Cesf Précarité Aides

des : « personnes qui n’ont plus confiance en l’avenir depuis la fermeture des usines textiles qui étaient source de plein emploi il y a eu un taux de chômage important qui se transmet depuis 3 générations. La multiplication des contrats aidés renforce la précarité des Fourmisiens. Le Centre SocioCulturel par le biais de nombreuses actions essaie de redonner de l’espoir, de leur faire prendre des initiatives » (propos du Directeur du Centre SocioCulturel recueillis lors d’une réunion). Touchée par

796€ et se situe au 2ème rang des départements au niveau de vie les plus faibles. - Le taux de chômage s’élève à 13,2% - 163 595 personnes bénéficient du RSA dans le département, ce qui représente 11% de la population départementale. - 13 000 aides ont été accordées au titre du Fonds de Solidarité Logement. - Environ 120 000 personnes de moins de 60 ans sont en situation de handicap, ce qui représente 8% de la population départementale. - 35 383 personnes bénéficient de l’Allocation Personnalisée

hôpital pour l’étude et projet (EP). Le travail d’accompagnement proposé par le centre social me semblait intéressant pour compléter mon parcours de professionnalisation. Dés la première rencontre avec la Conseillère en Économie Sociale Familiale (CESF) j’ai tout de suite était attirée par les activités qu’elle menait. Ce stage allait m’offrir la possibilité de découvrir différents des acteurs du travail social : en interne avec une diversité et une complémentarité des professions (animatrice

assignation en référé notifiée par huissier de justice au sous-préfet le 4 février 2012 dans le cadre de la procédure d’expulsion du logement qu’occupe Mme C. La mise à disposition du service social du CCAS permet à Mme C de venir solliciter l’aide d’une CESF, afin de la conseiller dans ses démarches. En parallèle, Mme C exprime ses problématiques liées au budget et ses difficultés de remboursements de crédits révolving. Ces deux orientations constituent donc l’origine de mon intervention, laquelle a

sociaux participent à diverses formations. Ces formations portent sur différents thèmes. J’ai participé à l’une d’entre elle qui était mis en place par les réseaux de santé A.D.D.I.C.A (personnes en difficulté avec une addiction et/ou en situation de précarité) et CARéDIAB (personnes ayant du diabète). Cette formation était basée sur l’alcoolisme où la question qui se posait, était : « comment peut-on aborder le sujet de l’alcoolisme avec nos usagers ? ». Durant mon stage, je suis allée à la restitution

des problématiques des publics accueillis. Il s’avère aussi que la crise implique un accroissement des besoins et une augmentation des réponses à apporter aux familles qui traversent des turbulences de la vie avec les constats suivants : * Précarité et pauvreté qui s’installent davantage, * Perte de repères et carences éducatives * Peurs, sentiment d’insécurité * Dégradation du pouvoir d’achat * Montée de la violence physique, psychologique et cachée, * Drogues, alcool

les associations et les organismes de protection sociale. En raison de l’élargissement des politiques publiques dans les différents domaines de compétence (emploi, logement, santé, immigration…), les procédures de traitement spécifique de la précarité, les aides matérielles et financières se sont multipliées et diversifiées. En même temps, il a fallu amplifier l’accompagnement, améliorer l’accès aux dispositifs d’insertion, parfois même concevoir ou adapter de nouvelles offres d’insertion. Ce développement

Introduction Le travail et l’emploi ont connu des mutations au cours des dernières décennies. Depuis le choc pétrolier de 1973 et la crise qui a suivi, le plein emploi a laissé place au chômage, à la précarité et à la flexibilité. Les délocalisations se sont multipliées pour répondre à une concurrence mondiale grandissante. Face à cette nouvelle réalité, l’Etat a jugé nécessaire d’intervenir afin de limiter les difficultés des français. D’après l’article premier de la loi du 1er décembre

du mémoire de recherche et aident à avancer dans sa réflexion. J’ai renoncé tout d’abord à effectuer mon mémoire sur les représentations qu’avaient la population française sur les sans domicile fixe et sur l’influence de ces représentations sur les aides apportées. En effet, j’étais partie d’un constat qui me vient du stage au Samu social effectué lors de ma deuxième année de formation d’assistante de service social. Nous avions remarqué avec les travailleurs sociaux qu’un SDF qui était négligé, le

« isolée » avec les minima sociaux , avec ATCD d’IP pour violence conjugale. • Accompagnement possible que si accord . Les situations les plus vulnérables préparent les conditions de naissance avec un réseau de soins local ( exemple : équipe de précarité en santé mentale , CMP adulte , association gestionnaire des tutelles). • Un outil partagé :Staff médico psycho social pour Pole M-E . (exemples de situations cliniques et rôle et accompagnement de chaque professionnel ) 15 15 Population accompagnée