Cgt Marxisme

prison dorée, qu'on leur enlève leur indépendance. B) Des contestations multiples. -Le traditionalisme. Il est resté attaché aux anciennes valeurs : la foi, la morale, l'autorité... Et ils dénoncent la condition ouvrière. -Le socialisme. Le Marxisme : Il veut la révolution contre les bourgeois, afin d'établir la dictature du prolétariat représenté par le parti communiste avant d'arriver à une société sans classe, sans État et sans parti. L'anarchisme : veut améliorer la condition ouvrière

rédigé sous la double influence de Karl Marx et de Ferdinand Lassalle. → Il met en évidence l'opposition entre deux classes : la classe possédante dite capitaliste et la classe ouvrière dite asservie (la lutte des classes est la théorie centrale du marxisme). → appel à la transformation de la société : socialisation des biens de production. → avènement d'une société juste, égalitaire, à souveraineté populaire...d'une société communiste. → ce programme est internationaliste : il appelle les ouvriers

de l'économie. Certaines analyses réduisent la société à une collection d'individus. D'autres analyses mettent l'accent sur le fait que les individus ne peuvent être pas envisagés indépendamment de la société et des groupes qui la structurent. Le marxisme se rattache à ce type d'analyses, même si le débat sur le degré d'autonomie de l'individu reste ouvert.La conception matérialiste de l’histoire, inspirée du matérialisme de Ludwig Feuerbach (parfois désignée par l’expression « matérialisme historique »

Marxistes et anarchistes, devant la nécessité d’unir le mouvement ouvrier pour une révolution mondiale, fondent la première Internationale des Travailleurs à Londres en 1864, c’est l’Association Internationale des Travailleurs (A.I.T.). Mais le marxisme n’est pas la seule opposition que la révolution industrielle fait naître. Certains reprochent au capitalisme de briser les valeurs traditionnelles : la religion et les hiérarchies traditionnelles. Frédéric Le Play est considéré comme le chef de file

syndicales du socialisme français a) L’émiettement politique de la fin du XIXe La division des mouvements socialistes est le signe d’une pensée encore imprécise, d’une identité idéologique qui se cherche. Citons le poids de Jules Guesde, introducteur du marxisme en France, d’abord dans la « Fédération du parti des travailleurs socialistes de France », puis dans le « parti ouvrier », acculturant la thématique révolutionnaire. Les groupes cités concurrencent d’autres formations, comme les blanquistes du Comité

pour les ouvriers que les bourgeois, leurs patrons, vivent dans le luxe et méprisent souvent ceux qui les font vivre ! C’est dans ce contexte que naît le syndicalisme et que l’idéologie socialiste se répand dans la classe ouvrière qui s’organise. La CGT, révolutionnaire, devient le principal syndicat en France et réussit à imposer des réformes qui améliorent la vie du monde ouvrier. La durée du travail est ramenée à 8h, 5 jours par semaine, les ouvriers obtiennent même des congés payés en 1936. Les

augmentent ainsi que les salaires. II-LES CONSEQUENCES 1) la naissance du mouvement ouvrier Espoir ouvrier : fin de l'exploitation de l'homme par l'homme. -un socialisme influencé par le marxisme : la pensée socialiste est soumise vers la fin du 19ème à l'idéologie dominante, le marxisme. Avec Marx, c'est la lutte des classes, la dictature du prolétariat sur la bourgeoisie. Les socialistes marxistes dominent en Angleterre et en Allemagne. -un socialisme dominé par l'anarchisme : avec

plus juste. (Jean Jaurès) Marxisme = Société perçue comme inégalitaire : composée de la bourgeoisie et du prolétariat. Marxistes partisans d’une révolution du prolétariat. (Karl Marx, philosophe all) Anarchisme = Absence totale de règles. Anarchistes partisans société sans lois, sans limites sans gouvernement (état = oppression). Utilisation de la violence (attentats pour renverser le pouvoir et supprimer autorité) légitimée. (François Broudhou) (socialisme et marxisme = même vision de la société

combat politique. La rupture entre les deux se créé en 1917 avec la révolution Russe menée par Lénine (Bolchévik). 2) Les syndicats En France, la grève n’est plus un délit en 1864 et les ouvriers ont le droit de s’associer à partir de 1884. La CGT (Congrès Général du travail) est créée en 1895. La principale revendication est la journée de 8H. Remarque : Le premier mai, fête du travail, devient une fête internationale. Il y a deux types de syndicalistes : • Les réformistes (Allemagne

1884 la possibilité de fonder un syndicat. Les syndicats ont pour rôle de permettre aux syndiqués de s’associer pour faire pression sur les patrons de manière pacifiste ou révolutionnaire comme le fait la CGT. Puis de nouvelles idéologies vont aussi venir animés les ouvriers. En 1948, c’est le marxisme fondée par Karl Marx et Friedrich Engels qui défendent l’idée que le prolétariat doit prendre le pouvoir, et supprimer toutes les classes sociales. Puis il y a les anarchistes guidés par le penseur Proudhon