opinion en ce qu'elle repose non pas sur une certitude non démontrée mais sur un pari (Pascal) : La croyance en Dieu. Transition : Comment alors comprendre le rapport entre le savoir et

que nous partagerons cette étude en deux parties. Dans un premier temps, nous allons voir que la vie nous paraît comme une certitude mais dans un second temps nous verrons que la vie semble exiger une certaine formation. Dans un premier temps, nous allons étudier le pour de la question posée autrement dit nous allons voir que la vie nous paraît comme une certitude. En effet, on considère la vie comme un fait et non une action, elle va de soi. On le voit surtout sur l'espèce humaine. À la

grande révolution accomplie par Descartes consiste à rejeter toute la scolastique, tous les arguments d’autorité, à révoquer en doute l’ensemble du savoir et à exiger une certitude absolue dans toutes les sciences, y compris en philosophie. Toutes les sciences doivent se calquer sur le modèle des mathématiques, où la certitude des démonstrations est irréfutable. Les mathématiques sont véritablement le paradigme théorique absolu de la pensée du XVIIe siècle. On parle de mathématisme. Descartes veut

prononcée par la Convention. Affaires Martin et Montbailli De 1769 à 1771 Voltaire multiplie ses interventions en faveur de victimes d'erreurs judiciaires, soulignant la légèreté des tribunaux et les exigences de la certitude en matière de justice. Dans l'article " Certain, certitude " des Questions sur l'Encyclopédie... (1770-1772), il évoque le cas de Martin et de Montbailli. L'exemple des Calas et des Sirven est assez connu ; celui de Martin l'est moins. C'était un bon agriculteur d'auprès

décennies, un concept jusqu’alors méconnu s’est imposé comme omniprésent dans les divers débats d’une société en quête d’un monde d’où le risque serait entièrement éradiqué et contrôlé. Initialement défini comme le principe « selon lequel l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement, à un coût économiquement

des principes évidents, mais aussi qu’elle doit être elle-même évidente dans son effectuation, autrement dit que « la simple déduction d’une chose à partir d’une autre se fait par intuition » (Règles, XI, p.72) : « (...) Cette évidence et cette certitude de l’intuition ne sont pas requises seulement pour de simples affirmations, mais aussi pour toute espèce de raisonnement. Ainsi, par exemple, étant donné ceci : 2 et 2 font la même chose que 3 et 1 ; non seulement il faut voir par intuition que 2

excepté pour les mathématiques. Il incarne pour cette première raison l’humanisme, dans le sens où il s’attache à la recherche de la vérité et de la certitude au moyen de la raison. Aussi, en rejetant l’enseignement qu’il a reçu, Descartes sort de ses études en ayant le sentiment de ne rien connaître, de douter de tout. Mais de ce doute nait une certitude, à savoir que si je doute c’est que je pense, et par là même j’existe. Ce n’est pas digression de revenir sur la méthode cartésienne car elle aboutit

quelque chose qui ne le soit pas. La conséquence de cela sera quel se trouvera rejeté, à l’exception d’une chose : moi comme sujet pensant, donc existant (le fameux cogito Cartésien). S’ensuit la reconstruction de la connaissance sur la base de la certitude. On découvrira notre propre existence, puis celle de Dieu, puis celle des essences et enfin celle des existences. Ainsi Descartes poursuit trois objectifs fondamentaux : * acquérir la vraie méthode pour parvenir à une connaissance certaine de

surnaturelles admises. Pour parvenir à établir un univers en adéquation avec de nouvelles lois et qu’il soit prêt à être accepté il faut parvenir à déconstruire toutes les certitudes sur lesquelles on s’est construit jusque-là. En effet Descartes dans ses Méditations métaphysiques discute l’existence. Étape par étape il déconstruit les certitudes, remet tout en doute, à commencer par les perceptions, les sens. On se base sur nos sens pour établir ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. Or il arrive que nos