Chaine De Valeur Starbucks

met tout particulièrement en évidence un certain nombre d’éléments majeurs permettant de situer le contexte des problèmes posés qu’il convient de rappeler en guise d’introduction : - - 1 le processus d’expansion et d’intégration de la chaîne de la transformation/distribution qui donne un pouvoir de négociation considérable à l’acheteur par rapport à ses fournisseurs ; le système des achats s’est « modernisé » : aux normes publiques se sont ajoutées les normes privées, qui ont acquis

chocolats, le café, le sucre de canne sont des importations énormes. Mais il y a aussi les consommations intermédiaires (bien qui se détruisent pendant le cycle de production, elles rentrent dans la production et dans la valeur ajoutée) (VA= CA-CI) qui sont acheter par les entreprises comme des pièces détachées ou des parties d’un ensemble : moteur /voitures. Cela peut être aussi des produits minier  : charbon, aluminium, acier, cuivre… Il y a donc

personnes âgées de plus de 18 ans, 96% des 18-24 ans sont membres d’un réseau social. Et 35% des 18-24 ans sont membres de 4 réseaux sociaux ou plus. Ce sont les informations personnelles utilisées pour commercialiser leurs problèmes, qui donnent de la valeur à des sites comme Facebook. D’après Charlene Li, les inscrits partageront de plus en plus facilement leurs données. - L'e-réputation L’image pour l’entreprise est un facteur clé de réussite, véhiculer une image positive de son entreprise, de

renonceraient aux lunettes à cause du prix10 (voir annexe 8). 3 Les concurrents et distributeurs potentiels sur le marché 3.1 La distribution physique ■ Alain Afflelou En juillet 2015, Alain Afflelou a ainsi annoncé le rachat d’Optical Discount, la chaîne d’optique à bas coût, afin d’accélérer son positionnement dans le low cost.Win-Win, une formule d’abonnement au prix de 11,90 € par mois pendant deux ans maximum. Le client pourra choisir entre deux paires de lunettes (monture et verres), garanties

en 2000. Finalement, l’essor des loisirs a pourconséquence le développement du circuit alimentaire alternatif.Exemple:Le sushi reste un produit élitiste, cher et ciblé, même sil sest "démocratisé" grâce àlouverture de nombreux restaurants et aux chaînes. Le consommateur de sushi est uncadre de grande agglomération, plutôt de profession intellectuelle, âgé de moins de 45ans, qui en consomme moins dune fois par mois. B. La taille du marchéEn passant de 1 ,7 à 1,2 milliards d’euros entre 2004 et 2010

ainsi les 5 facettes de la « roue expérientielle » : • Surprendre le consommateur Il faut lui proposer quelque chose d’inhabituel qui réussira à créer une rupture avec son environnement quotidien. Exemple : les librairies Barnes et Nobles et la chaîne Starbuck, qui lancent le concept de la « librairie-cofee-shop ». • Proposer de l’« extraordinaire » Il faut proposer au consommateur une impression de gigantisme, du spectaculaire, du féérique, de l’authenticité… Exemple : le « Mall of America », plus

Introduction Dans le cadre du module Economie industrielle et de l’entreprise, il nous a été demandé de réaliser une étude sur un secteur d’activité de notre choix. Nous avons donc choisi de travailler sur l’entreprise McDonald’s. En effet, cette chaîne de restauration connue par tous ne cesse de croître à travers le monde et de se diversifier en matière d’offre. L’étude sectorielle de cette société a été effectuée tout d’abord par une analyse générale du marché de la restauration rapide, puis par

Chine 1. Les éléments qui restent standardisés 2. Des efforts d’adaptation importants IV CONCLUSION Introduction En 1948, deux frères, Mac et Dick Mcdonald's décident d’ouvrir un restaurant fonctionnant sur le principe du travail à la chaîne : un service rapide et une carte de menu limitée afin de vendre le plus de hamburgers et de frites possible. Ce concept suscite l’intérêt de Ray Kroc, un négociant qui signe un accord de franchise avec les frères McDonald en 1954. Il ouvrira une centaine

toujours de nouvelle technique pour impressionner et faire vivre une expérience unique à celui-ci. 4 : Les différents types d’expériences : Le marketeur a compris depuis longtemps qu’il fallait créer de la valeur pour avoir un avantage concurrentiel. Filser disait ainsi que «  la valeur du produit perçu par l’acheteur est devenue un concept central pour la formulation de la stratégie marketing ». Les marketeurs comme Filser, Holbrook et Schmitt ont réfléchi sur les dimensions de l’expérience

contemporains comme les questions bioéthiques, la lutte contre la pollution et le souci de l’environnement. Des analyses sociologiques et politiques montrent une « demande sociétale de sens » de la part des consommateurs. On ressent une crise de valeurs individuelles et collectives, et le commerce éthique est une manière d’y remédier. c. Contexte socioculturel On voit apparaître la volonté d’une consommation engagée, se souciant des répercussions économiques et sociales. Le développement durable